Concrètement ce tome ne nous apprends pas forcément plus d’informations capitales. C’est plutôt une sorte de complément. Aux événements importants, l’auteure n’avait apparemment pas pu mettre tout ce qu’elle voulait (peut-être pour ne pas casser le rythme vengeance et guerre de yakuza), donc ici, on a de quoi compléter l’histoire principale. Mais pas sur le plan yakuza ! Plutôt sur la vie quotidienne du couple.
En résumé : ce recueil d’histoire est un pur bonus. Dans le sens où, l’avoir est facultatif.
J’ai apprécié les 3 premiers chapitres du tome. On a une petite mise en lumière sur Koki et ses motivations, même s’il reste assez tordu/étrange/mystérieux
Ainsi que des éclaircissements sur les réactions de Kabu, et sur celles de Nirasawa. Sur leur façon de pensée et la motivation de leurs actes. Par exemple, après leur rencontre, lorsque Kabu voyait toujours des femmes et n’avait pas de relation avec Nirasawa.
Par contre, le chapitre bonus de « La corde du destin ». Je ne l’ai pas compris. Vraiment. Je me suis interrogée sur le but de ce chapitre. Hormis la volonté de nous mettre une romance érotique à l’époque de shogun. Si c’est vraiment cette époque, puisqu’on a aucune information précise, j’ai essayé de déduire sur la coupe de cheveux des personnages.
Le chapitre bonus sur « Not equal » aussi, je m’interroge. Je connais cette série et j’ai lu les deux tomes. Donc je n’ai pas été perdue avec ce bonus. Quant à son utilité, je reste (très) perplexe.
Et cette perplexité s’étend à « Nirasawa ne regrette rien ». Centrée sur une « punition » de Kabu. Devinez la principale teneur de ce chapitre.
Vous savez à quoi vous en tenir. La série Bi est, de base, très hard (dans tous les sens du terme), ce tome là l’est encore plus et principalement pour les scènes de galipettes.
De Ryuku [2749 Pts], le 24 Décembre 2018 à 04h21