Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 19 Juin 2019
Au gré du quotidien entre le lycée avec ses amis et le temple auprès de Chion, Gen poursuit sa vie d'adolescent en voyant petit à petit arriver une nouvelle période dont il est bien décidé à profiter: l'été. Tandis que la chaleur s'installe, le jeune garçon se confronte à diverses petites choses: les examens, la question de savoir si oui ou non il sera retenu pour le tournoi de kendo, l'envie de se faire couper un peu les cheveux (tâche que Chion exécutera), des sorties entre amis, une journée à la plage où Chion pourra arborer (non sans charme) le nouveau maillot de bain qu'elle a précédemment acheté, les débuts des préparatifs pour la future fête d'Obon...
Avec des petits chapitres nous plongeant à nouveau dans divers événements faisant le charme du quotidien en campagne, Makoto Ojiro ne change pas sa recette dans ce quatrième volume de La fille du temple aux chats, cependant il y apporte encore un charme supplémentaire en cherchant à exploiter le plus possible la période estivale, ce qui passe par de très nombreuses choses. Des événements typiques de l'été comme la journée à la mer bien sûr, où tout le monde profite du beau temps pour s'amuser sur la plage ou dans l'eau. Mais aussi pléthore de petits détails: les chats qui cherchent à ses reposer à l'ombre, le chien qui a chaud, les chants des grenouilles empêchant Gen de dormir la nuit (le temps qu'il s'habitue), celui des cigales le matin, les décors omniprésents que l'auteur s'applique à dépeindre sous divers angles... Enveloppé dans un récit paisible et fait de petits rien agréables, l'ensemble reste immersif et plaisant à suivre. D'autant plus que comme toujours, le mangaka ne rate pas une occasion de mettre en valeur le charme de Chion, que ce soit physiquement (cette fois en assistant un peu moins sur son fessier, ouf) ou au niveau de son caractère.
Cela dit, Ojiro, dans tout ceci, parvient aussi à glisser subrepticement quelques petits détails autour de certains de ses personnages. A commencer par Chion bien sûr: à force de dédier sa vie aux autres, ne risque-t-elle pas d'oublier un peu de s'occuper d'elle-même ? Un homme comme le prof et prêtre Sasuga continue de lui tourner autour, et on se demande facilement de quoi il en retournera. A travers une vue de son genou et des scènes où elle apparaît un peu plus accessible malgré son caractère, c'est également Hiruma qui gagne un peu plus dans ce tome. Enfin, on appréciera de voir les différents amis de ces deux-là, comme Tamae, un peu plus présents, ne serait-ce que pendant la journée à la mer.
Avec des petits chapitres nous plongeant à nouveau dans divers événements faisant le charme du quotidien en campagne, Makoto Ojiro ne change pas sa recette dans ce quatrième volume de La fille du temple aux chats, cependant il y apporte encore un charme supplémentaire en cherchant à exploiter le plus possible la période estivale, ce qui passe par de très nombreuses choses. Des événements typiques de l'été comme la journée à la mer bien sûr, où tout le monde profite du beau temps pour s'amuser sur la plage ou dans l'eau. Mais aussi pléthore de petits détails: les chats qui cherchent à ses reposer à l'ombre, le chien qui a chaud, les chants des grenouilles empêchant Gen de dormir la nuit (le temps qu'il s'habitue), celui des cigales le matin, les décors omniprésents que l'auteur s'applique à dépeindre sous divers angles... Enveloppé dans un récit paisible et fait de petits rien agréables, l'ensemble reste immersif et plaisant à suivre. D'autant plus que comme toujours, le mangaka ne rate pas une occasion de mettre en valeur le charme de Chion, que ce soit physiquement (cette fois en assistant un peu moins sur son fessier, ouf) ou au niveau de son caractère.
Cela dit, Ojiro, dans tout ceci, parvient aussi à glisser subrepticement quelques petits détails autour de certains de ses personnages. A commencer par Chion bien sûr: à force de dédier sa vie aux autres, ne risque-t-elle pas d'oublier un peu de s'occuper d'elle-même ? Un homme comme le prof et prêtre Sasuga continue de lui tourner autour, et on se demande facilement de quoi il en retournera. A travers une vue de son genou et des scènes où elle apparaît un peu plus accessible malgré son caractère, c'est également Hiruma qui gagne un peu plus dans ce tome. Enfin, on appréciera de voir les différents amis de ces deux-là, comme Tamae, un peu plus présents, ne serait-ce que pendant la journée à la mer.
Alors que l'été arrive également petit à petit chez nous, ce quatrième volume sort à point nommer, et nous fait très facilement profiter de son ambiance agréable et dépaysante. La fille du temple aux chats s'offre là un bon volume, une nouvelle fois, le charme de ce coin de campagne, de son temple, de ses félins et de son héroïne fonctionnant toujours.