Beck Vol.31 : Critiques

Enfin la suite du concert sur la Ley Line de l'Avalon festival nous est offerte, et ce pour notre plus grand bonheur, en voyant les sublimes planches réalisées à cette fin, le lecteur ne peut s'empêcher de frémir et de ressentir la force qui émane du groupe et de la quintessence de l'amitié qui unit nos joyeux rockeurs !

Toujours aussi simple et sentimental, l'auteur nous emmène même dans les rouages du festival en nous dévoilant un final inimaginable, avec le retour des poids lourds de l'industrie musicale et des outsiders qui assurent leurs positions. Impensable il y a seulement quelques chapitres, la révélation Beck pour ce festival sonne juste, et le déroulement de leur concert avec en clôture un inédit qui ne nous est que retracé laisse un goût subtil et revenchard...

Beck n'en finit plus de nous étonné et de nous conquérir, les polissons de Mongolian Chop Squad se ressoudent et la manière avec laquelle ces faits apparaissent nous laissent sans voix : les mots justes, les situations réelles et simples nous font adhérer totalement.
Un titre qui mérite sans aucun doute une place dans la mangathèque idéale !
En nous camouflant, par ci par là, des monstres du rock ( les frères Gallagher, Slash, Keith Richards ou encore The Who - avec une apparition des plus inabouties...), des stars du foot ( Ronaldinho, Thierry Henry ou Cesc Fabregas ), Harold Sakuishi s'amuse et nous fournit de quoi pimenter les lectures et re-lectures du titre.
Un titre à découvrir de toute urgence ! Il ne reste seulement que trois petits volumes pour clôturer l'aventure de Beck !

daigoro