Et hop je me met à l'ero-gure avec la chenille après avoir entendu le plus grand bien de Suehiro Maruo. Cela a participé à mon attrait pour le titre mais pas seulement. Les différents articles et chroniques que j'ai pu lire mettaient en exergue le côté malsain et dérangeant du titre. Je fut donc bien intrigué.
L'histoire prend place au Japon Tokiko retrouve son mari, le lieutenant Sunaga, alors revenu de la guerre. Le Problème ? Ce pauvre lieutenant ce trouve être devenu un homme-tronc. Il n'a plus de bras ni de jambe. Mais ce n'est pas tout sinon ce ne serait pas drole, il est privé de ses organes auditif et vocal. Seule, Tokiko va devoir s'occuper de son mari avec tout les sacrifices que cela engeandre.
Ce n'est pas pour autant que Tokiko ne va pas prendre du plaisir avec son mari. La perversion de la femme qui va s'agrandir au fur et à mesure que le récit avance.
Qu'on se le dise la chenille est un titre dérangeant qu'il ne faut pas mettre à la portée de n'importe. Public jeune et/ou sensible, passez votre chemin, ici on ne parle pas de chasse aux papillon. L'aspect malsain se ressent des les premières pages en couleurs. Le récit suit son déroulement jusqu'à la première scène de sexe entre Tokiko et se lui sert de mari. Très explicite, voilà ce qui en ressort.
Le style narratif de Suehiro Maruo est vraiment plaisant. Malgré l'aspect dérangeant du titre, on se plait à lire la chenille. Les dialogues sont parfaitement écrit et le récit est fluide et bien organisé. A mesure que l'histoire progresse, les ébats des deux protagonistes deviennent de plus en plus perverts et sadiques. Du sentiment de pitié, Tokiko est passée à celui de dégout. Ajouté à cela l'envie. Car si son mari arrive à la dégoutter ce n'est pas pour autant qu'elle n'en a pas envie. Maruo parvient parfaitement à maitriser son récit et à jouer entre une Tokiko sadique et son mari totalement impuissant, qui ne peut ni bouger ni s'exprimer. On regrettera juste que ce one shot soit trop court. La chenille se lit vite.
Au niveau des graphisme, rien à redire. Le style de Suehiro Maruo est très plaisant. Le dessin est très réaliste que ce soit au niveau des personnages et du décors. Le découpages des cases est parfaitement géré. Ce qui, en marge de l'excellent travail scénaristique, ajoute de la fluidité au récit. Maruo, c'est beau.
Du côté de l'édition Lézard Noir à fait de l'excellent travail. Les 16 euros dépensés seront parti dans un beau livre. La couverture est très attrayante, souple et agréable au touchée. On a droit à 4 jolies pages colorées en début de livre. Le papier est de bonne qualité et la traduction est fluide. Je n'ai pas trouvé de problème d'encrage ou d'orthographe en lisant le livre. On dossier très intéressent est disponible en fin de livre. On retrouve l'appellation "Pour public averti" sur la couverture à l'arrière du manga. Pas forcément visible malgré sa grande taille, elle aura le mérite de ne pas gâché l'avant de la couverture.
Pour conclure, la chenille s'impose comme un excellent titre qui ne manquera pas de dérangé. Graphiquement beau et bien scénarisé, ce manga est réservé à un public averti et adulte.
Pour ma part je pense rapidement me procurer les autres oeuvres de l'auteur.
De jojo81 [7420 Pts], le 14 Novembre 2010 à 23h58
Et hop je me met à l'ero-gure avec la chenille après avoir entendu le plus grand bien de Suehiro Maruo. Cela a participé à mon attrait pour le titre mais pas seulement. Les différents articles et chroniques que j'ai pu lire mettaient en exergue le côté malsain et dérangeant du titre. Je fut donc bien intrigué.
L'histoire prend place au Japon Tokiko retrouve son mari, le lieutenant Sunaga, alors revenu de la guerre. Le Problème ? Ce pauvre lieutenant ce trouve être devenu un homme-tronc. Il n'a plus de bras ni de jambe. Mais ce n'est pas tout sinon ce ne serait pas drole, il est privé de ses organes auditif et vocal. Seule, Tokiko va devoir s'occuper de son mari avec tout les sacrifices que cela engeandre.
Ce n'est pas pour autant que Tokiko ne va pas prendre du plaisir avec son mari. La perversion de la femme qui va s'agrandir au fur et à mesure que le récit avance.
Qu'on se le dise la chenille est un titre dérangeant qu'il ne faut pas mettre à la portée de n'importe. Public jeune et/ou sensible, passez votre chemin, ici on ne parle pas de chasse aux papillon. L'aspect malsain se ressent des les premières pages en couleurs. Le récit suit son déroulement jusqu'à la première scène de sexe entre Tokiko et se lui sert de mari. Très explicite, voilà ce qui en ressort.
Le style narratif de Suehiro Maruo est vraiment plaisant. Malgré l'aspect dérangeant du titre, on se plait à lire la chenille. Les dialogues sont parfaitement écrit et le récit est fluide et bien organisé. A mesure que l'histoire progresse, les ébats des deux protagonistes deviennent de plus en plus perverts et sadiques. Du sentiment de pitié, Tokiko est passée à celui de dégout. Ajouté à cela l'envie. Car si son mari arrive à la dégoutter ce n'est pas pour autant qu'elle n'en a pas envie. Maruo parvient parfaitement à maitriser son récit et à jouer entre une Tokiko sadique et son mari totalement impuissant, qui ne peut ni bouger ni s'exprimer. On regrettera juste que ce one shot soit trop court. La chenille se lit vite.
Au niveau des graphisme, rien à redire. Le style de Suehiro Maruo est très plaisant. Le dessin est très réaliste que ce soit au niveau des personnages et du décors. Le découpages des cases est parfaitement géré. Ce qui, en marge de l'excellent travail scénaristique, ajoute de la fluidité au récit. Maruo, c'est beau.
Du côté de l'édition Lézard Noir à fait de l'excellent travail. Les 16 euros dépensés seront parti dans un beau livre. La couverture est très attrayante, souple et agréable au touchée. On a droit à 4 jolies pages colorées en début de livre. Le papier est de bonne qualité et la traduction est fluide. Je n'ai pas trouvé de problème d'encrage ou d'orthographe en lisant le livre. On dossier très intéressent est disponible en fin de livre. On retrouve l'appellation "Pour public averti" sur la couverture à l'arrière du manga. Pas forcément visible malgré sa grande taille, elle aura le mérite de ne pas gâché l'avant de la couverture.
Pour conclure, la chenille s'impose comme un excellent titre qui ne manquera pas de dérangé. Graphiquement beau et bien scénarisé, ce manga est réservé à un public averti et adulte.
Pour ma part je pense rapidement me procurer les autres oeuvres de l'auteur.
De Kiraa7 [2429 Pts], le 13 Octobre 2010 à 19h54
Et allez, on décalle la sortie... T__T'