Très belles cover à partir de ce 8e volume, mais très spoilante à mon goût. Un chapitre fort en émotion, un véritable choc, je m'y attendais pas du tout ! C'est bien pensé de la part de l'auteur
On aborde enfin la partie de l'histoire que l'auteur avait mentionné dans le tout premier tome : celle où Taroza est devenu un jeune homme.
A partir d'ici, les chimères font partie intégrante de l'histoire et l'on voit mieux quel genre d'horreurs Giller est en mesure de créer. Ces monstruosités se révèlent bien plus menaçantes que dans le tome précédent et l'on voit une guerre se profiler.
Encore une fois les animaux sont de tailles disproportionnées mais qu'à cela ne tienne : cela est maintenant habituel. Pour ce qui est des chimères, il est clair que Makoto Raiku a les pieds sur terre mais quand je vois ce qu'il est cappable de créer, je ne peux m'empêcher de penser qu'il a quand même son côté dégénéré. Au moins, il sait où il va car l'histoire des chimères, on aime ou on aime pas mais il s'agit néanmoins de la direction que l'auteur avait choisi à son histoire et non une subite et mauvaise improvisation.
Malheureusement, le tome se lit trop vite et s'arrête encore une fois sur énormément de suspense ! Comment Capri a-t'elle pu tomber aussi bas ?! Et pourquoi quand elle parle de deuil, elle ne fait allusion qu'à Cachecol ? Elle a quand même perdu son père, son oncle et ses frères en premier...
En tout cas, Makoto Raiku disait vrai : le premier chapitre est particulièrement douloureux.
De McRedFox [568 Pts], le 08 Mai 2015 à 22h13
Très belles cover à partir de ce 8e volume, mais très spoilante à mon goût. Un chapitre fort en émotion, un véritable choc, je m'y attendais pas du tout ! C'est bien pensé de la part de l'auteur
De totorsensei [2358 Pts], le 23 Janvier 2015 à 18h45
On aborde enfin la partie de l'histoire que l'auteur avait mentionné dans le tout premier tome : celle où Taroza est devenu un jeune homme.
A partir d'ici, les chimères font partie intégrante de l'histoire et l'on voit mieux quel genre d'horreurs Giller est en mesure de créer. Ces monstruosités se révèlent bien plus menaçantes que dans le tome précédent et l'on voit une guerre se profiler.
Encore une fois les animaux sont de tailles disproportionnées mais qu'à cela ne tienne : cela est maintenant habituel. Pour ce qui est des chimères, il est clair que Makoto Raiku a les pieds sur terre mais quand je vois ce qu'il est cappable de créer, je ne peux m'empêcher de penser qu'il a quand même son côté dégénéré. Au moins, il sait où il va car l'histoire des chimères, on aime ou on aime pas mais il s'agit néanmoins de la direction que l'auteur avait choisi à son histoire et non une subite et mauvaise improvisation.
Malheureusement, le tome se lit trop vite et s'arrête encore une fois sur énormément de suspense ! Comment Capri a-t'elle pu tomber aussi bas ?! Et pourquoi quand elle parle de deuil, elle ne fait allusion qu'à Cachecol ? Elle a quand même perdu son père, son oncle et ses frères en premier...
En tout cas, Makoto Raiku disait vrai : le premier chapitre est particulièrement douloureux.
De Nabouro [705 Pts], le 06 Novembre 2014 à 18h12
Belle couverture en tout cas :).
De manga27 [2075 Pts], le 19 Octobre 2014 à 20h28
Et c'est ici, entre autre, que ça devient bien gore.
Colektion kidz xdeey