Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 19 Février 2019
Grâce à la clé USB laissée par Kyôji Torio, le lien a enfin pu être fait entre Kazunori Sawatari et le Cerisier de Susanoo, l'association de Sakuragi. L'inspecteur Kurokôchi continue donc de plus belle ses investigations afin de faire enfin tomber son ennemi juré, et pour cela il lui faut mettre la main sur le dénommé Komori, l'un des arnaqueurs à la CB ayant trouvé refuge chez Sakuragi. Mais la situation est de plus en plus urgente, car pendant ce temps Sawatari, plus ou moins lavé des nombreux soupçons qui pesaient sur lui, a annoncé sa candidature aux élections ! Bien sûr, des manifestations ont lieu, organisée par celles et ceux encore persuadés que cet homme est bien coupable de tout ce dont on l'accuse. Mais les preuves ne sont a priori plus là, et en plus Sawatari est encore et toujours prêt à tout pour parvenir à ses fins... et vraisemblablement à signer la fin du Japon.
Au-delà du tollé que provoque la candidature de Sawatari auprès d'une partie du peuple, ce 19e tome commence assez fort avec, rapidement, un nouvel événement-choc, marquant un grand coup dans l'"héritage" laissé par Torio et plus encore dans la détermination de Kurokôchi pour enrayer définitivement la menace suscitée par ses ennemis. Avec son don habituel pour manipuler son petit monde et faire jouer ses relation, le lieutenant ripoux semble avancer à petits pas en se rapprochant de deux hommes importants: Shiroshôji, qui a autrefois posé des problèmes à Sawatari, et Yomogida, un ancien acolyte de l'infâme personnage. Mais dans les deux cas, la menace de Sawatari n'est jamais loin, et l'homme risque encore de trouver non seulement qu'il a le bras, mais aussi qu'il est prêt à toutes les horreurs...
Sans brusquer son scénario, Takashi Nagasaki avance à son rythme, et s'applique à faire ressortir plus que jamais toute la dangerosité de Sawatari, psychopathe doublé d'un monstre sadique, qui a pourtant presque toujours réussi à rester dans les hautes sphères du pays à coups de manipulations, de menaces et d'actes odieux bien camouflés, et qui semble toujours plus proche de son ultime objectif ici... L'homme sait très bien utiliser son influence et manipuler son monde côté politique, ce qui en fait indéniablement le plus redoutable adversaire de Kurokôchi, s'il y avait encore des doutes là-dessus.
Au-delà du tollé que provoque la candidature de Sawatari auprès d'une partie du peuple, ce 19e tome commence assez fort avec, rapidement, un nouvel événement-choc, marquant un grand coup dans l'"héritage" laissé par Torio et plus encore dans la détermination de Kurokôchi pour enrayer définitivement la menace suscitée par ses ennemis. Avec son don habituel pour manipuler son petit monde et faire jouer ses relation, le lieutenant ripoux semble avancer à petits pas en se rapprochant de deux hommes importants: Shiroshôji, qui a autrefois posé des problèmes à Sawatari, et Yomogida, un ancien acolyte de l'infâme personnage. Mais dans les deux cas, la menace de Sawatari n'est jamais loin, et l'homme risque encore de trouver non seulement qu'il a le bras, mais aussi qu'il est prêt à toutes les horreurs...
Sans brusquer son scénario, Takashi Nagasaki avance à son rythme, et s'applique à faire ressortir plus que jamais toute la dangerosité de Sawatari, psychopathe doublé d'un monstre sadique, qui a pourtant presque toujours réussi à rester dans les hautes sphères du pays à coups de manipulations, de menaces et d'actes odieux bien camouflés, et qui semble toujours plus proche de son ultime objectif ici... L'homme sait très bien utiliser son influence et manipuler son monde côté politique, ce qui en fait indéniablement le plus redoutable adversaire de Kurokôchi, s'il y avait encore des doutes là-dessus.
Voilà qui annonce donc du bon pour la dernière ligne droite de cette série où le scénariste sait toujours où il va !
01/04/2021 