Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 25 Mars 2009
La recette reste identique pour ce dixième volume de la série. Des inventions loufoques qui se détraquent entre les mains du plus malchanceux enfant de la terre (non, pas Charlie Brown…): Nobita.
J’ai particulièrement adoré la machine à couper les hommes qui permet une certaine ubiquité tant que vos jambes ne se rebellent pas contre tête… la chute est fort bien trouvée.
Libre de toute contrainte, Fujio-fujiko aborde les méfaits de l’alcool et concrétise tout les rêves d’enfant comme ce magazine venu du futur et ses gadgets géants ou cet appareil photo à rayons X. Les auteurs ne manquent pas non plus de redessiner les choses qu’ils affectionnent comme ce dinosaure qu’élève Nobita dans la dernière histoire plus longue de ce tome.
Je souhaitais dans la chronique du tome précédant des histoires plus longues et cela commence à en prendre le pas avec cette le dinosaure de Nobita qui a lui seul justifie déjà la lecture de volume 10. Un graphisme très rudimentaire mais plein de bon morceaux de bravoure.