Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 01 Juin 2021
Kimihito est désormais rentré de son séjour très chaud à la ferme, mais ce n'est pas pourtant que son quotidien va devenir plus paisible ! Suite à un coup de téléphone de sa mère, Miia doit effectivement rentrer chez elle avec notre héros. Et pour les autres colocataires, il est évidemment hors de question de laisser la lamia partir en voyage seule avec l'étudiant humain, si bien que toutes s'incrustent. Après une arrivée à l'aéroport très drôle tant elle est loin d'être de tout repos et exploite très bien les spécificités des différentes héroïnes, l'arrivée dans la ville natale de Miia se fait de façon chaleureuse... mais sans doute un peu (beaucoup) trop pour Kimihito: étant donné que le peuple des lamias n'est composé que de femmes, qu'elles ont besoin d'hommes venus d'ailleurs pour s'accoupler, et que ces derniers manquent en ce moment, les très, très nombreuses femmes-serpents présentes sur place ont sévèrement la dalle en matière de mecs... Et comme si ça ne suffisait pas, une véritable épreuve attend Kimihito sur place: pour maintenir l'acceptation de la loi interespèces (et donc ne pas être séparé de Miia) parmi les 4 espèces de femmes-serpent, il va devoir participer à un tournoi très particulier où lamias, échidnas, mélusines et méduses se livreront la plus érotiques des batailles...
Entre le côté "morfale d'hommes" des centaines de lamias de la ville qui guettent la moindre occasion pour sauter sur Kimihito, et le tournoi très particulier autant pour sa phase d'"entraînement" que pour les épreuves elles-mêmes, notre héros (et pas que lui, d'ailleurs) aura fort à faire pour résister voire survivre aux très nombreux assauts de femmes-serpents libidineuses à souhait, pour un résultat évident: un érotisme très présent ici, et où Okayado passe peut-être encore un certain cap jusqu'à son final... hum, orgiaque. Et dans les faits, ça donne quelque chose de fun, car l'aspect coquin se mêle encore et toujours à un côté grotesque et excessif qui contribue beaucoup à l'humour. Ainsi s'amusera-t-on facilement des "mésaventures" de Kimihito, puceau loin d'être à l'aise face à toutes ces filles 100% entreprenantes, malgré ses "techniques secrètes" pour leur procurer du plaisir sans passer à l'acte, tandis que s'accumulent les moments de nudité et de tension sexuelle pour le plaisir du lecteur fripon. Cependant, même si l'on appréciera la mise en avant de Miia (autant pour sa jalousie, sa peur de voir son Kimihito souillé, ou sa relation avec lui) et la diversité des 4 espèces de femmes-serpents, on regrettera que certaines spécificités de ces dernières soient trop limitées (en particulier les méduses), ainsi que le manque de présente des autres colocataires malgré le fait qu'elles soient du voyage. heureusement, sur ce dernier point, notre chère dullahan Lala est quand même bien au rendez-vous, pour un running gag efficace à souhait à chaque fin de chapitre.
Même si certains éléments ne sont pas exploités à fond et que l'auteur finit par rallonger un peu la sauce côté érotisme, on a donc un volume au fil duquel Okayado, toujours aussi barré, ne manque pas encore d'imagination.
Entre le côté "morfale d'hommes" des centaines de lamias de la ville qui guettent la moindre occasion pour sauter sur Kimihito, et le tournoi très particulier autant pour sa phase d'"entraînement" que pour les épreuves elles-mêmes, notre héros (et pas que lui, d'ailleurs) aura fort à faire pour résister voire survivre aux très nombreux assauts de femmes-serpents libidineuses à souhait, pour un résultat évident: un érotisme très présent ici, et où Okayado passe peut-être encore un certain cap jusqu'à son final... hum, orgiaque. Et dans les faits, ça donne quelque chose de fun, car l'aspect coquin se mêle encore et toujours à un côté grotesque et excessif qui contribue beaucoup à l'humour. Ainsi s'amusera-t-on facilement des "mésaventures" de Kimihito, puceau loin d'être à l'aise face à toutes ces filles 100% entreprenantes, malgré ses "techniques secrètes" pour leur procurer du plaisir sans passer à l'acte, tandis que s'accumulent les moments de nudité et de tension sexuelle pour le plaisir du lecteur fripon. Cependant, même si l'on appréciera la mise en avant de Miia (autant pour sa jalousie, sa peur de voir son Kimihito souillé, ou sa relation avec lui) et la diversité des 4 espèces de femmes-serpents, on regrettera que certaines spécificités de ces dernières soient trop limitées (en particulier les méduses), ainsi que le manque de présente des autres colocataires malgré le fait qu'elles soient du voyage. heureusement, sur ce dernier point, notre chère dullahan Lala est quand même bien au rendez-vous, pour un running gag efficace à souhait à chaque fin de chapitre.
Même si certains éléments ne sont pas exploités à fond et que l'auteur finit par rallonger un peu la sauce côté érotisme, on a donc un volume au fil duquel Okayado, toujours aussi barré, ne manque pas encore d'imagination.
28/05/2021 