Début très plaisant, clair et bien gratté. Tout en étant ancré dans le même univers que Magus Bride, ce récit trouve immédiatement sa propre voie, avec des idées différentes et des personnages déjà bien campés. Je lirai la suite avec plaisir !
Issu du bout du monde de The ancient magus bride (j’ai fait un focus venu de l’imaginaire de Koré Yamazaki, ce spin-off sera l’occasion de l’étendre à travers d’autres personnages !
Du prénom Ao faisant référence au bleu du ciel au Japon, ce jeune orphelin peint sur les commandes d’un rustre qui apprécie apparemment brutaliser plus faible que lui. Attiré par le bleu dont la cartouche est quasiment intacte, il lui défend de s’en servir, et n’hésite pas à le violenter quand il le fait.
C’est dans ce contexte qu’il va croiser Gisèle, tout d’abord masquée d’un voile de coiffe, elle va se révéler être un monstre, quand le voile tombera, à la suite de l’agitation de la magie d’Ao.
Si elle suscite l’intérêt tout comme Elias, comme l’a fait remarqué les trois gouverneurs des communautés magiques d’humains, elle est bien plus coopérative et chaleureuse que lui. Elle n’a pas les mêmes problèmes à comprendre les émotions humaines que lui, et est moins sombre et bien plus aimable.
Sorcière puissante et réputée, son « mariage » loin de sa connotation sentimentale est plus un pacte permettant de stabiliser les mondes magiques et humains qui dépendent chacun de l’autre et basculent réciproquement.
Ce premier tome qui sert donc de présentation de certains personnages et du système dans lequel l’histoire va évoluer, construit petit à petit, vers le milieu du tome une intrigue autour d’un « maudisseur », une personne créant des malédictions et maléfices pour gagner son pain.
De Koiwai [12693 Pts], le 26 Décembre 2020 à 19h25
Début très plaisant, clair et bien gratté. Tout en étant ancré dans le même univers que Magus Bride, ce récit trouve immédiatement sa propre voie, avec des idées différentes et des personnages déjà bien campés. Je lirai la suite avec plaisir !
De Ryuku [2749 Pts], le 12 Août 2020 à 10h34
Issu du bout du monde de The ancient magus bride (j’ai fait un focus venu de l’imaginaire de Koré Yamazaki, ce spin-off sera l’occasion de l’étendre à travers d’autres personnages !
Du prénom Ao faisant référence au bleu du ciel au Japon, ce jeune orphelin peint sur les commandes d’un rustre qui apprécie apparemment brutaliser plus faible que lui. Attiré par le bleu dont la cartouche est quasiment intacte, il lui défend de s’en servir, et n’hésite pas à le violenter quand il le fait.
C’est dans ce contexte qu’il va croiser Gisèle, tout d’abord masquée d’un voile de coiffe, elle va se révéler être un monstre, quand le voile tombera, à la suite de l’agitation de la magie d’Ao.
Si elle suscite l’intérêt tout comme Elias, comme l’a fait remarqué les trois gouverneurs des communautés magiques d’humains, elle est bien plus coopérative et chaleureuse que lui. Elle n’a pas les mêmes problèmes à comprendre les émotions humaines que lui, et est moins sombre et bien plus aimable.
Sorcière puissante et réputée, son « mariage » loin de sa connotation sentimentale est plus un pacte permettant de stabiliser les mondes magiques et humains qui dépendent chacun de l’autre et basculent réciproquement.
Ce premier tome qui sert donc de présentation de certains personnages et du système dans lequel l’histoire va évoluer, construit petit à petit, vers le milieu du tome une intrigue autour d’un « maudisseur », une personne créant des malédictions et maléfices pour gagner son pain.