Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 25 Février 2019
Comme la couverture l'annonce, ce tome se concentre sur la situation de Constance, aux prises avec Striker et Beretta. Son bras a été tranché et envoyé à Marco. La réponse est immédiate : Marco, le lieutenant indispensable au clan Christiano démissionne et s'en va affronter ses anciens « amis ». Bien évidemment, le chemin sera semé d'embûches et il lui faudra un peu d'aide pour atteindre sa fiancée...
En parallèle, on retrouve Warwick et Alex, veillant au chevet de Nicolas et Yang à la clinique du Dr Théo. Ils discutent avec le second du clan Monroe, Miles, du retournement de veste de leur ancien patron, et tout comme nous, Warwick sent rapidement le coup fourré et décide de réagir, pour le meilleur et surtout pour le pire.
L'avenir s'annonce de plus en plus sombre pour les Crépusculaires. Leurs soutiens ne cessent de diminuer, au point où on pourrait se demander s'il reste le moindre espoir pour eux. Car même ceux que l'on pensait inébranlable et leurs alliés indéfectibles quittent les rangs, à l'image de Warwick qui prend une décision horrible et que l'on aurait pu cru capable venant de lui. Car si lui semble avoir compris quelque chose au sujet de Monroe au point de s'en aller et d'agir, nous sommes toujours dans le flou. Ce tome nous apporte des réponses, mais pas forcément celles que l'on aurait souhaitées.
Et que dire de ce qui se passe autour des personnages de Marco et Galahad, chacun confronté à un ennemi qu'ils cherchaient autant qu'ils redoutaient. Pour ce qui est de Constance, on est de plus en plus inquiet pour elle, et aussi intrigué par ce lien si spécial qui semble la lier à Marco (lien qui prend tout son sens dans le spin-off).
Et malgré toute la violence de ce tome, la tension qui monte, la force de Marco qui ressort dans les phases de combat et nous époustoufle, pour moi, toute la puissance de cet opus tient dans cette réplique. Une réplique qui a d'autant plus de sens quand on a lu le spin-off :
« Pauvre fou... Tu ne pourras jamais comprendre. »
Cette phrase qu'il prononce à Striker cristallise le cheminement que le jeune homme à eu, et surtout le monde qui les sépare. L'un a décidé de devenir humain, l'autre a choisi de rester dans cette vie entourée de violence. L'un a décidé de se construire un vie, un avenir, l'autre a choisi de continuer à détruire. Striker et Marco sont les deux faces d'une même pièce, ils se comprennent autant qu'ils sont étrangers l'un à l'autre. Un lien les unira à jamais. Un lien qui a poussé Striker à revenir pour lui, à enlever Constance, celle qui marque sa renaissance et maintien son ancien allié dans ce monde qui lui est totalement inconnu. Un lien qui ne pourra être coupé que par la mort de l'un d'entre eux.
Pour ce qui est du dessin... Ah la la. Difficile de rester indifférent face à un tel travail pour rendre la violence et les combats aussi esthétiques. Et que dire du travail du découpage tout bonnement fantastique qui rend le tout aussi fluide et impactant. Kohske nous offre encore un tome d'un puissance rare.
En parallèle, on retrouve Warwick et Alex, veillant au chevet de Nicolas et Yang à la clinique du Dr Théo. Ils discutent avec le second du clan Monroe, Miles, du retournement de veste de leur ancien patron, et tout comme nous, Warwick sent rapidement le coup fourré et décide de réagir, pour le meilleur et surtout pour le pire.
L'avenir s'annonce de plus en plus sombre pour les Crépusculaires. Leurs soutiens ne cessent de diminuer, au point où on pourrait se demander s'il reste le moindre espoir pour eux. Car même ceux que l'on pensait inébranlable et leurs alliés indéfectibles quittent les rangs, à l'image de Warwick qui prend une décision horrible et que l'on aurait pu cru capable venant de lui. Car si lui semble avoir compris quelque chose au sujet de Monroe au point de s'en aller et d'agir, nous sommes toujours dans le flou. Ce tome nous apporte des réponses, mais pas forcément celles que l'on aurait souhaitées.
Et que dire de ce qui se passe autour des personnages de Marco et Galahad, chacun confronté à un ennemi qu'ils cherchaient autant qu'ils redoutaient. Pour ce qui est de Constance, on est de plus en plus inquiet pour elle, et aussi intrigué par ce lien si spécial qui semble la lier à Marco (lien qui prend tout son sens dans le spin-off).
Et malgré toute la violence de ce tome, la tension qui monte, la force de Marco qui ressort dans les phases de combat et nous époustoufle, pour moi, toute la puissance de cet opus tient dans cette réplique. Une réplique qui a d'autant plus de sens quand on a lu le spin-off :
« Pauvre fou... Tu ne pourras jamais comprendre. »
Cette phrase qu'il prononce à Striker cristallise le cheminement que le jeune homme à eu, et surtout le monde qui les sépare. L'un a décidé de devenir humain, l'autre a choisi de rester dans cette vie entourée de violence. L'un a décidé de se construire un vie, un avenir, l'autre a choisi de continuer à détruire. Striker et Marco sont les deux faces d'une même pièce, ils se comprennent autant qu'ils sont étrangers l'un à l'autre. Un lien les unira à jamais. Un lien qui a poussé Striker à revenir pour lui, à enlever Constance, celle qui marque sa renaissance et maintien son ancien allié dans ce monde qui lui est totalement inconnu. Un lien qui ne pourra être coupé que par la mort de l'un d'entre eux.
Pour ce qui est du dessin... Ah la la. Difficile de rester indifférent face à un tel travail pour rendre la violence et les combats aussi esthétiques. Et que dire du travail du découpage tout bonnement fantastique qui rend le tout aussi fluide et impactant. Kohske nous offre encore un tome d'un puissance rare.
Dernier tome étant sorti avant la longue pause de parution, on peut dire que la mangaka nous a laissé sur un sacré cliffhanger. Mais l'attente sera bientôt satisfaite par un nouveau tome qui se promet d'être marquant. Et je peux vous assurer que votre humble serviteur sera au rendez-vous.
20/03/2019 