Moi quand je me réincarne en slime Vol.9 - Actualité manga
Moi quand je me réincarne en slime Vol.9 - Manga

Moi quand je me réincarne en slime Vol.9 : Critiques

Tensei Shitara Slime Datta Ken

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 18 Septembre 2019

Tout en testant certaines de ses nouvelles capacités acquises suite à l'absorption du noyau de Charybde, Limule doit continuer de penser à nouer des relations amicales et commerciales avec certains autres pays, notamment pour consolider encore un peu plus la place de son "pays des monstres" Tempest dans ce monde. Première étape: construire un lien avec l'Eurasanie, comme l'a suggéré le roi-démon Callion. Pour cela, chacune des deux nations envoie une délégation chez l'autre, et il ne s'agit là que d'une première étape.

Car concrètement, c'est l'entièreté de ce 9e volume qui est occupé successivement par le rapprochement de Tempest avec d'autres nations, trois pour être précises. Tandis que la naissance d'un lien avec l'Eurasanie occupe le premier chapitre, les deux suivants envoient Limule et certains de ses compagnons chez les nains de Dwargon sur invitation de Gazehr, et le quatrième et dernier entame un voyage de notre héros et de Ranga vers le territoire humain de Falmus, d'où est originaire Youmu.

Un schéma on ne peut plus linéaire ici, et où les problèmes et difficultés ne sont pas vraiment au rendez-vous. Les auteurs proposent effectivement un volume plus calme, sans grosses anicroches, mais pas du tout déplaisant pour autant, car les accords commerciaux et autres découvertes et alliances constituent des étapes essentielles que le manga Taiki Kawakami expose vite et assez bien, mais aussi parce que l'humour revient bien sur le devant de la scène tout en exploitant de manière classique mais efficace pas mal de personnages (Shion et ses problèmes d'alcool ainsi que ses crises, Gobuta face au sexe féminin dans la taverne de Dwargon, le côté parfois un peu extrême de Benimaru, l'"incompétence" des trois aventuriers humains en tant que guides...

On sent quand même que le mangaka tend parfois à passer trop vite en revue certains points qui sont sûrement plus détaillés dans le light novel d'origine, mais tout reste assez clair, et l'oeuvre conserve ici son côté comique et positif qui fait si souvent son charme et son unicité. En attendant la suite, donc, toujours avec plaisir !


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction