Journal de ma solitude - Edition 2022 - Actualité manga
Journal de ma solitude - Edition 2022 - Manga

Journal de ma solitude - Edition 2022

Hitori Kôkan Nikki

Manga - Manhwa - Journal de ma solitude - Edition 2022
Age conseillé
Prix public
23.00 €
Nagata Kabi, l’autrice de “solitude d’un autre genre”, écrit à son moi du futur de touchantes lettres dessinées décrivant sans fard les effets de sa dépression.

Résumé

Chère Kabi Nagata, c’est Kabi Nagata. Comment vas-tu ? Après ""Solitude d’un autre genre"", livre dans lequel j’illustrais ma vie autour de ma rencontre avec une prostituée lesbienne, je commence la tenue de ce journal que je t’adresse afin de poursuivre ma démarche introspective. Car depuis que mon livre est paru, il faut vivre ma vie ""d’après"" : les effets sur ma famille de ma… mise à nu et de mon coming out, les critiques de lecteurs, mes premiers pas vers l’indépendance, l’amitié… Sans oublier l’amour, maintenant que j’ai affirmé ma sexualité. Aujourd’hui encore, je cherche qui je suis et comment je peux être moi-même.

Les points forts de la série

Sous forme de lettres à adressées à son moi du futur, Kabi Nagata écrit le journal de sa dépression, une maladie complexe et insidieuse, parfois difficile à appréhender, que Kabi Nagata décrit de façon simple à l’aide de schémas, de comparaisons et de métaphores qui aident le lecteur à comprendre ses angoisses mais aussi ses espoirs.
Journal de ma solitude fait suite, au Japon comme en France, à la publication de Solitude d’un autre genre, récit dans lequel l’autrice décrit la longue introspection qui l’a menée à se rendre compte de son homosexualité et à rencontrer une prostituée afin de combler son manque de contact humain. Un mal dont souffrent de nombreux Japonais qui, comme elle, sont encore vierges à l’approche de la trentaine.
Elle commence enfin à goûter au “doux nectar” dont les autres semblent jouir en secret… Mais la dépression est une maladie faite de hauts et de bas et la publication de son premier ouvrage, salué par la critique et les lecteurs au Japon, n’a pas que des effets positifs, surtout sur sa vie familiale.
Au fil de ses lettres, le lecteur suit son combat quotidien contre elle-même pour s’en sortir : que ce soit habiter seule, renouer avec ses amis ou perdre ses habitudes autodestructrices.
Journal de ma solitude est un récit universel sur la dépression qui met en mots et en images une maladie souvent incomprise mais c’est aussi le témoignage d’une artiste dont le mal-être reflète celui de nombreux jeunes Japonais face à la constante pression sociale à vivre une vie “normale”.