Voici sorti le tome 3 de GMC, la narration du passé des protagonistes se concentre sur le personnage d'Erika, et laisse encore planer un mystère sur la nature de Gally/Yoko. L'histoire nous entraîne vers là où se trouve les songeries de Kishiro (et nous révèle donc bien des surprises), même si ces détours en cascade peuvent laisser pantois bien des lecteurs. Ceux qui sont fidélisés à l'accompagnement de l'auteur quelque soit son évolution, se laisseront porter (avec des questions sur les lèvres à la fin de chaque lecture, comme souvent).
Il est vrai que je m'étais arrêté à dire que le dessin était ce qu'il était. Mais la simplification se transforme sous bien des aspects en simple baisse considérable de qualité visuelle.
La lecture reste prenant, l'unvier sinstallé par Kishiro est toujours aussi addictif, et ici j'ai particulièrement apprécié tout le travail sur Erika et son parcours qui diverge désormais de celui de Yoko.
De Boben [100 Pts], le 21 Juillet 2017 à 16h32
On retourne dans le passé, avec la suite du Tome 1. Est ce qu'on aura une alternance de tomes passé/présent?
Toujours est-il que j'aime ce volume, c'est ce que je voulais, une prequel. Vivement le tome 5 du coup ?
De lambda [2005 Pts], le 18 Juillet 2017 à 13h22
Voici sorti le tome 3 de GMC, la narration du passé des protagonistes se concentre sur le personnage d'Erika, et laisse encore planer un mystère sur la nature de Gally/Yoko. L'histoire nous entraîne vers là où se trouve les songeries de Kishiro (et nous révèle donc bien des surprises), même si ces détours en cascade peuvent laisser pantois bien des lecteurs. Ceux qui sont fidélisés à l'accompagnement de l'auteur quelque soit son évolution, se laisseront porter (avec des questions sur les lèvres à la fin de chaque lecture, comme souvent).
Il est vrai que je m'étais arrêté à dire que le dessin était ce qu'il était. Mais la simplification se transforme sous bien des aspects en simple baisse considérable de qualité visuelle.
Voilà pour ma critique, à suivre...
De Koiwai [12707 Pts], le 13 Juillet 2017 à 16h40
La lecture reste prenant, l'unvier sinstallé par Kishiro est toujours aussi addictif, et ici j'ai particulièrement apprécié tout le travail sur Erika et son parcours qui diverge désormais de celui de Yoko.