Magical girl of the end Vol.13 - Actualité manga
Magical girl of the end Vol.13 - Manga

Magical girl of the end Vol.13 : Critiques

Mahô Shôjo of the End

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 27 Juin 2017

Grâce à ses magical girls, Himeji parvient à nouveau à prendre la fuite. Et après avoir vu ses plans immédiats contrecarrés, il semble bien qu'il ait l'intention  de retourner dans le futur par le biais du trou de ver ! Le compte à rebours est lancé : il faut à tout prix empêcher la fuite de Himeji, sans quoi tout tournerait encore plus à la catastrophe. Mais alors qu'ils pensent échouer, Kii et les autres ont la surprise de voir arriver la Kaede du futur pour empêcher Himeji de se carapater. Et elle est accompagnée du mystérieux enfant encapuchonné... qu'elle appelle Wataru ?!


Autant le dire tout de suite, ce treizième volume de Magical Girl of the End se lit très, très vite, car comme toujours Kentarô Satô a à coeur d'entretenir un rythme effréné et complètement fou... mais cette fois-ci, c'est peut-être un peu trop. On a pu largement l'observer depuis le début de la série, le mangaka a un style certes très soutenu, prenant et immersif, mais également un peu foutraque, surtout quand l'action se doit d'être encore plus effrénée que d'habitude, ce qui est le cas ici. Et cela se traduit par un côté fouillis plus présent que jamais dans la mise en scène et les transitions. Cette fois, c'est d'autant plus handicapant que Satô, décidé à aller au bout de son trip, amène de nouveaux bouleversements où les frontières entre passé, présent et futur se confondent de plus en plus !


Pourtant, malgré les limites techniques, dur dur de décrocher à la lecture, tant l'auteur semble tout de même bien maître de son récit certes volontairement tiré par les cheveux, mais où il n'oublie pas d'exploiter les divers personnages, y compris certains de la saison 2 dont le rôle semblait un peu amoindri jusque-là.


La lecture est donc, à la fois, facilement jouissive tant Kentarô Satô veut aller au bout de ses idées, et un peu bordélique parce que les limites de son style sont de plus en plus évidentes. Dans tous les cas, comme toujours l'éditeur fait tout pour que la lecture reste immersive, ne serait-ce que par sa traduction rythmée ou son gros travail sur les onomatopées. A quelques volumes de la conclusion, l'auteur conserve toute notre confiance.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs