Kotetsuko Yamamoto n’a plus à se faire connaître en France.
J’avais déjà pu apprécier ses récits dans Encore une nuit blanche et Et demain ce sera quoi et toujours avec son dessin si caractéristique d’elle, elle revient offrir une histoire dans un contexte tranche-de-vie. Emu Ikariya se retrouve endetté suite au décès de son père, faisant retomber sur lui la responsabilité de payer la dette qu’il avait contracté pour lui payer ses études.
Il se voit alors forcer de tout remettre à son usurier au look extravagant, toujours à la mine joyeuse mais qui n’hésite pas à faire appel à la violence pour récupérer son dû.
Bien que le thème soit sérieux et existant, le ton du manga reste léger. Même face aux difficultés que rencontre Ikariya car il n’a jamais été du genre à compter sur autrui, et déteste créer des problèmes ou avoir la sensation d’être pris en pitié.
C’est sans compter Fukumoto, un camarade de collège qui l’avait toujours observé et le recroise lors d’une prise de bec avec l’usurier. Il prendra alors soin d’Ikariya avec un air de « cela va de soi », tandis que ce dernier sera souvent gêné.
De Ryuku [2749 Pts], le 12 Juillet 2020 à 09h40
Kotetsuko Yamamoto n’a plus à se faire connaître en France.
J’avais déjà pu apprécier ses récits dans Encore une nuit blanche et Et demain ce sera quoi et toujours avec son dessin si caractéristique d’elle, elle revient offrir une histoire dans un contexte tranche-de-vie. Emu Ikariya se retrouve endetté suite au décès de son père, faisant retomber sur lui la responsabilité de payer la dette qu’il avait contracté pour lui payer ses études.
Il se voit alors forcer de tout remettre à son usurier au look extravagant, toujours à la mine joyeuse mais qui n’hésite pas à faire appel à la violence pour récupérer son dû.
Bien que le thème soit sérieux et existant, le ton du manga reste léger. Même face aux difficultés que rencontre Ikariya car il n’a jamais été du genre à compter sur autrui, et déteste créer des problèmes ou avoir la sensation d’être pris en pitié.
C’est sans compter Fukumoto, un camarade de collège qui l’avait toujours observé et le recroise lors d’une prise de bec avec l’usurier. Il prendra alors soin d’Ikariya avec un air de « cela va de soi », tandis que ce dernier sera souvent gêné.