Jeux Video Test rétro - Dragon Ball Advanced Adventure
Nous vous proposons de découvrir notre test de Dragon Ball Advanced Adventure, sorti sur GameBoy Advance en juin 2005.
Dragon Ball Advanced Adventure sort en France en 2005 alors que la Game Boy Advance est sur le déclin, pour mieux laisser place à la Nintendo DS fraichement sortie. Pour autant, cet énième opus Dragon Ball promet de belles heures de jeu !
En ce qui concerne le pitch, rien de bien original pour quiconque s’intéresse de près ou de loin aux mangas : vous incarnez Son Goku, un enfant à queue de singe très costaud. Il vit à la campagne, seul depuis que son grand-père est mort. Un jour, Bulma, une jeune fille citadine le rencontre par hasard, alors qu’elle cherche les Dragon Balls, sept boules de cristal qui une fois réunies, invoquent un dragon sacré qui exauce un vœu. Goku en possède une et part sur les routes pour aider Bulma à toutes les trouver. Le jeu se content de raconter la première partie du manga, c’est-à-dire la partie dite « Dragon Ball » tout court.
Une fois entré dans le jeu, on constate que le gameplay est simple mais bougrement efficace : Goku avance et élimine les ennemis qui se présentent à lui. Ils sont légion et très variés, et Goku répond très bien aux commandes. Il possède d’ailleurs toute une panoplie de coups qu’il faut parfois débloquer au cours du jeu : les tournoiements de bâton, les différents niveaux de Kaméhaméha, de meilleurs sauts, etc. Sachez toutefois que Goku ne doit pas forcément jouer au bourrin pendant tout le jeu, il peut accéder à des passages secrets dans un niveau déblocables ultérieurement, ou même finir un niveau par deux chemins différents. Le but étant la plupart de temps de découvrir des items, qu’ils soient de soin ou pour déverrouiller le contenu bonus du jeu, comme de nouveaux personnages.
Le joueur est aussi amené à jouer dans des gameplays différents au cours de la partie. Certains niveaux sont aériens, Goku se déplaçant alors sur Kinto-Un, son nuage supersonique. Certaines autres séquences où Goku s’oppose à des adversaires marquants du manga se présentent aussi différemment, plus proche de jeux type versus-fight. Grosso modo, les barres de vies sont revues, seuls le joueur et l’adversaire sont présents sur l’écran, et le but est de casser la défense de l’adversaire pour l’envoyer valser dans les airs et donc lui infliger des dégâts. Tous ces types de gameplay sont très plaisants à jouer, même si, il est vrai, que vers la fin du jeu, la répétitivité se fait sentir. Tout de même, mention spécial au dernier type, très bien élaboré. Par contre, une chose vient nuire au plaisir pendant la partie : lorsque le joueur tue un ennemi, ce même ennemi réapparait aussi tôt dans la partie une fois revenu sur le même écran. C’est assez agaçant, il ne faut pas faire marche arrière sous peine de devoir tout refaire, finalement. Le gameplay est malgré tout excellent, on s’amuse vraiment, d’autant plus que l’univers du jeu est vraiment joli, à l’image de celui créé par Toriyama. On y retrouve tous les personnages cultes du manga, que ce soient les protagonistes principaux ou les figurants qu’on voit dans le manga.
En revanche, le jeu pèche beaucoup sur la mise en scène de l’histoire, qui n’est clairement pas parfaite. Premièrement, les dialogues sont écrits de manière très enfantine, là où le manga faisait mouche avec des blagues un peu osées. Adieu les gags salaces. Ensuite, certains passages marquants de l’histoire originale sont vraiment trop survolés pour être convaincants. Ainsi, Yamcha n’aura pas son heure de gloire dans ce jeu. Il n’est présent que lors d’un court combat dans le désert, sans aucune mise en contexte. Pourtant, Yamcha aura son importance par la suite, dans l’histoire originale, mais ici, il n’existe tout simplement pas. Enfin, on sait tous que la saga dite « Dragon Ball » sans Z s’arrête au-delà du combat contre le Roi Piccolo, mais cette partie du manga n’est pas décrite ici.
Graphismes :
Au top pour la Game Boy Advance. Les décors rendent hommage aux différents lieux de la saga, tout comme le design des personnages. Le tout est très coloré, très chaleureux. Indéniablement, ils contribuent au plaisir du jeu, et permettent une meilleure immersion au sein de cet univers qu’on aime tant.
Bande-son :
Les thèmes sont tout-à-fait sympathiques, sans pour autant être inoubliables. Même s’ils ne sont pas tirés de la série animée. On pourra même se surprendre à être entrainé dans l’ambiance par certains morceaux épiques, comme celui lors du duel contre le Roi Piccolo.
Durée de vie :
Le jeu, bien que plus ou moins complet (l’histoire relate une bonne partie de l’histoire même s’il manque des morceaux importants), est assez facile et se finit donc assez vite. Quelques heures de jeu tout au plus. Après, pour faire durer le plaisir, il y a différents modes de difficultés et des bonus à débloquer.
Scénario :
L’histoire de Dragon Ball a passionné plusieurs générations de fans. Bien que rocambolesque par moments, l’intrigue vaut le coup, car elle emmène le joueur toujours plus loin. Malgré tout, elle n’est pas bien mise en valeur ici, avec des dialogues plutôt lourds.
Jouabilité :
Assurément le gros point fort du jeu. Les différents gameplays sont tous intéressants et le personnage joué répond au doigt et à l’œil. Son Goku peut virevolter dans tous les sens et déployé un panel de coups intéressant.
En résumé :
Si ce Dragon Ball Advanced Adventure ne révolutionne pas le genre, il permet néanmoins de passer un agréable moment en compagnie de Son Goku et toute sa clique, et se classe parmi les jeux Dragon Ball réussis. Relativement complet, plaisant à jouer, visuellement beau, ce jeu a beaucoup d’atouts pour lui.
Dragon Ball Advanced Adventure sort en France en 2005 alors que la Game Boy Advance est sur le déclin, pour mieux laisser place à la Nintendo DS fraichement sortie. Pour autant, cet énième opus Dragon Ball promet de belles heures de jeu !
En ce qui concerne le pitch, rien de bien original pour quiconque s’intéresse de près ou de loin aux mangas : vous incarnez Son Goku, un enfant à queue de singe très costaud. Il vit à la campagne, seul depuis que son grand-père est mort. Un jour, Bulma, une jeune fille citadine le rencontre par hasard, alors qu’elle cherche les Dragon Balls, sept boules de cristal qui une fois réunies, invoquent un dragon sacré qui exauce un vœu. Goku en possède une et part sur les routes pour aider Bulma à toutes les trouver. Le jeu se content de raconter la première partie du manga, c’est-à-dire la partie dite « Dragon Ball » tout court.
Une fois entré dans le jeu, on constate que le gameplay est simple mais bougrement efficace : Goku avance et élimine les ennemis qui se présentent à lui. Ils sont légion et très variés, et Goku répond très bien aux commandes. Il possède d’ailleurs toute une panoplie de coups qu’il faut parfois débloquer au cours du jeu : les tournoiements de bâton, les différents niveaux de Kaméhaméha, de meilleurs sauts, etc. Sachez toutefois que Goku ne doit pas forcément jouer au bourrin pendant tout le jeu, il peut accéder à des passages secrets dans un niveau déblocables ultérieurement, ou même finir un niveau par deux chemins différents. Le but étant la plupart de temps de découvrir des items, qu’ils soient de soin ou pour déverrouiller le contenu bonus du jeu, comme de nouveaux personnages.
Le joueur est aussi amené à jouer dans des gameplays différents au cours de la partie. Certains niveaux sont aériens, Goku se déplaçant alors sur Kinto-Un, son nuage supersonique. Certaines autres séquences où Goku s’oppose à des adversaires marquants du manga se présentent aussi différemment, plus proche de jeux type versus-fight. Grosso modo, les barres de vies sont revues, seuls le joueur et l’adversaire sont présents sur l’écran, et le but est de casser la défense de l’adversaire pour l’envoyer valser dans les airs et donc lui infliger des dégâts. Tous ces types de gameplay sont très plaisants à jouer, même si, il est vrai, que vers la fin du jeu, la répétitivité se fait sentir. Tout de même, mention spécial au dernier type, très bien élaboré. Par contre, une chose vient nuire au plaisir pendant la partie : lorsque le joueur tue un ennemi, ce même ennemi réapparait aussi tôt dans la partie une fois revenu sur le même écran. C’est assez agaçant, il ne faut pas faire marche arrière sous peine de devoir tout refaire, finalement. Le gameplay est malgré tout excellent, on s’amuse vraiment, d’autant plus que l’univers du jeu est vraiment joli, à l’image de celui créé par Toriyama. On y retrouve tous les personnages cultes du manga, que ce soient les protagonistes principaux ou les figurants qu’on voit dans le manga.
En revanche, le jeu pèche beaucoup sur la mise en scène de l’histoire, qui n’est clairement pas parfaite. Premièrement, les dialogues sont écrits de manière très enfantine, là où le manga faisait mouche avec des blagues un peu osées. Adieu les gags salaces. Ensuite, certains passages marquants de l’histoire originale sont vraiment trop survolés pour être convaincants. Ainsi, Yamcha n’aura pas son heure de gloire dans ce jeu. Il n’est présent que lors d’un court combat dans le désert, sans aucune mise en contexte. Pourtant, Yamcha aura son importance par la suite, dans l’histoire originale, mais ici, il n’existe tout simplement pas. Enfin, on sait tous que la saga dite « Dragon Ball » sans Z s’arrête au-delà du combat contre le Roi Piccolo, mais cette partie du manga n’est pas décrite ici.
Graphismes :
Au top pour la Game Boy Advance. Les décors rendent hommage aux différents lieux de la saga, tout comme le design des personnages. Le tout est très coloré, très chaleureux. Indéniablement, ils contribuent au plaisir du jeu, et permettent une meilleure immersion au sein de cet univers qu’on aime tant.
Bande-son :
Les thèmes sont tout-à-fait sympathiques, sans pour autant être inoubliables. Même s’ils ne sont pas tirés de la série animée. On pourra même se surprendre à être entrainé dans l’ambiance par certains morceaux épiques, comme celui lors du duel contre le Roi Piccolo.
Durée de vie :
Le jeu, bien que plus ou moins complet (l’histoire relate une bonne partie de l’histoire même s’il manque des morceaux importants), est assez facile et se finit donc assez vite. Quelques heures de jeu tout au plus. Après, pour faire durer le plaisir, il y a différents modes de difficultés et des bonus à débloquer.
Scénario :
L’histoire de Dragon Ball a passionné plusieurs générations de fans. Bien que rocambolesque par moments, l’intrigue vaut le coup, car elle emmène le joueur toujours plus loin. Malgré tout, elle n’est pas bien mise en valeur ici, avec des dialogues plutôt lourds.
Jouabilité :
Assurément le gros point fort du jeu. Les différents gameplays sont tous intéressants et le personnage joué répond au doigt et à l’œil. Son Goku peut virevolter dans tous les sens et déployé un panel de coups intéressant.
En résumé :
Si ce Dragon Ball Advanced Adventure ne révolutionne pas le genre, il permet néanmoins de passer un agréable moment en compagnie de Son Goku et toute sa clique, et se classe parmi les jeux Dragon Ball réussis. Relativement complet, plaisant à jouer, visuellement beau, ce jeu a beaucoup d’atouts pour lui.
De goldtime9 [1426 Pts], le 14 Février 2012 à 18h33
merci pour ce test RAIMARU . Pour ma part je trouve la note est petit peu trop gentille . Mais il est vrai que pour l'époque c'était qu'a meme pas mal . Et surtout que les nouveaux DRAGON BALL sur la nouvelle génération de consoles sont franchement moyen . Alors il vaut mieux jouer au anciens DB !
De Kimi [3391 Pts], le 13 Février 2012 à 22h36
Bon petit test pour un bon petit jeu. ^^ Merci Rai' ;)
De tsubasadow [4303 Pts], le 13 Février 2012 à 22h27
Un jeu bien symphatique auquel j'ai pris plaisir à y jouer
De luffylepirate [308 Pts], le 13 Février 2012 à 19h55
que de bon souvenirs quand meme
De luffylepirate [308 Pts], le 13 Février 2012 à 19h54
je joué a ce jeu au sport d'hiver quand il fesait trop froid
De Squalex [3831 Pts], le 13 Février 2012 à 19h06
Merci pour ce test Raimaru!
J'avais passé de belles heures sur ce jeu à l'époque!
De elie31 [2964 Pts], le 13 Février 2012 à 18h50