Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 16 Janvier 2019
Les problèmes concernant Nako et Ayatsu semblent temporairement réglés pour Kayo... même si désormais, la si sérieuse déléguée/magical girl à la poitrine démesurée sera dans le même lycée qu'elle ! Mais notre héroïne n'a pas vraiment le temps de souffler: entre deux dégommages de stremons, elle doit faire face à une nouvelle ennemie aussi fourbe que redoutable et mystérieuse. Guidée par un petit être noir qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Monsieur Monstre, cette nouvelle venue semble en vouloir beaucoup à Kayo. Et après avoir d'abord attaqué Masanido, elle fomente un plan bien plus sournois dans l'enceinte même du lycée...
Depuis ses débuts, Magical Girl Holy Shit peut facilement séduire les fans de ce genre de comédie bourrine, grâce à son héroïne badass à souhait et se fichant royalement de quasiment tout (le sort de la planète en tête), à son humour agressif porté par les dégommages de stremons (ce qui devient un bon petit running gag), à sa galerie de personnages secondaires efficaces, ou à sa légère pointe d'érotisme un peu parodique et rigolo. Cependant, et cela se ressentait dès le 2e volume, il fallait que le mangaka amène des enjeux un petit peu plus consistants pour ne pas lasser, et globalement c'est ce qui commence à poindre dans ce troisième tome.
L'essentiel de la recette reste pourtant identique: on s'amuse bien des différents running gags où Kayo pète des câbles, où les stremons se font dégommer vite fait, où Myu ou Masanido s'en prennent eux aussi plein la quiche... mais cette fois-ci, une menace plus inquiétante se met bien en place autour de la fameuse Kyôka, dont les plans au sien du lycée n'augurent rien de bon. C'est aussi l'occasion pour Souryu d'offrir un peu plus d'importance à certains autres visages comme Tomoe... et également de montrer que sous ses allures bourrines, solitaires et se fichant de tout, Kayo est peut-être un peu plus sensible qu'il n'y paraît. Alors qu'elle se fait royalement ch*** et ne pense qu'à défoncer du monstre, quelle sera sa réaction en voyant s'éloigner d'elle ses plus ferventes fans et en voyant la situation du lycée se dérégler ? On se demande volontiers comment elle s'en sortira sans devoir maraver ses innocentes camarades de classe (car faut pas croire, la miss a quand même visiblement un minimum de valeurs), et ce que fomente exactement le monstre noir exploitant Kyôka, ce qui donne très facilement envie de lire la suite.
Depuis ses débuts, Magical Girl Holy Shit peut facilement séduire les fans de ce genre de comédie bourrine, grâce à son héroïne badass à souhait et se fichant royalement de quasiment tout (le sort de la planète en tête), à son humour agressif porté par les dégommages de stremons (ce qui devient un bon petit running gag), à sa galerie de personnages secondaires efficaces, ou à sa légère pointe d'érotisme un peu parodique et rigolo. Cependant, et cela se ressentait dès le 2e volume, il fallait que le mangaka amène des enjeux un petit peu plus consistants pour ne pas lasser, et globalement c'est ce qui commence à poindre dans ce troisième tome.
L'essentiel de la recette reste pourtant identique: on s'amuse bien des différents running gags où Kayo pète des câbles, où les stremons se font dégommer vite fait, où Myu ou Masanido s'en prennent eux aussi plein la quiche... mais cette fois-ci, une menace plus inquiétante se met bien en place autour de la fameuse Kyôka, dont les plans au sien du lycée n'augurent rien de bon. C'est aussi l'occasion pour Souryu d'offrir un peu plus d'importance à certains autres visages comme Tomoe... et également de montrer que sous ses allures bourrines, solitaires et se fichant de tout, Kayo est peut-être un peu plus sensible qu'il n'y paraît. Alors qu'elle se fait royalement ch*** et ne pense qu'à défoncer du monstre, quelle sera sa réaction en voyant s'éloigner d'elle ses plus ferventes fans et en voyant la situation du lycée se dérégler ? On se demande volontiers comment elle s'en sortira sans devoir maraver ses innocentes camarades de classe (car faut pas croire, la miss a quand même visiblement un minimum de valeurs), et ce que fomente exactement le monstre noir exploitant Kyôka, ce qui donne très facilement envie de lire la suite.
On attendait un peu plus de contenu dans cette comédie efficace dans son genre, et c'est donc globalement ce à quoi on a droit ici. Les aventures de la bourrine Kayo restent très plaisantes, en espérant que les promesses posées par ce volume soient tenus par la suite !
21/09/2023 