Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 05 Juin 2012
Alors que Machine Bancho retourne auprès du docteur Kagimiya, les compagnons de Kongoh partent à sa poursuite, bien décidés à venger leur ami mort au combat quelques heures auparavant. Cependant, ceux-ci ne tardent pas à se casser les dents sur un ennemi qui semble désormais voué à en finir avec nos héros... A moins qu'un personnage inattendu ne vienne se dresser contre lui !
Nous voila donc arrivé à la moitié de la série et le moins que l'on puisse dire c'est que celle-ci ne semble pas décidée à baisser de rythme, que du contraire. Ainsi, les affrontements seront encore une fois légion mais surtout variés. Chaque bancho ayant rejoint la bannière de Kongoh est présent, tout comme d'autres combattants venus en renfort dans un camp comme dans l'autre. Bref, la diversité est au programme et si, pris dans son ensemble, la trame principale reste une fois encore très prévisible car usant de tous les codes du genre, son efficacité n'en reste pas moins intacte d'autant plus que l'un ou l'autre coup de théâtre vient nous étonner en nous volant l'un ou l'autre fou rire au passage et, ce, toujours dans le bon sens du terme. Et, encore une fois, la fin du volume, particulièrement... énorme, ne laissera pas indifférent !
Qui plus est, il ne faudrait pas non plus négliger la patte graphique de Suzuki qui ne se prive pas lorsqu'il s'agit de se faire plaisir. Tonnes de muscles et explosions en tous genres sont au programme et la fluidité de l'ensemble est tout simplement irréprochable. On ne s'ennuie donc absolument pas et , en outre, c'est un véritable régal visuel. Une réussite sur toute la ligne en somme qui montre, une nouvelle fois, combien les thèmes les plus classiques peuvent redevenir intéressants lorsqu'ils sont sublimés par un auteur possédant le talent suffisant.
A mi-parcours, Kongoh Bancho réussi avec une aisance impressionnante à conserver ce qui fait son charme depuis le premier chapitre. En bon gros shonen qui ne fait pas de la dentelle, fidèle à lui-même jusqu'au bout des ongles, le titre nous réserve en tout cas et à n'en point douter encore de grands moments dans les tomes à venir !
Shaedhen
Nous voila donc arrivé à la moitié de la série et le moins que l'on puisse dire c'est que celle-ci ne semble pas décidée à baisser de rythme, que du contraire. Ainsi, les affrontements seront encore une fois légion mais surtout variés. Chaque bancho ayant rejoint la bannière de Kongoh est présent, tout comme d'autres combattants venus en renfort dans un camp comme dans l'autre. Bref, la diversité est au programme et si, pris dans son ensemble, la trame principale reste une fois encore très prévisible car usant de tous les codes du genre, son efficacité n'en reste pas moins intacte d'autant plus que l'un ou l'autre coup de théâtre vient nous étonner en nous volant l'un ou l'autre fou rire au passage et, ce, toujours dans le bon sens du terme. Et, encore une fois, la fin du volume, particulièrement... énorme, ne laissera pas indifférent !
Qui plus est, il ne faudrait pas non plus négliger la patte graphique de Suzuki qui ne se prive pas lorsqu'il s'agit de se faire plaisir. Tonnes de muscles et explosions en tous genres sont au programme et la fluidité de l'ensemble est tout simplement irréprochable. On ne s'ennuie donc absolument pas et , en outre, c'est un véritable régal visuel. Une réussite sur toute la ligne en somme qui montre, une nouvelle fois, combien les thèmes les plus classiques peuvent redevenir intéressants lorsqu'ils sont sublimés par un auteur possédant le talent suffisant.
A mi-parcours, Kongoh Bancho réussi avec une aisance impressionnante à conserver ce qui fait son charme depuis le premier chapitre. En bon gros shonen qui ne fait pas de la dentelle, fidèle à lui-même jusqu'au bout des ongles, le titre nous réserve en tout cas et à n'en point douter encore de grands moments dans les tomes à venir !
Shaedhen