Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 24 Décembre 2018
Hiro, que fais-tu? Réveille-toi ! Pourquoi veux-tu abandonner le kabuki ? Et Ayame où est-elle dans l’histoire ?
Des questions inexplicables, Hiro est en ce moment même un point mort… Plus aucune envie de pratiquer le kabuki, ni de voir Ayame et encore moins Yûna. Mais il sera forcé malgré lui d’aller vers l’avant ! Car Kyô ne le laisse pas se morfondre dans son coin et tentera à peu près tout et n’importe quoi pour revoir le Hiro qu’il connaît, celui qu’il admire. Mais le jeune homme l’avouera lui-même : « Mon instinct à préféré le kabuki à elle. ». Sauf que l’héritier ne méninge pas ses efforts : il cherche à aider son rival, il révise et se donne à fond pour le kabuki jusqu’à même donner des cours aux enfants. On peut le dire, Kyô est déterminé comme jamais.
De nouveaux rôles se font attribuer : Kyô sous le nom d’Oshô et Hiro sous celui d’Ojô, un spectacle qui met en scène un couple. Alors forcément avec l’adrénaline de Kyô, il se met à travailler d’arrache pieds pour son personnage, allant jusqu’à ne plus faire la différence entre le rôle qu’il joue et la réalité. Le voilà à se poser des questions sur ses attirances pour Hiro et sur sa tournure…
Du côté de Yûna, la vie se fait aussi difficile et elle n’arrive plus à voir les choses comme il le faut. Tout tourne en rond dans sa tête et elle est partagée entre Hiro et tout le reste. Une situation qui tourne à l’avantage de Shôro qui en profite pour se servir de la demoiselle pour aboutir à ses plans personnels. On se sait pas trop s’il a réellement des sentiments à l’égard de Yûna mais ce qui l’intéresse principalement ici est qu’il pourra voler un rôle dont il rêve tant depuis gamin. C’est donc avec l’aide de l’adolescente, qui se fait du mal elle-même, que soudainement Hiro manque à l’appel le jour du spectacle…
Voici là un cinquième tome plus endormi que le précédent, mais il en reste tout de même plaisant à lire et attrayant ! Le seul petit hic sera le retrait d’Ayame qui ne se fait voir que sur quelques planches. On en vient à se dire que l’auteur parfois oublie peu être ses personnages… Dans le volume précédent c’était Kyô qui était inexistant et dans celui d’avant, Hiro n’était pas de la partie. D’où le fait d’un questionnement sur le scénario d’Ako Shimaki.
Outre ce fait, on sent une nette amélioration de la profondeur des graphismes, spectacle, et de l’intrigue tout court. Les progrès sont flagrants et l’envie de lire la suite se fait de plus en plus grande ! Surtout qu’avec tous ces changements d’esprit, de sentiments et du fil de l’histoire qui avance, Le Chemin des Fleurs se fraye doucement une place dans la liste des shojo à avoir lu. C’est pour dire le succès qu’il commence à connaître.
Nous avons là, entre nos mains, une culture de tout un art : le kabuki. Sur ces airs de petite romance toute tracée se cache en réalité un sujet bien plus profond avec des relations compliquées qui s’entremêlent. Impossible de savoir vraiment si il y aura un jour une histoire d’amour, et encore faudrait-il savoir d’abord entre qui et qui ?
Des questions inexplicables, Hiro est en ce moment même un point mort… Plus aucune envie de pratiquer le kabuki, ni de voir Ayame et encore moins Yûna. Mais il sera forcé malgré lui d’aller vers l’avant ! Car Kyô ne le laisse pas se morfondre dans son coin et tentera à peu près tout et n’importe quoi pour revoir le Hiro qu’il connaît, celui qu’il admire. Mais le jeune homme l’avouera lui-même : « Mon instinct à préféré le kabuki à elle. ». Sauf que l’héritier ne méninge pas ses efforts : il cherche à aider son rival, il révise et se donne à fond pour le kabuki jusqu’à même donner des cours aux enfants. On peut le dire, Kyô est déterminé comme jamais.
De nouveaux rôles se font attribuer : Kyô sous le nom d’Oshô et Hiro sous celui d’Ojô, un spectacle qui met en scène un couple. Alors forcément avec l’adrénaline de Kyô, il se met à travailler d’arrache pieds pour son personnage, allant jusqu’à ne plus faire la différence entre le rôle qu’il joue et la réalité. Le voilà à se poser des questions sur ses attirances pour Hiro et sur sa tournure…
Du côté de Yûna, la vie se fait aussi difficile et elle n’arrive plus à voir les choses comme il le faut. Tout tourne en rond dans sa tête et elle est partagée entre Hiro et tout le reste. Une situation qui tourne à l’avantage de Shôro qui en profite pour se servir de la demoiselle pour aboutir à ses plans personnels. On se sait pas trop s’il a réellement des sentiments à l’égard de Yûna mais ce qui l’intéresse principalement ici est qu’il pourra voler un rôle dont il rêve tant depuis gamin. C’est donc avec l’aide de l’adolescente, qui se fait du mal elle-même, que soudainement Hiro manque à l’appel le jour du spectacle…
Voici là un cinquième tome plus endormi que le précédent, mais il en reste tout de même plaisant à lire et attrayant ! Le seul petit hic sera le retrait d’Ayame qui ne se fait voir que sur quelques planches. On en vient à se dire que l’auteur parfois oublie peu être ses personnages… Dans le volume précédent c’était Kyô qui était inexistant et dans celui d’avant, Hiro n’était pas de la partie. D’où le fait d’un questionnement sur le scénario d’Ako Shimaki.
Outre ce fait, on sent une nette amélioration de la profondeur des graphismes, spectacle, et de l’intrigue tout court. Les progrès sont flagrants et l’envie de lire la suite se fait de plus en plus grande ! Surtout qu’avec tous ces changements d’esprit, de sentiments et du fil de l’histoire qui avance, Le Chemin des Fleurs se fraye doucement une place dans la liste des shojo à avoir lu. C’est pour dire le succès qu’il commence à connaître.
Nous avons là, entre nos mains, une culture de tout un art : le kabuki. Sur ces airs de petite romance toute tracée se cache en réalité un sujet bien plus profond avec des relations compliquées qui s’entremêlent. Impossible de savoir vraiment si il y aura un jour une histoire d’amour, et encore faudrait-il savoir d’abord entre qui et qui ?
En restant sur sa continuité, ce tome est une pure réussite et on ne demande qu’à voir le dénouement de cette fin de volume plus que trépidante !