Après la lecture de ce troisième tome, ce n'est clairement pas un shonen sportif pour moi. Le tennis reste juste un moyen de raconter l'histoire, les histoires de tous les protagonistes qui sont tous très bons à mes yeux (même s'ils sont pleins de clichés, ça marche très bien je trouve).
D'ailleurs, la partie la moins bonne jusque là à mes yeux, est le match contre choco qui est trop long à mon goût.
Cela reste tout de même très agréable à lire et à peine fini, j'ai envie de lire le tome suivant.
Un tome en demi teinte pour moi, la critique de MN est tout à fait juste puisque je trouve que le tome aurait pu faire la moitié ce qu'il est réellement, on a l'impression que l'auteur a du mal a rendre ce match intéressant tant l'action est redondante (balle infernale powa), heureusement, le tome est entrecoupé par les personnages secondaires qui rendent celui-ci plus buvable :)
SPOILS! Que dire? Je suis déçu par sa défaite enfin c'était vraiment un match nullissime c'est bizzare que l'auteur ai eu cette idée de la balle infernal si la vieille Ohtori ne lui avait pas imposé ça Miyuki aurait gagné elle n'aurait pas perdu de temps à s'en vouloir d'utiliser cette technique qui n'en est pas une! J'aurais été content ça lui aurait fait fermé son clapet à cette Choko!
J'ai pris mon courage à de main et j'ai repris ma lecture de Happy !
C'est cliché à mort mais j'ai pris un immense plaisir à la lecture. Urasawa introduit quelques petits moment de suspense et c'est drôlement efficace (surprenant ? ^^).
Fan d'Urusawa je suis extrèmement déçu. Bourré de cliché, ultra simpliste, ennuyeux les 3/4 du temps. Je suis dur mais quand on a lu des mangas sportifs comme slam dunk ou eye shield c'est dur de se lancer dans Happy. Il y a une différence de niveau abyssale entre tout ce qu'à fait urusawe jusqu'à présent et happy. Je me force à le lire pour espérer un rebond dans les tomes suivants mais c'est dur.
La finale contre Choko a enfin lieu... et mon dieu, que d'exagérations dans le déroulement. Si la révélation sur ce qu'est vraiment la balle infernale m'avait un peu déçu mais montre bien jusqu'à quelles bassesses est prête à aller Ohtori pour gagner, le déroulement du match accumule tout les clichés possibles et imaginables, et tout ce que j'ai horreur de voir dans un manga sportif. Premier set gagné sur un score parfait, deuxième perdu sur un score parfait, troisième bien parti pour être perdu, et puis, hop, petite pirouette et remontée invraisemblable à la dernière seconde... non, c'est trop, beaucoup trop, encore plus dans un manga sportif qui se classe en seinen. J'aurais largement pu avoir l'indigestion dès ce premier grand match de la série...
Je dis bien "aurais", car ça aurait été le cas si tout ce qui se passe autour de ce match n'avait pas été aussi excellent ! Car c'est bien là ce qui reste, pour moi, la force du manga: si les caractères de Miyuki (qu'elle est mignonne *o*) ou autre Keiichiro ont tendance à m'exaspérer, ce sont vraiment tous les autres personnages qui portent le manga vers le haut, que ce soit une Choko que l'on adore détester, un public idiot au parti pris horripilant, les frères et soeur aux caractères bien trempés (quand ils s'engueulent avec le patron du resto ^^) mais à l'optimisme indéfectible quant à la victoire de leur grande soeur, le patron du resto lui-même, qui change du tout au tout quand il admet enfin que c'est bien Miyuki qui est sur le terrain, les yakuza qui s'en prennent à l'arbitre... Ici aussi, Urasawa accumule les clichés, et pourtant, ça marche très bien: tous les supporters de Choko, l'arbitre y compris, sont détestables et horripilants, abusant même de ce manque de fair-play dont ils accusent pourtant Umino, Ohtori est une bonne figure de la patronne aigrie qui se croit parfaite et qui est prête à tout pour conserve la première marche du podium, et les rares supporters de Miyuki, où qu'ils soient, gardent espoir et continuent de la supporter. Oui, Urasawa exagère, mais globalement, ça passe bien, car il arrive à insuffler une véritable âme, un dynamisme, des couleurs, à tout ses personnages :) Reste à voir si ce sera le cas pendant encore 12 tomes.
Naoki Urasawa est un génie ! Il arrive à utiliser les grosses ficelles du shonen sport sans que ça perde en crédibilité.
En outre, contrairement à la plupart des manga du genre, il ne s'en tient pas à l'aspect compétition et dépassement de soi avec des héros totalement obnubilés par leur sports, accros à la baballe, bref, des benêts complets qui ne vive que pour gagner la médaille d'or sans même savoir pourquoi !
Non! Urasawa ne tombe pas dans la facilité et n'hésite pas à développer l'aspect psychologique de ses personnage en les replaçant dans un quotidien, une histoire propre à chacun. La présence de sentiments autres que : "on est les meilleurs et on va gagner !" n'est pas pour déplaire et rend cette histoire vraiment prenante.
En gros : du bon, du très bon Urasawa digne de ses titres les plus ventés, à savoir Monster et 20th.
Un tome quasi-intégralement axé sur le sport. Le match entre Miyuki et Choko est très intense mais n'échappe pas à quelques clichés du shônen sportif... Néanmoins, la lecture est très plaisante.
Maintenant, je ne sais pas si je peux conseiller Happy ! aux mordus de mangas sportifs. En effet, le premier tome parlait à peine du tennis et mettait en avant la mafia, le tome 2 développe les ambitions de Miyuki et va jusqu'à éclipser les matches en eux-mêmes en nous donnant juste le résultat, mais le tome 3 fait très shônen sportif. Il faut que j'approfondisse la lecture des tomes suivants pour définir vraiment ce manga de Urasawa. Manga sur la mafia ? Tranches-de-vie ? Shônen sportif ? Happy ! présente un peu de ces 3 caractéristiques sans vraiment s'enfoncer dedans.
De nolhane [6594 Pts], le 09 Février 2020 à 17h31
Un tome très sympathique mais parfois lourd dans son humour répétitif
De kiba82 [1244 Pts], le 04 Août 2013 à 16h03
Après la lecture de ce troisième tome, ce n'est clairement pas un shonen sportif pour moi. Le tennis reste juste un moyen de raconter l'histoire, les histoires de tous les protagonistes qui sont tous très bons à mes yeux (même s'ils sont pleins de clichés, ça marche très bien je trouve).
D'ailleurs, la partie la moins bonne jusque là à mes yeux, est le match contre choco qui est trop long à mon goût.
Cela reste tout de même très agréable à lire et à peine fini, j'ai envie de lire le tome suivant.
De kowazoe, le 05 Mai 2013 à 10h44
Un tome en demi teinte pour moi, la critique de MN est tout à fait juste puisque je trouve que le tome aurait pu faire la moitié ce qu'il est réellement, on a l'impression que l'auteur a du mal a rendre ce match intéressant tant l'action est redondante (balle infernale powa), heureusement, le tome est entrecoupé par les personnages secondaires qui rendent celui-ci plus buvable :)
De Happy [2661 Pts], le 26 Décembre 2011 à 18h25
SPOILS! Que dire? Je suis déçu par sa défaite enfin c'était vraiment un match nullissime c'est bizzare que l'auteur ai eu cette idée de la balle infernal si la vieille Ohtori ne lui avait pas imposé ça Miyuki aurait gagné elle n'aurait pas perdu de temps à s'en vouloir d'utiliser cette technique qui n'en est pas une! J'aurais été content ça lui aurait fait fermé son clapet à cette Choko!
De jojo81 [7209 Pts], le 28 Février 2011 à 04h47
J'ai pris mon courage à de main et j'ai repris ma lecture de Happy !
C'est cliché à mort mais j'ai pris un immense plaisir à la lecture. Urasawa introduit quelques petits moment de suspense et c'est drôlement efficace (surprenant ? ^^).
Et puis le coup du Fugu m'a tué XD
De motoko83 [2006 Pts], le 18 Février 2011 à 20h59
Mon Dieu !!! Que de suspense !!!! Vivement le prochain tome !!!
De isaak [203 Pts], le 10 Octobre 2010 à 11h25
Fan d'Urusawa je suis extrèmement déçu. Bourré de cliché, ultra simpliste, ennuyeux les 3/4 du temps. Je suis dur mais quand on a lu des mangas sportifs comme slam dunk ou eye shield c'est dur de se lancer dans Happy. Il y a une différence de niveau abyssale entre tout ce qu'à fait urusawe jusqu'à présent et happy. Je me force à le lire pour espérer un rebond dans les tomes suivants mais c'est dur.
De Koiwai [12693 Pts], le 15 Septembre 2010 à 16h37
La finale contre Choko a enfin lieu... et mon dieu, que d'exagérations dans le déroulement. Si la révélation sur ce qu'est vraiment la balle infernale m'avait un peu déçu mais montre bien jusqu'à quelles bassesses est prête à aller Ohtori pour gagner, le déroulement du match accumule tout les clichés possibles et imaginables, et tout ce que j'ai horreur de voir dans un manga sportif. Premier set gagné sur un score parfait, deuxième perdu sur un score parfait, troisième bien parti pour être perdu, et puis, hop, petite pirouette et remontée invraisemblable à la dernière seconde... non, c'est trop, beaucoup trop, encore plus dans un manga sportif qui se classe en seinen. J'aurais largement pu avoir l'indigestion dès ce premier grand match de la série...
Je dis bien "aurais", car ça aurait été le cas si tout ce qui se passe autour de ce match n'avait pas été aussi excellent ! Car c'est bien là ce qui reste, pour moi, la force du manga: si les caractères de Miyuki (qu'elle est mignonne *o*) ou autre Keiichiro ont tendance à m'exaspérer, ce sont vraiment tous les autres personnages qui portent le manga vers le haut, que ce soit une Choko que l'on adore détester, un public idiot au parti pris horripilant, les frères et soeur aux caractères bien trempés (quand ils s'engueulent avec le patron du resto ^^) mais à l'optimisme indéfectible quant à la victoire de leur grande soeur, le patron du resto lui-même, qui change du tout au tout quand il admet enfin que c'est bien Miyuki qui est sur le terrain, les yakuza qui s'en prennent à l'arbitre...
Ici aussi, Urasawa accumule les clichés, et pourtant, ça marche très bien: tous les supporters de Choko, l'arbitre y compris, sont détestables et horripilants, abusant même de ce manque de fair-play dont ils accusent pourtant Umino, Ohtori est une bonne figure de la patronne aigrie qui se croit parfaite et qui est prête à tout pour conserve la première marche du podium, et les rares supporters de Miyuki, où qu'ils soient, gardent espoir et continuent de la supporter.
Oui, Urasawa exagère, mais globalement, ça passe bien, car il arrive à insuffler une véritable âme, un dynamisme, des couleurs, à tout ses personnages :) Reste à voir si ce sera le cas pendant encore 12 tomes.
De BuddyBuilding [310 Pts], le 02 Septembre 2010 à 14h12
Naoki Urasawa est un génie ! Il arrive à utiliser les grosses ficelles du shonen sport sans que ça perde en crédibilité.
En outre, contrairement à la plupart des manga du genre, il ne s'en tient pas à l'aspect compétition et dépassement de soi avec des héros totalement obnubilés par leur sports, accros à la baballe, bref, des benêts complets qui ne vive que pour gagner la médaille d'or sans même savoir pourquoi !
Non! Urasawa ne tombe pas dans la facilité et n'hésite pas à développer l'aspect psychologique de ses personnage en les replaçant dans un quotidien, une histoire propre à chacun. La présence de sentiments autres que : "on est les meilleurs et on va gagner !" n'est pas pour déplaire et rend cette histoire vraiment prenante.
En gros : du bon, du très bon Urasawa digne de ses titres les plus ventés, à savoir Monster et 20th.
De Raimaru [1233 Pts], le 30 Août 2010 à 14h23
Un tome quasi-intégralement axé sur le sport. Le match entre Miyuki et Choko est très intense mais n'échappe pas à quelques clichés du shônen sportif... Néanmoins, la lecture est très plaisante.
Maintenant, je ne sais pas si je peux conseiller Happy ! aux mordus de mangas sportifs. En effet, le premier tome parlait à peine du tennis et mettait en avant la mafia, le tome 2 développe les ambitions de Miyuki et va jusqu'à éclipser les matches en eux-mêmes en nous donnant juste le résultat, mais le tome 3 fait très shônen sportif. Il faut que j'approfondisse la lecture des tomes suivants pour définir vraiment ce manga de Urasawa. Manga sur la mafia ? Tranches-de-vie ? Shônen sportif ? Happy ! présente un peu de ces 3 caractéristiques sans vraiment s'enfoncer dedans.
De jojo81 [7209 Pts], le 24 Juin 2010 à 16h16
Il sera dispo en avant première pour la JE.