Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 20 Mars 2014
Le tournoi se poursuit et on retrouve nos héros dans une situation bien délicate: Mikagami fait face à Mokuren, adversaire sournois, qui s’est emparé du corps de Kagonai.
La violence prend ici une place plus importante, la cruauté se fait plus présente, cela ajoute encore un peu de maturité au titre.
Ensuite Recca va affronter une jeune fille aux capacités bien étranges, elle contrôle ses cheveux et peut les rendre aussi coupant qu’une lame. Cette dernière est contrôlée par le cruel Genjuro, un des hommes proches de Kurei…le coup de la jeune innocente qui se bat contre son gré pour éviter la mort à ses proches retenus prisonnier, ça reste très classique mais ça change d’une suite de combat sans fin, ça rajoute un peu d’enjeu ! Par contre ça renforce aussi l’idée que Anzai copie allègrement sur Yuyu Hakusho, Togashi ayant fait la même chose dans son manga et particulièrement dans son tournoi… Pour le moment Anzai a du mal à prendre de la distance par rapport à son modèle. Mais ce qu’il nous présente ensuite pourrait en être la clé.
En effet, ce tome est aussi l’occasion d’en apprendre un peu plus sur la hiérarchie des Uruha, Genjuro étant l’un des Jusshinshu, les dix hommes les plus puissants au service de Kurei, les dix leaders au sommet de la pyramide, les hommes les plus à craindre. Du coup Recca est bien obligé de faire appel à son quatrième dragon, le plus dangereux et le plus incontrôlable… Là encore on est surpris que cela aille aussi vite, mais c’est très bien ainsi.
Malgré, un manque d’originalité certain, on lit ce tome avec grand plaisir !
La violence prend ici une place plus importante, la cruauté se fait plus présente, cela ajoute encore un peu de maturité au titre.
Ensuite Recca va affronter une jeune fille aux capacités bien étranges, elle contrôle ses cheveux et peut les rendre aussi coupant qu’une lame. Cette dernière est contrôlée par le cruel Genjuro, un des hommes proches de Kurei…le coup de la jeune innocente qui se bat contre son gré pour éviter la mort à ses proches retenus prisonnier, ça reste très classique mais ça change d’une suite de combat sans fin, ça rajoute un peu d’enjeu ! Par contre ça renforce aussi l’idée que Anzai copie allègrement sur Yuyu Hakusho, Togashi ayant fait la même chose dans son manga et particulièrement dans son tournoi… Pour le moment Anzai a du mal à prendre de la distance par rapport à son modèle. Mais ce qu’il nous présente ensuite pourrait en être la clé.
En effet, ce tome est aussi l’occasion d’en apprendre un peu plus sur la hiérarchie des Uruha, Genjuro étant l’un des Jusshinshu, les dix hommes les plus puissants au service de Kurei, les dix leaders au sommet de la pyramide, les hommes les plus à craindre. Du coup Recca est bien obligé de faire appel à son quatrième dragon, le plus dangereux et le plus incontrôlable… Là encore on est surpris que cela aille aussi vite, mais c’est très bien ainsi.
Malgré, un manque d’originalité certain, on lit ce tome avec grand plaisir !
14/12/2005 
