Bien triste famille (une) : Critiques

Après les délires schizophrénique des"Amours de Taneko" , ABE nous présente sa vision du quotidien des ouvriers miniers au début du siècle.

Une descente aux enfers, sans un moment de répit, où la femme n'est qu'une possession comme une autre et où sa position dans la classe sociale est tout et donne le droit de vie ou de mort sur les autres.

Un manga noir et violent, qui ne veut rien cacher.

On notera le dessin qui varie suivant les périodes de la maladie de l'auteur.

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