Jeux Video Test rétro - Grandia II
Après Grandia, Erkael reviendra cette fois-ci sur Grandia II, sorti sur Dreamcast en 2001.
Après la surprise et le succès du premier opus Ubisoft réédite son exploit en fournissant un second volet à la saga Grandia, un second volet qui cette fois va atterrir sur Dreamcast, la console de Sega qui aura eu une durée de vie relativement courte mais qui aura vu naître des jeux magnifiques, et Grandia 2 en fait partie !
Vous incarnez Ryudo un mercenaire et vous acceptez la mission de protéger Elena, une belle chanteuse dans le voyage qui l’attend. Bien entendu rien ne se passera comme prévu et ce sera le début d’une grande aventure avec de nombreuses péripéties, où vous rencontrerez de nombreux personnages, amis ou ennemis pour une quête riche qui vous fera vivre de grands et beaux moments.
Bien entendu comme dans la plupart des RPG le scénario tient une place prépondérante, une grande partie du jeu repose donc sur celui ci, et ce dernier n’en aura pas fini de vous surprendre. Vous passerez d’une simple aventure à des intrigues religieuses sur lesquelles l’avenir du monde se joue.
Ce qui frappe dés le point de départ c’est le personnage principal. Ici pas de jeune garçon qui part en quête initiatique, vous êtes déjà un mercenaire confirmé…cela peut paraître anodin mais cela change grandement la façon d’appréhender le jeu.
Il se dégage un aspect manga du jeu très appréciable. Les phases de dialogues notamment sont l’occasion de faire apparaître dans les cadres dédiés aux textes les visages en gros plan des protagonistes qui feront partager telle ou telle expressions, souvent avec humour, ce qui permettra de créer une ambiance d’autant plus forte à ce jeu. Il s’en dégage en effet une légèreté et une bonne humeur communicative, malgré bien entendu des moments plus graves qui sont eux aussi remarquablement bien mis en scène.
Le système de combat, autre élément clé des RPG est lui aussi incroyable. Il reprend le système du premier opus mais en version amélioré. Il mélange habilement tour par tour et combat en temps réel : tous les personnages impliqués dans le combat seront placés sur une ligne indiquant leur ordre pour intervenir… Chacun d’entre eux se déplacera plus ou moins rapidement sur la ligne et lorsque viendra le tour d’un de nos héros, les déplacements seront gelés, laissant le temps au joueur de choisir quel action effectuer. Une action bien placée, tel un coup spécial peut faire reculer l’ennemi sur la ligne indiquant l’ordre pouvant alors laisser la possibilité à un allié d’attaquer plus tôt que prévu ; ce qui bien évidemment permettra de mettre en place des combos pouvant s’avérer redoutables.
Et cela ne s’arrête pas là ; outre l’ordre à prendre en compte (caractéristique qui demeure somme toute assez classique), il faudra gérer la distance entre vos personnages et leurs ennemis. Se mettre au premier plan permet de porter des attaques plus violentes mais expose davantage votre personnage.
Une dimension qui apporte encore plus de dynamisme aux affrontements qui sont définitivement un point fort de ce titre, aucun ne ressemblant à un autre, ce qui annule l’aspect rébarbatif et redondant de ces derniers. C’est d’autant plus plaisant que comme dans le premier vous pourrez les évitez si vous le souhaitez. En effet, ces derniers ne sont pas aléatoires. Les ennemis apparaissent à l’écran et il vous suffira de soigneusement de les éviter pour ne pas enclencher le combat !
Un système de points de compétences astucieux apparaît dans ce jeu vous permettant d’en apprendre de nouvelles ou de développer celles que vous possédez déjà… Peut être pas l’aspect le plus original du jeu, mais cela à le mérite d’être présent et d’être bien fait.
Lorgnant sur les Final Fantasy, le jeu vous offrira la possibilité d’invoquer des créatures, mais ne vous attendez pas à profiter de cinématiques aussi splendides quand dans les jeux de la saga précitée.
Bien que beau graphiquement la réalisation n’est pas le point fort de ce jeu qui était dés sa sortie en dessous d’autre productions sorties préalablement (FF9 pour ne pas le citer).
Mais on sait tous que la qualité d’un RPG se juge sur d’autres points tel les personnages, le scénario ou encore le système de combat, et à ce niveau Grandia 2 n’a rien à envier aux autres poids lourds du genre.
Malheureusement le titre n’est jamais sorti en Français et pour le coup il faut maîtriser la langue de Shakespeare pour en profiter pleinement…et ce serait vraiment dommage de s’arrêter à ça !
Graphisme :
Très jolis et très colorés donnant une ambiance joyeuse à ce titre. La 3D est ce qui se faisait de mieux à l’époque mais les personnages semblent figés et manquent de vie.
Bande son :
Aussi dynamique que les affrontements, la musique accompagne parfaitement les combats donnant encore plus d’intérêts à ces derniers.
Durée de vie :
Cette dernière est plutôt longue et l’aventure est tellement passionnante qu’on se laisse volontiers porter sans se poser de questions. On prend d’autant plus de plaisir de jeux que les affrontements sont remarquablement bien pensés et jamais redondant.
Scénario :
Absolument passionnant, prenant du début à la fin, il nous réserve de nombreuses surprises…encore faut il parler Anglais !
Jouabilité :
Le point fort du jeu à n’en pas douter ! Les combats ont rarement été aussi bien pensé dans un RPG !
En résumé :
Possédant de très nombreuses qualités, Grandia 2 laissera une empreinte dans l’univers des RPG et surtout d’excellents souvenirs à tous ceux qui auront eu la chance d’y jouer !
Après la surprise et le succès du premier opus Ubisoft réédite son exploit en fournissant un second volet à la saga Grandia, un second volet qui cette fois va atterrir sur Dreamcast, la console de Sega qui aura eu une durée de vie relativement courte mais qui aura vu naître des jeux magnifiques, et Grandia 2 en fait partie !
Vous incarnez Ryudo un mercenaire et vous acceptez la mission de protéger Elena, une belle chanteuse dans le voyage qui l’attend. Bien entendu rien ne se passera comme prévu et ce sera le début d’une grande aventure avec de nombreuses péripéties, où vous rencontrerez de nombreux personnages, amis ou ennemis pour une quête riche qui vous fera vivre de grands et beaux moments.
Bien entendu comme dans la plupart des RPG le scénario tient une place prépondérante, une grande partie du jeu repose donc sur celui ci, et ce dernier n’en aura pas fini de vous surprendre. Vous passerez d’une simple aventure à des intrigues religieuses sur lesquelles l’avenir du monde se joue.
Ce qui frappe dés le point de départ c’est le personnage principal. Ici pas de jeune garçon qui part en quête initiatique, vous êtes déjà un mercenaire confirmé…cela peut paraître anodin mais cela change grandement la façon d’appréhender le jeu.
Il se dégage un aspect manga du jeu très appréciable. Les phases de dialogues notamment sont l’occasion de faire apparaître dans les cadres dédiés aux textes les visages en gros plan des protagonistes qui feront partager telle ou telle expressions, souvent avec humour, ce qui permettra de créer une ambiance d’autant plus forte à ce jeu. Il s’en dégage en effet une légèreté et une bonne humeur communicative, malgré bien entendu des moments plus graves qui sont eux aussi remarquablement bien mis en scène.
Le système de combat, autre élément clé des RPG est lui aussi incroyable. Il reprend le système du premier opus mais en version amélioré. Il mélange habilement tour par tour et combat en temps réel : tous les personnages impliqués dans le combat seront placés sur une ligne indiquant leur ordre pour intervenir… Chacun d’entre eux se déplacera plus ou moins rapidement sur la ligne et lorsque viendra le tour d’un de nos héros, les déplacements seront gelés, laissant le temps au joueur de choisir quel action effectuer. Une action bien placée, tel un coup spécial peut faire reculer l’ennemi sur la ligne indiquant l’ordre pouvant alors laisser la possibilité à un allié d’attaquer plus tôt que prévu ; ce qui bien évidemment permettra de mettre en place des combos pouvant s’avérer redoutables.
Et cela ne s’arrête pas là ; outre l’ordre à prendre en compte (caractéristique qui demeure somme toute assez classique), il faudra gérer la distance entre vos personnages et leurs ennemis. Se mettre au premier plan permet de porter des attaques plus violentes mais expose davantage votre personnage.
Une dimension qui apporte encore plus de dynamisme aux affrontements qui sont définitivement un point fort de ce titre, aucun ne ressemblant à un autre, ce qui annule l’aspect rébarbatif et redondant de ces derniers. C’est d’autant plus plaisant que comme dans le premier vous pourrez les évitez si vous le souhaitez. En effet, ces derniers ne sont pas aléatoires. Les ennemis apparaissent à l’écran et il vous suffira de soigneusement de les éviter pour ne pas enclencher le combat !
Un système de points de compétences astucieux apparaît dans ce jeu vous permettant d’en apprendre de nouvelles ou de développer celles que vous possédez déjà… Peut être pas l’aspect le plus original du jeu, mais cela à le mérite d’être présent et d’être bien fait.
Lorgnant sur les Final Fantasy, le jeu vous offrira la possibilité d’invoquer des créatures, mais ne vous attendez pas à profiter de cinématiques aussi splendides quand dans les jeux de la saga précitée.
Bien que beau graphiquement la réalisation n’est pas le point fort de ce jeu qui était dés sa sortie en dessous d’autre productions sorties préalablement (FF9 pour ne pas le citer).
Mais on sait tous que la qualité d’un RPG se juge sur d’autres points tel les personnages, le scénario ou encore le système de combat, et à ce niveau Grandia 2 n’a rien à envier aux autres poids lourds du genre.
Malheureusement le titre n’est jamais sorti en Français et pour le coup il faut maîtriser la langue de Shakespeare pour en profiter pleinement…et ce serait vraiment dommage de s’arrêter à ça !
Graphisme :
Très jolis et très colorés donnant une ambiance joyeuse à ce titre. La 3D est ce qui se faisait de mieux à l’époque mais les personnages semblent figés et manquent de vie.
Bande son :
Aussi dynamique que les affrontements, la musique accompagne parfaitement les combats donnant encore plus d’intérêts à ces derniers.
Durée de vie :
Cette dernière est plutôt longue et l’aventure est tellement passionnante qu’on se laisse volontiers porter sans se poser de questions. On prend d’autant plus de plaisir de jeux que les affrontements sont remarquablement bien pensés et jamais redondant.
Scénario :
Absolument passionnant, prenant du début à la fin, il nous réserve de nombreuses surprises…encore faut il parler Anglais !
Jouabilité :
Le point fort du jeu à n’en pas douter ! Les combats ont rarement été aussi bien pensé dans un RPG !
En résumé :
Possédant de très nombreuses qualités, Grandia 2 laissera une empreinte dans l’univers des RPG et surtout d’excellents souvenirs à tous ceux qui auront eu la chance d’y jouer !
De ShiroiRyu [635 Pts], le 15 Mai 2014 à 11h26
Millenia ...
RAAAAAAAAAAAAH !
Millenia !*_*
De tsubasadow [4303 Pts], le 12 Mai 2014 à 22h19
Un excellent jeu qu'il faut absolument que je retrouve.
A l'époque je devais aller chez un pote pour jouer à la dreamcast et on apprenait à peine l'anglais du coup on demandait à son frère pour la traduction^^ *nostalgie*
Maintenant que j'ai retrouvé une dreamcast et que je me débrouille mieux en anglais je vais pouvoir me relancer dedans.
De ffilou6, le 12 Mai 2014 à 18h52
:-) Un niveau d'anglais langue vivante 1 de classe de 4ème ou 3ème au collège et/ou un dictionnaire à disposition suffisent à comprendre ce jeu.
Quand j'y ai joué et terminé, j'étais déjà étudiant à l'université.
Les rares musiques chantées dans ce jeu sont agréables (pour moi) :-) .
De anonyme2358, le 12 Mai 2014 à 11h29
dommage qu'il n'est pas eu de traduction francaise jetais degouter a l'epoque de sa sortie