Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 21 Septembre 2015
Recca et ses compagnons sont face à l'incarnation ultime de Tendo Jigoku, la malfaisance à l'état pur, et un drame vient de se produire : la créature a pris la vie de Yanagi, la « princesse guérisseuse » que Recca s'était promis de protéger. Tous nos héros sont accablés par la stupeur...mais l'ennemi fait toujours face !
Le volume précédent s'était conclu sur une note vraiment choquante, c'est donc fébrile qu'on entame cet ultime volume. Fébrile nous le sommes aussi parce que justement il s'agit du dernier tome de la série, un titre remarquable grandement sous-estimé.
Tant de chemin parcouru depuis le tout premier tome, graphiquement assez pauvre et simpliste, voire grossier, à l'intrigue banale, peu originale et moyennement attractive. Désormais nous sommes face à une fresque de trente-trois tomes, dont l'intrigue finale répond directement à ce qui a été mis en place dans le tout premier tome, symbolique d'une cohérence globale, permettant une vision d'ensemble plus que positive !
C'est donc fébrile qu'on entame ce dernier tome, qui se veut épique, superbe et touchant! Une page se tourne et c’est avec émotion que l’on clôt ce dernier opus d’une série qui au final nous aura fait forte impression.
L'émotion est donc au rendez-vous, et jusqu'à l'ultime conclusion, on se laissera porter par cette dernière, l'auteur facilitant la chose avec une narration et une mise en page exemplaire.
La lutte finale va donc être intense, et sans surprise elle sera réservée à Recca qui va enfin éveiller son huitième dragon. L'identité de ce dernier va encore ajouter une dose d'émotions ainsi que de beaux moments.
Dès le début de ce tome, l’auteur nous livre des planches renversantes, il maîtrise désormais totalement son dessin et sa mise en page, et certains passages sans dialogues se contemplent avec une certaine émotion. Pour autant le rythme de ce tome est incroyable, Anzai impose une cadence effrénée, il ne nous laisse pas reprendre notre souffle avant la fin. Il gère parfaitement tous ses personnages, et conclut magistralement toutes les intrigues. Le destin de chacun est accompli, et désormais tous se tournent vers l’avenir tout comme les lecteurs !
Après le dantesque affrontement final dans lequel il se passe de nombreuses choses (il serait dommage de gâcher la surprise), l’auteur prend le temps de conclure tranquillement, sans se précipiter, en nous expliquant brièvement ce que devient chacun de nos héros… Ainsi nous avons droit à une véritable conclusion, totalement satisfaisante. Ceci encore renforce la mélancolie de devoir quitter cette série.
C’est avec émotion que l’on ferme ce dernier tome, on réalise que l’on vient de perdre le plaisir de découvrir les nouveaux tomes de cette série, et si ce dernier volume se lit assez vite, de par son rythme, on n’est pas pressé d’aller au bout, d’en terminer avec Recca et ses compagnons, on aurait bien pris quelques volumes de plus !
Un volume remarquable qui vient conclure une excellente série qui mérite bien plus que le peu de succès qu’elle a rencontré !
Le volume précédent s'était conclu sur une note vraiment choquante, c'est donc fébrile qu'on entame cet ultime volume. Fébrile nous le sommes aussi parce que justement il s'agit du dernier tome de la série, un titre remarquable grandement sous-estimé.
Tant de chemin parcouru depuis le tout premier tome, graphiquement assez pauvre et simpliste, voire grossier, à l'intrigue banale, peu originale et moyennement attractive. Désormais nous sommes face à une fresque de trente-trois tomes, dont l'intrigue finale répond directement à ce qui a été mis en place dans le tout premier tome, symbolique d'une cohérence globale, permettant une vision d'ensemble plus que positive !
C'est donc fébrile qu'on entame ce dernier tome, qui se veut épique, superbe et touchant! Une page se tourne et c’est avec émotion que l’on clôt ce dernier opus d’une série qui au final nous aura fait forte impression.
L'émotion est donc au rendez-vous, et jusqu'à l'ultime conclusion, on se laissera porter par cette dernière, l'auteur facilitant la chose avec une narration et une mise en page exemplaire.
La lutte finale va donc être intense, et sans surprise elle sera réservée à Recca qui va enfin éveiller son huitième dragon. L'identité de ce dernier va encore ajouter une dose d'émotions ainsi que de beaux moments.
Dès le début de ce tome, l’auteur nous livre des planches renversantes, il maîtrise désormais totalement son dessin et sa mise en page, et certains passages sans dialogues se contemplent avec une certaine émotion. Pour autant le rythme de ce tome est incroyable, Anzai impose une cadence effrénée, il ne nous laisse pas reprendre notre souffle avant la fin. Il gère parfaitement tous ses personnages, et conclut magistralement toutes les intrigues. Le destin de chacun est accompli, et désormais tous se tournent vers l’avenir tout comme les lecteurs !
Après le dantesque affrontement final dans lequel il se passe de nombreuses choses (il serait dommage de gâcher la surprise), l’auteur prend le temps de conclure tranquillement, sans se précipiter, en nous expliquant brièvement ce que devient chacun de nos héros… Ainsi nous avons droit à une véritable conclusion, totalement satisfaisante. Ceci encore renforce la mélancolie de devoir quitter cette série.
C’est avec émotion que l’on ferme ce dernier tome, on réalise que l’on vient de perdre le plaisir de découvrir les nouveaux tomes de cette série, et si ce dernier volume se lit assez vite, de par son rythme, on n’est pas pressé d’aller au bout, d’en terminer avec Recca et ses compagnons, on aurait bien pris quelques volumes de plus !
Un volume remarquable qui vient conclure une excellente série qui mérite bien plus que le peu de succès qu’elle a rencontré !
14/12/2005 