Jeux Video Test - Castlevania - Lords of Shadow - Mirror of Fate
Sorti début mars sur 3DS, Castlevania - Lords of Shadow - Mirror of Fate se dévoile via le test de Sorrow.
Parmi les grandes séries de jeux vidéo, rares sont celles qui possèdent presque « des écoles », des clans, au sein de leur fan-base. C’est par exemple le cas de Castlevania, célèbre série de Konami débutée en 1986. De jeux de plate-forme ardus et impitoyables, la série a opéré un changement de style après une dizaine d’opus, reprenant une structure en « monde ouverte » façon Métroid, d’où le nom de "Métroidvania". La série est aussi passée par nombre de styles graphiques, du classique NES, au gothique, en passant par le style manga, ce qui a entraîné d’autant plus de divisions parmi les amateurs de la série.
Puis en 2010, la série est rebootée par un studio espagnol (MercurySteam) et toujours chapeautée par Konami, qui sous-titrent leur adaptation « Lords of Shadow ». L’accueil reçu par cette reprise fut très positive dans l’ensemble, et un deuxième opus est alors prévu pour 2013. Dans le même temps, un opus à part sort sur 3DS, sous-sous-titrée « Mirror of Fate ». C’est ce dernier qui nous intéressera aujourd’hui.
Pour me situer par rapport à la série, ce jeu constitue mon premier Castlevania. Je connais bien sûr la série de nom, mais je n’ai pas eu la chance d’y être introduit avant fort récemment. Ce jeu sera donc traité par ses qualités ludiques uniquement, et non par rapport à la place qu’il occupe dans la série.
L’histoire de Mirror of Fate se concentre sur trois personnages : Simon Belmont, membre de la famille des célèbres chasseurs de vampires et ennemis jurés de Dracula ; Alucard, fils de Dracula ; et Trevor Belmont, autre membre puissant de ces chasseurs des ténèbres. On commencera néanmoins par incarner un dénommé Gabriel Belmont lors d’une phase de tutorial afin de s’habituer aux commandes. Bref, pour le nouveau venu, ces noms n’évoqueront pas grand-chose (À part Alucard évidemment, mais qui n'a rien à voir avec celui de Hellsing). Normal, la série reprend ses bases sur PS3, et cet opus n’est qu’une parenthèse dans cette nouvelle lignée. Néanmoins, rien d’insurmontable, tant les liens entre les différents personnages, qui sont tous liés par le destin, deviennent évidents au fur et à mesure de notre avancée dans l’aventure, jusqu’à un face-à-face final qui les réunit tous. Des révélations pas fracassantes pour la plupart, mais qui font leur effet néanmoins et tiennent juste ce qu’il faut le joueur en haleine. À noter que tout au long du jeu, on trouve divers parchemins sur les cadavres de soldats morts dans la lutte contre Dracula, un plus agréable pour l’ambiance du jeu, le placement des quelques références, des traits d’humour, ainsi qu’un peu d’expérience pour nos personnages.
La force du titre réside davantage dans son ambiance et son gameplay.
Comme dans tous les Castlevania, nous devons pénétrer dans le château de Dracula afin de protéger le monde de l’invasion des forces du mal. Le bien contre le mal, rien de plus, rien de moins, avec quelques petites variations comme on le verra à la fin. Réalisé en 2.5D, les graphismes du jeu sont très prenants sur la console portable de Nintendo. Nous évoluons en 2D comme dans les premiers opus, mais avec une profondeur de champ impressionnante, d’autant plus si on active la 3D. Et le jeu y gagne clairement en immersion, avec nombre de détails en arrière-plan et dans l’architecture générale. Cachots, geôles, cuisines médiévales, théâtre, donjons, les environnements ont ce cachet de gigantesque, d’ancien et d’abandonné, et donc d’autant plus inquiétants. Certains regretteront un peu l’effet d’aliasing, mais qui ne m’a pas gêné pour ma part. La mise en scène des combats, particulièrement contre les boss, s’avère efficace, renforçant notre immersion.
Au niveau du gameplay, c’est également du tout bon. Notre arme principale est constituée d’un fouet, et son utilisation en devient très rapidement jubilatoire. Très maniable, d’une grâce certaine lorsqu’on enchaîne les combos, les combats deviennent rapidement un plaisir, si bien qu’on prend son temps pour dégommer les ennemis sur notre chemin, même si il nous serait aisé de les éviter. Notre liste de coups évolue au fur et à mesure de nos joutes, chaque ennemi rapportant quelques points d’expérience et quelques recharges de vie selon les cas. Chaque personnage se joue de la même façon au fouet et dispose des mêmes combos, mais chacun obtient des armes secondaires différentes et quelques pouvoirs propres : Bouclier mystique pour Simon, forme de loup-garou pour Alucard, ou bombes paralysante pour Trevor, sont quelques unes des petites variations entre les personnages, ce qui évite une trop grande redondance en termes de pouvoirs et de maniabilité. Nos personnages bougent avec aisance, esquivent avec aise et répondent facilement aux commandes, même si on notera un léger phénomène d’inertie lors des sauts, qui donnent l’impression que nos héros restent suspendus dans les airs. Rien de méchant, mais un coup de main à prendre.
En termes d’avancée, rien de bien compliqué non plus. On a droit à un peu de plate-forme, mais rarement très ardu, un peu de réflexion pour certains passages, et un rien de dextérité par moment, mais rien de bien méchants. Le jeu est assez linéaire en soi, et les zones à explorer peu nombreuses, si bien qu’on n’est jamais perdu.
Et c’est un peu là que le bât blesse. Mirror of Fate est un jeu facile, trop facile. D’une part, les checkpoints sont trop nombreux, et notre personnage revient à quelques secondes ou presque du lieu de son décès. Les ennemis ne sont pas particulièrement retors, et les boss suivent un schéma d’attaque bien précis à l’ancienne, qu’il suffit de mémoriser pour en venir à bout. L’exploration est réduite à son minimum, et n’intéressera que les fans de l’exercice et ceux qui veulent terminer le jeu à 100%.
Autre faiblesse, la durée de vie. À titre personnel, sans forcer et en prenant mon temps, j’ai mis 11h32, et le tout à 100%, ne butant que sur un parchemin pendant une vingtaine de minutes. Normal, les zones de jeu sont restreintes, et chaque scénario est cloisonné, si bien qu’il n’est pas possible d’explorer de nouveaux lieux avec nos anciens personnages une fois qu’il est arrivé au bout de son aventure.
Autre inconvénient, les temps de chargement entre les zones, qui peuvent prendre une dizaine de secondes, et qui cassent le rythme de l’aventure à plusieurs reprises, d’autant que ces zones ne sont pas très vastes.
Reste une musique agréable avec certaines plages sonores où on prend le temps de tendre l’oreille et de se laisser bercer. Rien de transcendant ou d’inoubliable, mais une musique honnête et adaptée à chaque situation.
Graphismes :
Clairement le point fort du jeu et son meilleur argument. L’utilisation de la 2.5D à son meilleur, d’autant plus avec l’effet 3D de la portable activée. Un peu d’aliasing, mais rien de bien méchant, et l’animation générale est excellente.
Sons :
Agréable et bien choisie, avec quelques mélodies qu’on prend plaisir à réentendre et un peu d’épique lors des affrontements, mais rien qui reste particulièrement en mémoire.
Maniabilité :
Excellente dans l’ensemble, malgré un petit moment de suspension lors des sauts qu’il faut apprendre à gérer. Le fouet répond parfaitement, et les capacités des personnages apportent un peu de variété aux joutes, même si minime par moment. Clairement le gros point fort du jeu avec ses graphismes.
Durée de vie :
Faible, clairement, même pour atteindre les 100%. D’autant plus que le taux de rejouabilité n’est pas immense une fois qu’on a fait le tour du titre, même si on débloque un mode « difficile » après le boss de fin. Comptez une dizaine d’heures, au mieux. Sans doute le format portable qui a freiné l’envie d’adapter une aventure de plus longue haleine.
Scénario :
Agréable et qui se laisse conter, mais rien d’inoubliable ou de vraiment surprenant. Honnête et bien mené, avec quelques révélations, et c’est déjà pas si mal. Reste une ambiance excellente et qui compense le manque d’implication et de longueur du titre.
Au final, Mirror of Fate est un jeu honnête. Très immersif dans ses affrontements et son ambiance, il pèche néanmoins par une trop grande facilité, une forte linéarité et un manque de challenge général qui fait qu’on n’y revient pas forcément après l’avoir terminé. Aucun regret d’avoir été jusqu’au bout de l’aventure en ce qui me concerne et un bon moment de passé, mais qui ne restera pas forcément dans ma mémoire comme une grande expérience vidéoludique. Dommage, il aurait suffit d’un rien, j’en suis sûr.
13/20
Parmi les grandes séries de jeux vidéo, rares sont celles qui possèdent presque « des écoles », des clans, au sein de leur fan-base. C’est par exemple le cas de Castlevania, célèbre série de Konami débutée en 1986. De jeux de plate-forme ardus et impitoyables, la série a opéré un changement de style après une dizaine d’opus, reprenant une structure en « monde ouverte » façon Métroid, d’où le nom de "Métroidvania". La série est aussi passée par nombre de styles graphiques, du classique NES, au gothique, en passant par le style manga, ce qui a entraîné d’autant plus de divisions parmi les amateurs de la série.
Puis en 2010, la série est rebootée par un studio espagnol (MercurySteam) et toujours chapeautée par Konami, qui sous-titrent leur adaptation « Lords of Shadow ». L’accueil reçu par cette reprise fut très positive dans l’ensemble, et un deuxième opus est alors prévu pour 2013. Dans le même temps, un opus à part sort sur 3DS, sous-sous-titrée « Mirror of Fate ». C’est ce dernier qui nous intéressera aujourd’hui.
Pour me situer par rapport à la série, ce jeu constitue mon premier Castlevania. Je connais bien sûr la série de nom, mais je n’ai pas eu la chance d’y être introduit avant fort récemment. Ce jeu sera donc traité par ses qualités ludiques uniquement, et non par rapport à la place qu’il occupe dans la série.
L’histoire de Mirror of Fate se concentre sur trois personnages : Simon Belmont, membre de la famille des célèbres chasseurs de vampires et ennemis jurés de Dracula ; Alucard, fils de Dracula ; et Trevor Belmont, autre membre puissant de ces chasseurs des ténèbres. On commencera néanmoins par incarner un dénommé Gabriel Belmont lors d’une phase de tutorial afin de s’habituer aux commandes. Bref, pour le nouveau venu, ces noms n’évoqueront pas grand-chose (À part Alucard évidemment, mais qui n'a rien à voir avec celui de Hellsing). Normal, la série reprend ses bases sur PS3, et cet opus n’est qu’une parenthèse dans cette nouvelle lignée. Néanmoins, rien d’insurmontable, tant les liens entre les différents personnages, qui sont tous liés par le destin, deviennent évidents au fur et à mesure de notre avancée dans l’aventure, jusqu’à un face-à-face final qui les réunit tous. Des révélations pas fracassantes pour la plupart, mais qui font leur effet néanmoins et tiennent juste ce qu’il faut le joueur en haleine. À noter que tout au long du jeu, on trouve divers parchemins sur les cadavres de soldats morts dans la lutte contre Dracula, un plus agréable pour l’ambiance du jeu, le placement des quelques références, des traits d’humour, ainsi qu’un peu d’expérience pour nos personnages.
La force du titre réside davantage dans son ambiance et son gameplay.
Comme dans tous les Castlevania, nous devons pénétrer dans le château de Dracula afin de protéger le monde de l’invasion des forces du mal. Le bien contre le mal, rien de plus, rien de moins, avec quelques petites variations comme on le verra à la fin. Réalisé en 2.5D, les graphismes du jeu sont très prenants sur la console portable de Nintendo. Nous évoluons en 2D comme dans les premiers opus, mais avec une profondeur de champ impressionnante, d’autant plus si on active la 3D. Et le jeu y gagne clairement en immersion, avec nombre de détails en arrière-plan et dans l’architecture générale. Cachots, geôles, cuisines médiévales, théâtre, donjons, les environnements ont ce cachet de gigantesque, d’ancien et d’abandonné, et donc d’autant plus inquiétants. Certains regretteront un peu l’effet d’aliasing, mais qui ne m’a pas gêné pour ma part. La mise en scène des combats, particulièrement contre les boss, s’avère efficace, renforçant notre immersion.
Au niveau du gameplay, c’est également du tout bon. Notre arme principale est constituée d’un fouet, et son utilisation en devient très rapidement jubilatoire. Très maniable, d’une grâce certaine lorsqu’on enchaîne les combos, les combats deviennent rapidement un plaisir, si bien qu’on prend son temps pour dégommer les ennemis sur notre chemin, même si il nous serait aisé de les éviter. Notre liste de coups évolue au fur et à mesure de nos joutes, chaque ennemi rapportant quelques points d’expérience et quelques recharges de vie selon les cas. Chaque personnage se joue de la même façon au fouet et dispose des mêmes combos, mais chacun obtient des armes secondaires différentes et quelques pouvoirs propres : Bouclier mystique pour Simon, forme de loup-garou pour Alucard, ou bombes paralysante pour Trevor, sont quelques unes des petites variations entre les personnages, ce qui évite une trop grande redondance en termes de pouvoirs et de maniabilité. Nos personnages bougent avec aisance, esquivent avec aise et répondent facilement aux commandes, même si on notera un léger phénomène d’inertie lors des sauts, qui donnent l’impression que nos héros restent suspendus dans les airs. Rien de méchant, mais un coup de main à prendre.
En termes d’avancée, rien de bien compliqué non plus. On a droit à un peu de plate-forme, mais rarement très ardu, un peu de réflexion pour certains passages, et un rien de dextérité par moment, mais rien de bien méchants. Le jeu est assez linéaire en soi, et les zones à explorer peu nombreuses, si bien qu’on n’est jamais perdu.
Et c’est un peu là que le bât blesse. Mirror of Fate est un jeu facile, trop facile. D’une part, les checkpoints sont trop nombreux, et notre personnage revient à quelques secondes ou presque du lieu de son décès. Les ennemis ne sont pas particulièrement retors, et les boss suivent un schéma d’attaque bien précis à l’ancienne, qu’il suffit de mémoriser pour en venir à bout. L’exploration est réduite à son minimum, et n’intéressera que les fans de l’exercice et ceux qui veulent terminer le jeu à 100%.
Autre faiblesse, la durée de vie. À titre personnel, sans forcer et en prenant mon temps, j’ai mis 11h32, et le tout à 100%, ne butant que sur un parchemin pendant une vingtaine de minutes. Normal, les zones de jeu sont restreintes, et chaque scénario est cloisonné, si bien qu’il n’est pas possible d’explorer de nouveaux lieux avec nos anciens personnages une fois qu’il est arrivé au bout de son aventure.
Autre inconvénient, les temps de chargement entre les zones, qui peuvent prendre une dizaine de secondes, et qui cassent le rythme de l’aventure à plusieurs reprises, d’autant que ces zones ne sont pas très vastes.
Reste une musique agréable avec certaines plages sonores où on prend le temps de tendre l’oreille et de se laisser bercer. Rien de transcendant ou d’inoubliable, mais une musique honnête et adaptée à chaque situation.
Graphismes :
Clairement le point fort du jeu et son meilleur argument. L’utilisation de la 2.5D à son meilleur, d’autant plus avec l’effet 3D de la portable activée. Un peu d’aliasing, mais rien de bien méchant, et l’animation générale est excellente.
Sons :
Agréable et bien choisie, avec quelques mélodies qu’on prend plaisir à réentendre et un peu d’épique lors des affrontements, mais rien qui reste particulièrement en mémoire.
Maniabilité :
Excellente dans l’ensemble, malgré un petit moment de suspension lors des sauts qu’il faut apprendre à gérer. Le fouet répond parfaitement, et les capacités des personnages apportent un peu de variété aux joutes, même si minime par moment. Clairement le gros point fort du jeu avec ses graphismes.
Durée de vie :
Faible, clairement, même pour atteindre les 100%. D’autant plus que le taux de rejouabilité n’est pas immense une fois qu’on a fait le tour du titre, même si on débloque un mode « difficile » après le boss de fin. Comptez une dizaine d’heures, au mieux. Sans doute le format portable qui a freiné l’envie d’adapter une aventure de plus longue haleine.
Scénario :
Agréable et qui se laisse conter, mais rien d’inoubliable ou de vraiment surprenant. Honnête et bien mené, avec quelques révélations, et c’est déjà pas si mal. Reste une ambiance excellente et qui compense le manque d’implication et de longueur du titre.
Au final, Mirror of Fate est un jeu honnête. Très immersif dans ses affrontements et son ambiance, il pèche néanmoins par une trop grande facilité, une forte linéarité et un manque de challenge général qui fait qu’on n’y revient pas forcément après l’avoir terminé. Aucun regret d’avoir été jusqu’au bout de l’aventure en ce qui me concerne et un bon moment de passé, mais qui ne restera pas forcément dans ma mémoire comme une grande expérience vidéoludique. Dommage, il aurait suffit d’un rien, j’en suis sûr.
13/20
De onishiro [377 Pts], le 07 Mai 2013 à 20h01
et donc c'est un grand créateur donc logique cette promotion aprés t histoires sur ce castelvania ou suikoden je sais pas mais je sais que j'attends le prochain PES avec impatiente grace a son moteur donc de mon coté :)
De onishiro [377 Pts], le 07 Mai 2013 à 19h59
ha effectivement je savais pas qu'il avait un tel role.
Mais ne reduit pas kojima a metal gear il a fait d'autre jeux mais si bien sur c'est la principal mais bon metal gear >>> le reste des jeux vieo :)
De KurapikaShinji [622 Pts], le 07 Mai 2013 à 18h47
@Onishiro : malheureusement non, j'aimerai surestimer son role, mais c'est bel est bien la vérité.
CF sa fiche wiki :
À partir du 1er avril 2011, Hideo Kojima devient vice-président de Konami Digital Entertainment aux côtés de Shinji Enomoto.
Il possède pas juste un des studios.
Et le soucis c'est quand tu vois sa liste de jeux. En gros a part MGS, il a pas de grosse licence. Donner autant de poids a un type qui a un CV constitué quasiment que d'une licence, c'est dangereux. La preuve avec les castlevania depuis qu'il a été rendre visite a Mercury Steam (qui bossait sur un BTA, pratiquement fini avant qu'ils doivent ajouter les noms belmont et dracula, et également avec la décision d'arrêter les suikoden
De Ludwiga [353 Pts], le 07 Mai 2013 à 14h06
@ Onishiro
Tu t'es trompé de cible ^^.
De onishiro [377 Pts], le 07 Mai 2013 à 13h27
@ Ludwiga
Je pense que déjà de dexcendre kojima tu surestime beaucoup trop son role au sein de konami.
Il dirige son propre studio (bien merité d'ailleurs) mais a ma connaisance il ne gére enb rien les autres productions du studio
De Ludwiga [353 Pts], le 07 Mai 2013 à 09h26
Pratiquant la discipline du beat'em all depuis de longues années, j'ai adoré Lords of Shadow sur PS3. Dommage, j'aurais voulu une DS, car malgré les quelques défauts pointés ici, des connaissances ont testé et ont passé un bon momen de jeu.
De KurapikaShinji [622 Pts], le 06 Mai 2013 à 21h35
@onishiro
Bah j'dis que depuis qu'il a eu sa grosse promotion et qu'il dirige a peu pres tout à Konami, il a été faire une balade en espagne chez mercury, qui bossait sur un god of war like, et que juste en changeant 2 ou 3 noms, c'est devenu un mauvais castlevania (Lord of Shadow).
Et je raconte également que ce boulet a décidé de détruire Suikoden en faisant dissoudre les équipes de développement des Suikoden.
Donc en gros, il assassine 1 a 1 les licences de Konami, et je pense qu'il sera heureux uniquement quand Konami ne fera que MGS, et qu'il sera donc au maximum dans la lumière
De onishiro [377 Pts], le 06 Mai 2013 à 21h05
KurapikaShinji tu raconte quoi avec kojima !?
De Fenris [2841 Pts], le 06 Mai 2013 à 20h48
J'ai été déçu de ce jeu par rapport aux opus précèdant.
De KurapikaShinji(nonconnecte), le 06 Mai 2013 à 14h02
Bah pour ma part, j'ai detesté le god of war like sur ps3, et j'esperais que celui la ratrapperait le niveau, mais ce n'est pas le cas au vu de la démo (0exploration, pas d'équipement/lvl up, uniquement du bourrin mou).
C'est triste de voir que depuis que le megalo Kojima est plus ou moins aux commandes de konami, il prend un plaisir a détruire une a une les grosses licences.
Après avoir signé l'arret de mort de castlevania, il s'est attaqué à Suikoden en virant l'équipe de développement.
A croire que ce type ne sera satisfait que quand Konami ne fera plus que son metal gear solid...
De Dim12 [4930 Pts], le 06 Mai 2013 à 13h21
Jolie test, j'ai testé la demo c'est vrai qu'il est pas mal :)
De Bobmorlet [5629 Pts], le 06 Mai 2013 à 13h13
J'ai jamais été un grand fan de la série. J'avais pas envie de l'acheter et la critique me conforte dans mon idée. Par contre, je fonce sur Fire emblem!