Parmi Eux - Deluxe Vol.2 : Critiques

Rien de mieux pendant l’été qu’un petit boulot ! Surtout quand c’est au bord de la mer, avec des amis et que Mizuki peut se voir hébergée en toute sécurité pendant les travaux effectués au dortoir du lycée. C’est ainsi que Sano, notre héroïne préférée et Nakatsu se retrouvent à travailler dans une pension pour touristes dirigée d’une main de fer par Io, la grande sœur de Umeda, le médecin scolaire un peu étrange qui travaille dans leur école. Mais vacances ne veut pas dire vacances quand il faut mettre la main à la pâte, et Mizuki ne vas pas vraiment se reposer ! Prise entre son secret, d’autant plus difficile à conserver qu’il y a du monde dans un endroit confiné et l’attitude clairement trop collante d’un des employés, la jeune fille naïve ne prend pas vraiment soin d’elle. Si bien que Sano est obligé de garder un œil sur sa protégée, la tirant même parfois de situations très inconfortables ... Sans parler des sentiments de la demoiselle, bien remués par le succès de son prince charmant. Puis, nouveau chapitre après avoir exploité correctement celui-ci par l’émotion, l’humour de Nakatsu et les malentendus habituels.

Reprenons les classiques du shojo avec cette licence qui date un peu, mais exploite de façon pertinente car authentique les stéréotypes de la romance lycéenne. Après l’été, c’est la fête des sports, couplée en fête de l’école. Les élèves préparent différentes techniques pour faire gagner leur dortoir, mais dans un mélange mixte d’élèves Mizuki est bien mal partie pour remporter cette première fête organisée avec elle dans sa nouvelle école. Entre les épreuves physiques et culturelles, les autres sont bien meilleurs et tout se mise sur leur activité, un maid café, et sur l’élection de miss ! Sauf que la compétition attire les plus ambitieux ... qui s’en prennent évidemment à l’idole, la mascotte du manga et de l’école : Mizuki ! Un bon tome, dynamique qui parvient à décliner des situations vues et revues avec une originalité qui date un peu et donne ce ton si véritable au récit, rempli de bons sentiments à défaut de surprise. Parmi eux reste un titre prometteur, simplement par l’appréciable quantité d’humour qui allège constamment la narration, un peu insistante sur certains points de temps à autre.