Nous voyons avec ce volume la fin du passage "le yankee", qui nous aura tenu en haleine, pendant près de dix-sept chapitres. ces derniers étant profondément palpitant et poignants, le personnage d'Ushijima étant tenu que comme rôle secondaire, reste jusqu'à la fin tout au long présent, rien que par l'aura qu'il dégage et son talent dans la manipulation.
Le personnage de Masaru, au début de l'histoire "le yankee" se voyait attribuer un rôle tout au plus banal, est devenu lors de cette longue histoire, un personnage des plus intriguant dans son évolution et dans son rôle qui jouera dans les volumes à venir, en tant que yamikins auprès d'Ushijima, on ressent avec plaisir que celui-ci nous réserve, "un chien de sa chienne" à notre yamikin qu'est Ushijima.
Il faudra s'attendre, comme d'habitude, dans son volume, à un lot gargantuesque de violences physiques et surtout psychologiques, auxquelles beaucoup plieront et dont peu se relèveront sans séquelles.
Les trois derniers chapitres de ce volume, s'ouvrent sur une nouvelle histoire tournant autour de quatre individus, aux tendances homo-sexuelles et l'on s'étonne, à un tel point, tant l'attache envers ces personnages se fait d'elle-même avec rapidité. Étant d'un esprit assez ouvert, je ne m'étonnerai pas que beaucoup de personnes ayant, au préalable, certains préjugés envers cette tendance sexuelle, verront ceux-ci vite s'estomper lors de leur lecture.
Le personnage d'Ushijima est encore moins présents dans cet arc de l'histoire comparé à la précédente, néanmoins, ce n'est en rien une gène, au contraire on ressent d'emblée l'aura de celui-ci et qu'il n'aura aucune pitié même pour nos quatre nouveaux personnages attachants.
Il est plaisant de constater lors de cet arc de l'histoire, de pouvoir être témoin du quotidien des associés d'Ushijima et de leurs travers psychologiques.
Un scénario toujours aussi fort en puissance et qui semble subir avec plaisir, une certaine expansion, ne s'encrant pas dans un cycle de déjà-vu.
Une qualité esthétique du dessin bien particulière mais n'est en rien déplaisante.
Un volume encore à ne pas mettre entre toutes les mains mais qui saura s'imposer dans vos lectures.
De mickrocks [241 Pts], le 18 Août 2010 à 09h16
Nous voyons avec ce volume la fin du passage "le yankee", qui nous aura tenu en haleine, pendant près de dix-sept chapitres. ces derniers étant profondément palpitant et poignants, le personnage d'Ushijima étant tenu que comme rôle secondaire, reste jusqu'à la fin tout au long présent, rien que par l'aura qu'il dégage et son talent dans la manipulation.
Le personnage de Masaru, au début de l'histoire "le yankee" se voyait attribuer un rôle tout au plus banal, est devenu lors de cette longue histoire, un personnage des plus intriguant dans son évolution et dans son rôle qui jouera dans les volumes à venir, en tant que yamikins auprès d'Ushijima, on ressent avec plaisir que celui-ci nous réserve, "un chien de sa chienne" à notre yamikin qu'est Ushijima.
Il faudra s'attendre, comme d'habitude, dans son volume, à un lot gargantuesque de violences physiques et surtout psychologiques, auxquelles beaucoup plieront et dont peu se relèveront sans séquelles.
Les trois derniers chapitres de ce volume, s'ouvrent sur une nouvelle histoire tournant autour de quatre individus, aux tendances homo-sexuelles et l'on s'étonne, à un tel point, tant l'attache envers ces personnages se fait d'elle-même avec rapidité. Étant d'un esprit assez ouvert, je ne m'étonnerai pas que beaucoup de personnes ayant, au préalable, certains préjugés envers cette tendance sexuelle, verront ceux-ci vite s'estomper lors de leur lecture.
Le personnage d'Ushijima est encore moins présents dans cet arc de l'histoire comparé à la précédente, néanmoins, ce n'est en rien une gène, au contraire on ressent d'emblée l'aura de celui-ci et qu'il n'aura aucune pitié même pour nos quatre nouveaux personnages attachants.
Il est plaisant de constater lors de cet arc de l'histoire, de pouvoir être témoin du quotidien des associés d'Ushijima et de leurs travers psychologiques.
Un scénario toujours aussi fort en puissance et qui semble subir avec plaisir, une certaine expansion, ne s'encrant pas dans un cycle de déjà-vu.
Une qualité esthétique du dessin bien particulière mais n'est en rien déplaisante.
Un volume encore à ne pas mettre entre toutes les mains mais qui saura s'imposer dans vos lectures.
Sur ce bonne lecture à toutes et tous ^^