Irrésistible ivresse Vol.3 - Actualité manga

Irrésistible ivresse Vol.3 : Critiques

Shizuku Hanabira Ring no Kaori

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 15 Mai 2013

Et voilà donc enfin le dernier tome d’Irrésistible ivresse, un manga que l’on attend de suivre toujours avec impatience. Et c’est le cœur un peu gros que l’on va ouvrir ce dernier opus, signe qu’on aura plus le plaisir d’attendre le dernier Toko Kawai en librairie. Haruna a mis du temps mais ça y est, il sort enfin et officiellement avec Nakagawa, et il est même suffisamment fier de lui pour se prétendre son petit ami. Il a donc pris de l’assurance malgré l’attitude un peu distante, comme toujours, de son amant. Mais il suffit de quelques petits gestes parfois très simples de la part de Nakagawa pour conforter Haruna dans la conviction qu’ils sont ensemble. De là à penser vraiment qu’il l’aime, il n’y a qu’un pas. En tout cas, le héros créé par Toko Kawai est toujours aussi adorable, tendre et timide. Mais en même temps, il peut être dévergondé, sans limite … c’est juste au niveau des sentiments qu’il y a clairement quelque chose qui cloche chez lui. Sinon, au milieu de leur amour partagé et plus ou moins heureux même dénué de romantisme, Haruna a quelques petits soucis.

Cette fois-ci, si en amour tout va bien, c’est dans le travail que quelque chose cloche. Un concurrent fait son apparition et tente de lui voler tous ses contrats, en très bon commercial qu’il est … et amateur d’alcool. Autant dire que le petit jeune qui ne boit pas a tout de suite moins de chance. Comment promouvoir une boisson que l’on ne peut goûter ? Comment charmer les producteurs si ce n’est en parlant de leurs boissons ? Haruna ne s’en sort pas trop mal et travaille même là-dessus, mais il se rend compte que sans essayer il ne pourra peut être jamais rivaliser. Alors le jeune homme déprime un peu et tente de se rassurer en plongeant dans les bras de son petit ami, et de la chaleur de sa famille d’adoption. On a encore droit à de très jolies scènes entre le grand père de Nakagawa et Haruna, et la série finit sur le même ton qu’elle a commencé. De la légèreté, de l’insouciance, du pur bonheur. Toko Kawai n’a pas son pareil pour maintenir des ambiances de ce genre, de ces tableaux qui nous séduisent sans problème et continuent de nous marquer une fois la lecture terminée.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
17 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs