Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 04 Août 2009
Après la mise en place de l’intrigue dans les tomes précédents, et la présentation des chrono numbers et autres apôtres de l’étoile, ce volume 4 propose une mission éloignée de tous ces évènements. Tout d’abord, les deux premiers chapitres reviennent sur le passé de Sven, à l’époque où il était un agent du I.B.I avec Lloyd, son partenaire. C’est l’occasion d’en savoir plus sur son « vision eye » découvert au tome précédent. L’auteur dépeint alors un univers digne d’un polar américain, mais usant de ficelles narratives vues et revues. Ce flashback aurait mérité bien plus que deux chapitres, tant le personnage de Lloyd était intéressant, surtout face à la mort.
Dans le reste du tome, Train et Rinslet se retrouvent dans une réception assez guindée. Le héros ne sait pas trop ce qu’il fait là, jusqu’à croiser le chemin d’un tueur à gages. Mais la fête va virer au grand n’importe quoi avec l’apparition d’un… tyrannosaure. On ne sait pas vraiment ce que ce remake de Jurassic Park vient faire dans l’univers de Black Cat, mis à part que la série continue d’enchainer des scènes déjà vues ailleurs sans grande vraisemblance. Au final, cette histoire est surtout l’occasion de montrer Train dans des actions toujours aussi classeuses, les nouveaux talents de la petite Eve, et le nouvelle artillerie de Sven, également du voyage. Au final, l’ensemble reste tout de même divertissant, si l’on ne fait pas trop le difficile quant au pourquoi du comment. Et alors qu’on pensait que le scénario se focaliserait sur les forces en présence, la série montre qu’elle n’entre pas dans un schéma linéaire, et prend le temps de développer encore ce genre de missions annexes, et son univers en général. Ainsi, malgré une impression de déjà-vu, Black Cat reste très agréable à lire, notamment grâce au trait assez plaisant de Kentaro Yabuki.
Tianjun
Dans le reste du tome, Train et Rinslet se retrouvent dans une réception assez guindée. Le héros ne sait pas trop ce qu’il fait là, jusqu’à croiser le chemin d’un tueur à gages. Mais la fête va virer au grand n’importe quoi avec l’apparition d’un… tyrannosaure. On ne sait pas vraiment ce que ce remake de Jurassic Park vient faire dans l’univers de Black Cat, mis à part que la série continue d’enchainer des scènes déjà vues ailleurs sans grande vraisemblance. Au final, cette histoire est surtout l’occasion de montrer Train dans des actions toujours aussi classeuses, les nouveaux talents de la petite Eve, et le nouvelle artillerie de Sven, également du voyage. Au final, l’ensemble reste tout de même divertissant, si l’on ne fait pas trop le difficile quant au pourquoi du comment. Et alors qu’on pensait que le scénario se focaliserait sur les forces en présence, la série montre qu’elle n’entre pas dans un schéma linéaire, et prend le temps de développer encore ce genre de missions annexes, et son univers en général. Ainsi, malgré une impression de déjà-vu, Black Cat reste très agréable à lire, notamment grâce au trait assez plaisant de Kentaro Yabuki.
Tianjun