Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 04 Janvier 2008
"Entre les êtres humains... rien n'est éternel."
Maki, une jeune lycéenne, gagne son argent de poche en photographiant discrètement les petites culottes et autres atouts très prisés de ses camarades. Voilà une chose peu élégante pour une jeune fille. Mais ce qui est sûr, c'est que même ces clichés peu reluisants montrent son talent bien réél. La jeune fille se fait alors remarquer par un homme du métier: Asaï. Celui-ci, afin de faire renaître la flamme d'artiste de celle qu'il aime, Aï, décide de tendre un piège à la jeune fille qui alors, parviendra certainement à faire revivre la sensibilité et l'intérêt de cette photographe afin de la sortir de cette impasse.
Mari Okazaki nous offre une histoire bien intéressante ici. On observe alors des lycéennes qui veulent trouver une voie, ce chemin qui fera d'elles des femmes d'exception. L'amie de Maki, très rêveuse, compte sur l'amour pour changer sa vie. Elle qui n'a de passion réelle pour rien en particulier, compte alors sur les hommes pour se sortir du monde de la routine et vivre heureuse. Maki, quant à elle, aime la photo. Ca n'est pas l'amour qui fait battre son coeur, mais plutôt le bruit du déclencheur. Il suffit d'appuyer, maintes et maintes fois, afin de lui faire perdre pied. D'un caractère de feu, sa sensibilité se retrouve sans conteste sur ses clichés. Mais avoir une rivale, n'est-ce pas une chose stimulante? Aï est alors un autre talent à surpasser, mais aussi, un maître sans égal.
On assiste ici à trois jeune femmes qui se battent pour ce qu'elles veulent réellement. Elles se donnent à fond pour réussir, pour atteindre ce but qui n'est pas forcément clair dans leur tête. Mais petit-à-petit, chacun trouve son chemin, et c'est alors que la complicité est de rigueur pour avancer encore davantage.
Ce recueil de Mari Okazaki nous présente un de ses tout premiers récits. Le dessin est moins beau que les futurs, et l'histoire n'est pas pleinement intéressante. C'est alors que notre intérêt grimpe au sein du troisième chapitre, lors de cette dispute entre Aï, Saï, Maki et son amie. L'énergie qui s'y dégage est forte et pleine de fougue. Il est toutefois dommage que par endroits, l'histoire baisse en qualité, ainsi que le dessin. Toutefois, on reconnaît aisément le style de l'auteur, et pour les fans, il sera alors bien nécessaire de garder cette petite histoire dans leur collection.
lovehina68
Maki, une jeune lycéenne, gagne son argent de poche en photographiant discrètement les petites culottes et autres atouts très prisés de ses camarades. Voilà une chose peu élégante pour une jeune fille. Mais ce qui est sûr, c'est que même ces clichés peu reluisants montrent son talent bien réél. La jeune fille se fait alors remarquer par un homme du métier: Asaï. Celui-ci, afin de faire renaître la flamme d'artiste de celle qu'il aime, Aï, décide de tendre un piège à la jeune fille qui alors, parviendra certainement à faire revivre la sensibilité et l'intérêt de cette photographe afin de la sortir de cette impasse.
Mari Okazaki nous offre une histoire bien intéressante ici. On observe alors des lycéennes qui veulent trouver une voie, ce chemin qui fera d'elles des femmes d'exception. L'amie de Maki, très rêveuse, compte sur l'amour pour changer sa vie. Elle qui n'a de passion réelle pour rien en particulier, compte alors sur les hommes pour se sortir du monde de la routine et vivre heureuse. Maki, quant à elle, aime la photo. Ca n'est pas l'amour qui fait battre son coeur, mais plutôt le bruit du déclencheur. Il suffit d'appuyer, maintes et maintes fois, afin de lui faire perdre pied. D'un caractère de feu, sa sensibilité se retrouve sans conteste sur ses clichés. Mais avoir une rivale, n'est-ce pas une chose stimulante? Aï est alors un autre talent à surpasser, mais aussi, un maître sans égal.
On assiste ici à trois jeune femmes qui se battent pour ce qu'elles veulent réellement. Elles se donnent à fond pour réussir, pour atteindre ce but qui n'est pas forcément clair dans leur tête. Mais petit-à-petit, chacun trouve son chemin, et c'est alors que la complicité est de rigueur pour avancer encore davantage.
Ce recueil de Mari Okazaki nous présente un de ses tout premiers récits. Le dessin est moins beau que les futurs, et l'histoire n'est pas pleinement intéressante. C'est alors que notre intérêt grimpe au sein du troisième chapitre, lors de cette dispute entre Aï, Saï, Maki et son amie. L'énergie qui s'y dégage est forte et pleine de fougue. Il est toutefois dommage que par endroits, l'histoire baisse en qualité, ainsi que le dessin. Toutefois, on reconnaît aisément le style de l'auteur, et pour les fans, il sera alors bien nécessaire de garder cette petite histoire dans leur collection.
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