Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 02 Novembre 2020
Après un premier ouvrage ravissant en juin dernier, les éditions Komikku ont sorti fin octobre le deuxième des trois albums illustrés que Nagabe a conçus pour des éditions limitées japonaises de L'Enfant et le Maudit. Et après un chaleureux et joyeux goûter dans l'album précédent, place cette fois-ci à la découverte du jardinage pour Sheeva !
Dans Jardinons avec L'Enfant et le Maudit, Sheeva trouve un jour dans une vieille lettre une sorte de bille ronde et noire, qui s'avère être en réalité une graine de plante inconnue. malgré ses recherches avec le Professeur, impossible de déterminer de quelle graine il s'agit... alors pour le savoir, le mieux est peut-être encore de la faire pousser !
Très simple, l'album nous narre un petit moment de vie sympathique dans la mesure où il met bien en avant, surtout dans sa dernière partie,, une chose assez typique des enfants de l'âge de Sheeva: l'impatience face à une graine qui prend forcément du temps pour germer et pousser. Sheeva a beau l'arroser et l'observer au fil du temps, c'est lent... mais pour quel résultat à la fin ? Là-dessus, Nagabe se veut assez malin via une petite pirouette, mais pourra aussi frustrer un petit puisqu'on ne saura pas quelle est exactement cette graine.
Sur le plan visuel, l'artiste séduit toujours, bien sûr, pour sa patte unique, ses contours diffus, la douceur de l'ensemble... mais il change également un eu de cap par rapport au premier album, au risque de peut-être décevoir légèrement. En effet, là où le premier album se voulait coloré et chaleureux grâce au goûter, ici toute la deuxième moitié de l'album se focalise essentiellement sur le pot, avec beaucoup de blanc en fond, malgré quelques présences d'une Sheeva que l'on adore observer. Et c'est également le Professeur qui, tout compte fait, se fait moins présent.
On a donc un deuxième album de 30 pages un brin différent du premier, peut-être un peu moins joli, mais gardant le charme typique de L'Enfant et le Maudit dans une ambiance éloignée de l'oeuvre d'origine. Qui plus est, l'édition reste toujours aussi qualitative avec un papier, une impression et une couverture rigide de grande qualité, un assez grand format (le même que le premier album, bien sûr) appréciable, et un prix dans la moyenne de ce qui se pratique en albums jeunesse.
Dans Jardinons avec L'Enfant et le Maudit, Sheeva trouve un jour dans une vieille lettre une sorte de bille ronde et noire, qui s'avère être en réalité une graine de plante inconnue. malgré ses recherches avec le Professeur, impossible de déterminer de quelle graine il s'agit... alors pour le savoir, le mieux est peut-être encore de la faire pousser !
Très simple, l'album nous narre un petit moment de vie sympathique dans la mesure où il met bien en avant, surtout dans sa dernière partie,, une chose assez typique des enfants de l'âge de Sheeva: l'impatience face à une graine qui prend forcément du temps pour germer et pousser. Sheeva a beau l'arroser et l'observer au fil du temps, c'est lent... mais pour quel résultat à la fin ? Là-dessus, Nagabe se veut assez malin via une petite pirouette, mais pourra aussi frustrer un petit puisqu'on ne saura pas quelle est exactement cette graine.
Sur le plan visuel, l'artiste séduit toujours, bien sûr, pour sa patte unique, ses contours diffus, la douceur de l'ensemble... mais il change également un eu de cap par rapport au premier album, au risque de peut-être décevoir légèrement. En effet, là où le premier album se voulait coloré et chaleureux grâce au goûter, ici toute la deuxième moitié de l'album se focalise essentiellement sur le pot, avec beaucoup de blanc en fond, malgré quelques présences d'une Sheeva que l'on adore observer. Et c'est également le Professeur qui, tout compte fait, se fait moins présent.
On a donc un deuxième album de 30 pages un brin différent du premier, peut-être un peu moins joli, mais gardant le charme typique de L'Enfant et le Maudit dans une ambiance éloignée de l'oeuvre d'origine. Qui plus est, l'édition reste toujours aussi qualitative avec un papier, une impression et une couverture rigide de grande qualité, un assez grand format (le même que le premier album, bien sûr) appréciable, et un prix dans la moyenne de ce qui se pratique en albums jeunesse.
27/10/2022 