Tandis qu’Etro F.F. se débat au quartier disciplinaire afin d’atteindre le manieur de stand, le prêtre fait son entrée et se veut plus véhément que jamais. Pendant ce temps, Jolyne et Annasui, en fuite dans les marécages, assistent désabusés à l’éclosion de l’œuf dont le contenu se révèle pour le moins inquiétant.
Chose assez rare dans la saga : deux luttes s’engagent, donc, en parallèle. Cela convient d’être noté et apprécié, d’autant qu’en l’espèce c’est habilement maîtrisé sans trop abuser des coupures que cela peu occasionner. Dans cet ouvrage Père Pucci prend plus de place qu’il n’en avait jamais eu auparavant : il fait une entrée en scène tout à la fois outrancière et décalée ; on remarquera le soin particulier que peu y attacher l’auteur comme lors de la séquence du quatrième tome où il discutait autour d’un plat de cerises. A mon sens, et à ce stade, l’antagoniste le mieux réussi de la saga Jojo : la séquence où le prêtre apparaît à Etro F.F. à travers les barreaux en comptant les nombres premiers, après avoir dansé et chanté « Hallleluya » à la vue des cadavres du quartier disciplinaire… il est fou cet Araki. Durant l’affrontement opposant le Prêtre à Etro F.F. nous apprécierons la pugnacité de ce dernier à tout faire pour préserver Jolyne : assez réussi et touchant au demeurant ; à tel point qu’il nous paraîtra peut être son ami le plus fidèle.
Pendant ce temps, dans les marécages, Jolyne et Annasui subissent la naissance d’une étrange créature face à laquelle ils semblent impuissants : tant le pouvoir dont elle est dotée apparaît sans-faille d’une certaine manière : bienvenu dans la quatrième dimension. Et c’est très bon. On retrouve la créativité d’un auteur parmi son meilleur niveau. Le suspense de fin d’ouvrage est tout à fait insoutenable et nous fait comprendre clairement que le Prêtre passe aux choses sérieuses : l’on ressent la haute tension que l’on a pu connaître lors de la fin du neuvième tome de la cinquième partie Golden Wind. En ce qui concerne le dessin, l’auteur nous fourni une prestation là-aussi parmi ses meilleures et reprend ici sa finesse d’usage. Certains lecteurs seront ravi de voir disparaître le style usité principalement lors du huitième tome dont chacun pourra faire son appréciation personnelle quant au parti-pris de l’auteur, voire relativement moindrement approprié.
Un ouvrage davantage classique que les deux précédents, comme si l'auteur, après des phases moins consensuelles d'accès, souhaitait fédérer dès à présent l'ensemble le plus vaste de ses lecteurs afin de pouvoir leur dévoiler avec efficience, et dans le prochain tome, la suite des évènements qui s'annonce pour le moins conséquente : le rythme s'accélère et la tension s'amplifie... le Prêtre passe à l'action.
D'accord avec la critique ce tome relance le manga avec des combats plus clair et dans le vrai style "jojo's", quand on pouvoir de l'enfant vert... pas mal, il y a que dans jojo's qu'on peut trouver des pouvoir aussi inventif (et bien utilisé)
Le mangaka est à présent publié dans un mensuel pour Jojo part 8 (Jojolion), donc il aurait fallu réduire le rythme des sorties à un moment ou un autre...sauf que là ce seuls mes petits enfants le verront ;)
T'es pas fou de dire ça toi ? Hormis le rythme de parution, Tonkam fait un très bon boulot d'adatptation et la traduction est impec ! Si ils ne continuent pas, personne ne reprendra SBR. Donc même si le rythme de parution est super chiant, il vaut mieux les encourager que les traiter d'incpables !
De Alphonse [421 Pts], le 26 Février 2016 à 16h26
Tandis qu’Etro F.F. se débat au quartier disciplinaire afin d’atteindre le manieur de stand, le prêtre fait son entrée et se veut plus véhément que jamais. Pendant ce temps, Jolyne et Annasui, en fuite dans les marécages, assistent désabusés à l’éclosion de l’œuf dont le contenu se révèle pour le moins inquiétant.
Chose assez rare dans la saga : deux luttes s’engagent, donc, en parallèle. Cela convient d’être noté et apprécié, d’autant qu’en l’espèce c’est habilement maîtrisé sans trop abuser des coupures que cela peu occasionner. Dans cet ouvrage Père Pucci prend plus de place qu’il n’en avait jamais eu auparavant : il fait une entrée en scène tout à la fois outrancière et décalée ; on remarquera le soin particulier que peu y attacher l’auteur comme lors de la séquence du quatrième tome où il discutait autour d’un plat de cerises. A mon sens, et à ce stade, l’antagoniste le mieux réussi de la saga Jojo : la séquence où le prêtre apparaît à Etro F.F. à travers les barreaux en comptant les nombres premiers, après avoir dansé et chanté « Hallleluya » à la vue des cadavres du quartier disciplinaire… il est fou cet Araki. Durant l’affrontement opposant le Prêtre à Etro F.F. nous apprécierons la pugnacité de ce dernier à tout faire pour préserver Jolyne : assez réussi et touchant au demeurant ; à tel point qu’il nous paraîtra peut être son ami le plus fidèle.
Pendant ce temps, dans les marécages, Jolyne et Annasui subissent la naissance d’une étrange créature face à laquelle ils semblent impuissants : tant le pouvoir dont elle est dotée apparaît sans-faille d’une certaine manière : bienvenu dans la quatrième dimension. Et c’est très bon. On retrouve la créativité d’un auteur parmi son meilleur niveau. Le suspense de fin d’ouvrage est tout à fait insoutenable et nous fait comprendre clairement que le Prêtre passe aux choses sérieuses : l’on ressent la haute tension que l’on a pu connaître lors de la fin du neuvième tome de la cinquième partie Golden Wind. En ce qui concerne le dessin, l’auteur nous fourni une prestation là-aussi parmi ses meilleures et reprend ici sa finesse d’usage. Certains lecteurs seront ravi de voir disparaître le style usité principalement lors du huitième tome dont chacun pourra faire son appréciation personnelle quant au parti-pris de l’auteur, voire relativement moindrement approprié.
Un ouvrage davantage classique que les deux précédents, comme si l'auteur, après des phases moins consensuelles d'accès, souhaitait fédérer dès à présent l'ensemble le plus vaste de ses lecteurs afin de pouvoir leur dévoiler avec efficience, et dans le prochain tome, la suite des évènements qui s'annonce pour le moins conséquente : le rythme s'accélère et la tension s'amplifie... le Prêtre passe à l'action.
De the world, le 02 Février 2012 à 00h36
D'accord avec la critique ce tome relance le manga avec des combats plus clair et dans le vrai style "jojo's", quand on pouvoir de l'enfant vert... pas mal, il y a que dans jojo's qu'on peut trouver des pouvoir aussi inventif (et bien utilisé)
De the world, le 16 Octobre 2011 à 21h10
C'est pas possible ce delai dire que c'est pour le meilleur manga inventé (meme si c'est pas la meilleure saison) ?faut vraiment faire quelque chose.
De a-yin, le 13 Octobre 2011 à 22h15
C'est quoi ce délire? O_o
fin octobre pour le volume 9, fin janvier pour le volume 10... mais c'est quoi ce rythme =( ?
J'ai l'impression qu'on est punis d'avoir eu les volumes 7 et 8 en juin et juillet!
De le gritche, le 01 Octobre 2011 à 09h27
Le mangaka est à présent publié dans un mensuel pour Jojo part 8 (Jojolion), donc il aurait fallu réduire le rythme des sorties à un moment ou un autre...sauf que là ce seuls mes petits enfants le verront ;)
De noutish [136 Pts], le 26 Septembre 2011 à 12h10
T'es pas fou de dire ça toi ? Hormis le rythme de parution, Tonkam fait un très bon boulot d'adatptation et la traduction est impec ! Si ils ne continuent pas, personne ne reprendra SBR. Donc même si le rythme de parution est super chiant, il vaut mieux les encourager que les traiter d'incpables !
De maxy [498 Pts], le 26 Septembre 2011 à 09h27
on aurait y etre deja au 11eme ou 12eme et en plus maintenant de decembre on y va our janvier ?
je pense que tonkam devrait laisser tomber les serie d'araki car il sont incapable.
esperons SBR et les suite chez un aute editeur
De noutish [136 Pts], le 13 Septembre 2011 à 17h29
Non c'est une blague là ?!?
De maxy [498 Pts], le 12 Septembre 2011 à 16h49
oh oui alors, tonkam ce moque de nous. et pour SBR on peut attendre pour 2013 a ce rythme ...
De Raimaru [1219 Pts], le 10 Septembre 2011 à 16h31
Oh putain, on est parti pour un rythme trimestriel >_>