Air Gear Vol.25 - Actualité manga

Air Gear Vol.25 : Critiques

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 06 Janvier 2011

Alors qu'ils viennent de sortir victorieux de leur combat virtuel, le retour à la réalité s'effectue avec quelques fracas ! En effet, le corps d'Emiri est à présent habitué par l'esprit... de John Omaha, qui n'est autre que le nouveau président des Etats Unis ! Avant que cette situation incongrue ne puisse se résoudre, l'homme le plus puissant du monde explique aux Kogarasu Maru l'importance du monde des Air Treck et son implication dans les conflits actuels. Mais le grand tournoi du Gram Scale a commencé, et la bande à Ikki enchaine directement avec son premier combat, face aux Highway Circus. Néanmoins, grâce à leur nouvel allié de poids, ils inscrivent déjà leur nom dans la légende de l'Air Treck ! L'histoire est définitivement en marche !

Les aventures des storm riders continuent avec ce vingt-cinquième volume, un peu plus mince que d'habitude, avec un résumé réduit à son strict minimum et aucune page bonus. Il faut dire que ce tome semble vouloir aller droit au but ! L'affaire Omaha se règlera en seulement deux chapitres, et il en faudra tout autant pour régler le sort des adversaires du jour, servant surtout de faire valoir. Mais ce n'est pas la première fois qu' Oh! Great élude certains duels, et on ressent rapidement qu'autre chose se trame...

Le choc viendra donc à partir de la seconde moitié du volume, revenant sur la déchéance du Trident, dont Genesis préfère se séparer... et pas forcément à l'amiable. Nous retrouvons donc les visages de l'Ouest connus il y a quelques temps déjà, et c'est un certain sentiment de déjà-vu qui ressort, si l'on met le passage en parallèle avec les évènements du redoutable tome 18. Une nouvelle fois, les mentors s'effacent pour laisser place à la nouvelle génération. Le tout ne se fera pas sans douleur ni larmes, et l'esprit de guerre de gangs et de familles rivales n'a sans doute jamais été aussi forte. On regrettera en revanche un des défauts récurrents dans la série : l'apparition de nouveaux visages d'un jour (ici Gauvain et Perceval), toujours plus charismatiques, mais qui seront surement occultés par d'autres au volume suivant...

Au final, ce tome s'inscrit dans une bonne continuité, et même si l'on peut regretter certains choix auxquels l'auteur nous a habitué, il est aussi agréable d'y retrouver certaines de ses références. Des répliques de mangas cultes au château d'Osaka qui a déjà servi à Enfer et Paradis, il y a de quoi être servi. Et qui sait, peut-être que les lecteurs les plus sensibles pourront être affectés par la tournure des évènements...


Tianjun


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Tianjun
14 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs