Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 21 Janvier 2019
C’est la rentrée ! Les vacances sont enfin terminées pour nos acolytes et il est temps de retrouver les bonnes vieilles habitudes. Une nouvelle année de cours certes, mais on oublie pas les entraînements de basket et le job de manager exercé par Tsubasa.
Tout se résume absolument à la même chose que l’année précédente, enfin à un détail près. Il faut bien que des plus petits qu’eux fassent leur apparition au lycée. C’est donc de nouvelles têtes qui vont gambader dans les allées avec à la prime de nouveaux talents pour l’équipe de basket ! On peut voir arriver le frère de Tsubasa ainsi qu’un de ses ami dans le club de basket mais également une jeune demoiselle qui souhaite devenir manager. Hina, la sœur de Soma, celui qu’on avait aperçu lors de la Winter Cup et qui avait raflé la victoire. Alors que vient-elle faire ici ?
Avec l’arrivée des jeune de première année, un nouvel air souffle dans l’Amour à l’Excès. Mais ce tome se concentrera principalement sur Hina, elle qui rêve de manager une équipe de basket qui pourrait être capable de battre son frère… Voilà son rêve, mettre son aîné au tapis. N’y passant pas par quatre chemins, l’auteure nous offre Hina comme une adolescente encore assez nunuche qui saute partout et qui n’hésite pas à dire ce qu’elle pense. Des scènes hilarantes mais gênantes pour les joueurs vont nous captiver car avec ses mots sans douceur mêlés à une ignorance de savoir dire au sein d’une équipe de sport, elle va vite s’attirer quelques petites remarques. Sauf que Tsubasa est là pour lui apprendre les ficelles du métier !
Et c’est en apprenant doucement à connaître le personnage qu’on va vite comprendre l’intérêt pour Nana Haruta d’avoir intégrer une telle bombe énergétique. Tout simplement qu’il se peut qu’Hina est un pincement au cœur quand elle se tient face à Aki. Comment ça, quelqu’un pourrait me voler Aki ? Si seulement notre protagoniste pourrait voir un peu plus tôt ce qu’il se passe sous ses yeux… A moins qu’Aki sort déjà avec la nouvelle ?
Ce qui est sûr, c’est que l’auteur cherche à introduire un élément perturbateur, ne veut-elle pas encore achever son œuvre ? Même si ce genre de problème est courant dans un shojo, une fille qui pourrait se mettre en travers d’une relation, on a l’envie de voir comment elle compte développer ça. Juste, si Nana peut éviter de trop tomber dans les clichés, ça serait pas mal, car qui dit situation semblable aux autres shôjo rime avec lassitude… Dur à avouer mais pourtant vrai. Maintenant que l’ Amour à l’Excès commence à avoir son histoire propre, pourquoi s’engager dans un des plus gros cliché ?
Tout se résume absolument à la même chose que l’année précédente, enfin à un détail près. Il faut bien que des plus petits qu’eux fassent leur apparition au lycée. C’est donc de nouvelles têtes qui vont gambader dans les allées avec à la prime de nouveaux talents pour l’équipe de basket ! On peut voir arriver le frère de Tsubasa ainsi qu’un de ses ami dans le club de basket mais également une jeune demoiselle qui souhaite devenir manager. Hina, la sœur de Soma, celui qu’on avait aperçu lors de la Winter Cup et qui avait raflé la victoire. Alors que vient-elle faire ici ?
Avec l’arrivée des jeune de première année, un nouvel air souffle dans l’Amour à l’Excès. Mais ce tome se concentrera principalement sur Hina, elle qui rêve de manager une équipe de basket qui pourrait être capable de battre son frère… Voilà son rêve, mettre son aîné au tapis. N’y passant pas par quatre chemins, l’auteure nous offre Hina comme une adolescente encore assez nunuche qui saute partout et qui n’hésite pas à dire ce qu’elle pense. Des scènes hilarantes mais gênantes pour les joueurs vont nous captiver car avec ses mots sans douceur mêlés à une ignorance de savoir dire au sein d’une équipe de sport, elle va vite s’attirer quelques petites remarques. Sauf que Tsubasa est là pour lui apprendre les ficelles du métier !
Et c’est en apprenant doucement à connaître le personnage qu’on va vite comprendre l’intérêt pour Nana Haruta d’avoir intégrer une telle bombe énergétique. Tout simplement qu’il se peut qu’Hina est un pincement au cœur quand elle se tient face à Aki. Comment ça, quelqu’un pourrait me voler Aki ? Si seulement notre protagoniste pourrait voir un peu plus tôt ce qu’il se passe sous ses yeux… A moins qu’Aki sort déjà avec la nouvelle ?
Ce qui est sûr, c’est que l’auteur cherche à introduire un élément perturbateur, ne veut-elle pas encore achever son œuvre ? Même si ce genre de problème est courant dans un shojo, une fille qui pourrait se mettre en travers d’une relation, on a l’envie de voir comment elle compte développer ça. Juste, si Nana peut éviter de trop tomber dans les clichés, ça serait pas mal, car qui dit situation semblable aux autres shôjo rime avec lassitude… Dur à avouer mais pourtant vrai. Maintenant que l’ Amour à l’Excès commence à avoir son histoire propre, pourquoi s’engager dans un des plus gros cliché ?
C’est néanmoins sur une grande interrogation que cette histoire nous laisse en fin de volume. Deux options s’offrent donc à nous, soit Hina invente un mensonge de toute pièce pour troublée Tsubasa ou alors ses affirmations peuvent être vraies et dans ce cas l’histoire peut prendre une nouvelle tournure. Donc d’un sens, Nana Haruta insiste pour capter notre intention et cela fonctionne ! La preuve, la hâte du prochain tome est plus que présente !
30/09/2020 