Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 02 Décembre 2021
Parce qu'il n'y a pas que les mecs du Peek-A-Boo pour vivre des soirées (trop) arrosées, ce 6e volume de Grand Blue s'ouvre sur une soirée entre filles ! Azusa, Aina, Nanaka et Chisa se réunissent dans la chambre de cette dernière, pour normalement parler de tout et de rien et en profiter tranquillement... à ceci près qu'Azusa a toujours son don pour parler et agir librement, que ça inquiète Aina dont les sentiments pour Iori restent difficiles à assumer, que l'alcool pousse Nanaka à être encore plus collante envers sa petite soeur adorée, et que Iori a un don pour se pointer à chaque fois pile quand il ne faut pas, alors qu'il ne pense pas à mal (pour une fois). Cette fois-ci, ce sont les filles que les auteurs malmènent un petit peu plus... mais rassurez-vous, Iori et ses potes de fac vont vite se rattraper.
Car dès lors que les garçons apprennent que Chisa a en sa possession un ticket pour 4 personnes pour la fête de l'université pour filles Oumi, la guerre est déclarée ! Comme ils le disent si bien, ils voient en ce ticket l'espoir de pécho de la meuf, alors tous les cous seront permis pour savoir qui accompagnera Chisa à la fête... si tant est que Chisa daigne les laisse l'accompagner, bien sûr. Et même une fois au sein de l'université pour filles, tout ne va évidemment pas se passer comme espéré pour eux...
Si l'on devait souligne un défaut du tome, c'est peut-être qu'il est entièrement occupé par cette fête où Iori et consorts veulent aller draguer, et que le sujet de la plongée y est donc totalement absent. Mais au moins, Inoue et Yoshioka tâchent d'exploiter à fond leur délire du monde, quitte à parfois rallonger certaines étapes entre la rivalité pour obtenir le ticket, le maid café où nos héros se retrouvent obligés et participer en se travestissant pour apporter un coup de main, les différentes rixes et désillusions au moment d'essayer de draguer... Dans l'ensemble, on s'amuse quand même beaucoup, surtout parce que l'humour reste assez typique de l'oeuvre, entre les tronches impayables, les quelques coups bas que se font nos héros, leurs petites mésaventures... le tout dans une ambiance toujours réjouissante et décontractée.
Et puis, dans tout ce délire, on apprécie sans aucun doute le cas un peu particulier de Kôhei, notre cher otaku, beau gosse malgré lui, attirant le regard de toutes les filles alors que lui est là uniquement pur assister au concert d'une doubleuse d'anime qu'il vénère. Forcément, ça attise beaucoup la jalousie d'Iori et des autres... mais qu'en sera-t-il quand Kôhei sera moqué pour sa passion par trois filles que nos héros essaient de pécho ? La réponse, portée par Iori, est très sympathique, en soulignant qu'on n'est jamais mieux que quand on vit sa passion à fond et ouvertement... et cela, même si le tout petit moment de classe de notre héros retombera très vite derrière, comme souvent !
En occultant totalement l'un de ses sujets principaux, et en étirant un peu trop certaines situations, ce 6e volume convainc peut-être un petit peu moins que les précédents, et pourtant la lecture reste souvent drôle et très vivante. Et ça ne devrait pas s'arrêter en si bon chemin, au vu du teasing de fin de tome sur l'entrée en scène prochaine d'un nouveau personnage qui pourrait bien amener encore un peu plus d'ambiance.
Car dès lors que les garçons apprennent que Chisa a en sa possession un ticket pour 4 personnes pour la fête de l'université pour filles Oumi, la guerre est déclarée ! Comme ils le disent si bien, ils voient en ce ticket l'espoir de pécho de la meuf, alors tous les cous seront permis pour savoir qui accompagnera Chisa à la fête... si tant est que Chisa daigne les laisse l'accompagner, bien sûr. Et même une fois au sein de l'université pour filles, tout ne va évidemment pas se passer comme espéré pour eux...
Si l'on devait souligne un défaut du tome, c'est peut-être qu'il est entièrement occupé par cette fête où Iori et consorts veulent aller draguer, et que le sujet de la plongée y est donc totalement absent. Mais au moins, Inoue et Yoshioka tâchent d'exploiter à fond leur délire du monde, quitte à parfois rallonger certaines étapes entre la rivalité pour obtenir le ticket, le maid café où nos héros se retrouvent obligés et participer en se travestissant pour apporter un coup de main, les différentes rixes et désillusions au moment d'essayer de draguer... Dans l'ensemble, on s'amuse quand même beaucoup, surtout parce que l'humour reste assez typique de l'oeuvre, entre les tronches impayables, les quelques coups bas que se font nos héros, leurs petites mésaventures... le tout dans une ambiance toujours réjouissante et décontractée.
Et puis, dans tout ce délire, on apprécie sans aucun doute le cas un peu particulier de Kôhei, notre cher otaku, beau gosse malgré lui, attirant le regard de toutes les filles alors que lui est là uniquement pur assister au concert d'une doubleuse d'anime qu'il vénère. Forcément, ça attise beaucoup la jalousie d'Iori et des autres... mais qu'en sera-t-il quand Kôhei sera moqué pour sa passion par trois filles que nos héros essaient de pécho ? La réponse, portée par Iori, est très sympathique, en soulignant qu'on n'est jamais mieux que quand on vit sa passion à fond et ouvertement... et cela, même si le tout petit moment de classe de notre héros retombera très vite derrière, comme souvent !
En occultant totalement l'un de ses sujets principaux, et en étirant un peu trop certaines situations, ce 6e volume convainc peut-être un petit peu moins que les précédents, et pourtant la lecture reste souvent drôle et très vivante. Et ça ne devrait pas s'arrêter en si bon chemin, au vu du teasing de fin de tome sur l'entrée en scène prochaine d'un nouveau personnage qui pourrait bien amener encore un peu plus d'ambiance.
17/10/2023 