Queen Emeraldas - Manga

Avis sur Queen Emeraldas

Queen Emeraldas

Naniiees

De Naniiees [1598 Pts], le 15 Octobre 2021 à 11h26

Merci pour cette réédition également comme Albator en un seul volume ! Qui vaut tellement le coup de l'avoir dans sa collection ! 

Endulus

De Endulus [617 Pts], le 01 Juin 2017 à 13h29

16/20

Après avoir lu Albator, il fallait obligatoirement que je passe par Queen Emeraldas, son alter-ego féminin. Je vais pas m'étendre sur l'histoire en elle même, elle est bien rythmé, le récit est intérressant. Mais pour moi il manque de personnages secondaires, alors oui Emeraldas est bien plus solitaire qu'Albator, mais il n'empêche qu'il manque un petit de personnages avec du caractère pour contre balancer celui de l'héroïne. L'autre problème selon moi c'est sa fin, il manque quelque chose que je ne saurais définir, et c'est assez frustrant.

Sinon les 4 histoires bonus sont sympa, ca n'apporte rien au récit de base, mais ca montre bien que le personnage est encré dans l'univers que Leiji Matsumoto a créé. 

Il n'en reste pas moins que ce tome est un incontournable pour tout fan de Leiji Matsumoto.

bubulle62

De bubulle62 [9285 Pts], le 22 Août 2016 à 08h44

17/20

Pour les fans de la série alabator c'est un petit plaisir

DemiCercle

De DemiCercle, le 24 Avril 2016 à 17h37

17/20

Après avoir dévoré l'intégrale de Albator proposée dans la même collection et le même style par Kana (mais sans les dates !!) il était tout naturel, en attendant les sorties de BlackBox de me tourner vers la suite spirituelle de la saga, à savoir Queen Emeraldas.
Je parle de suite spirituelle et non de suite, car l'histoire de cette série n'est d'une part pas bien définie chronologiquement, et d'autre part, il est assez difficile de trouver un semblant de continuité dans l'univers de Leiji Matsumoto, qui nous offre ici une histoire possible du personne de Emeraldas, invalidée par la saga Albator, les histoires courtes du personnage et les séries à venir.

Cependant, une fois que l'on a fait le deuil de cette suite, ou de ce préquel, la série se révèle dans toute sa splendeur ! Car il s'agit avant tout d'une extension de l'univers de l'auteur, de l'errance de ce personnage assez tragique au sein de ce vaste océan.
Océan que l'auteur parvient à merveille à rendre aussi vivant que dangereux, et auquel il donne une identité et une diversité assez fascinante : Chaque planète, chaque rencontre de Emeraldas est l'occasion pour l'auteur de nous surprendre avec des formations cosmiques étonnantes, avec des péripéties insoupçonnés, de nous confronter à tel facette de l'esprit humain et surtout de nous émouvoir avec ces nombreux personnages romantiques, partis ou non à l'aventure à la recherche de leur rêve, tout en sachant ce rêve impossible, ou que celui ci constituera leur perte.

A cet égard Queen Emeraldas va bien plus loin que Albator, et en même temps en fait bien moins. Là ou la saga Albator était bien plus riche en action et avec bien plus de personnages, elle prenait moins de temps à la contemplation et même si cette série était très contemplative tout de même, elle passait plus de temps à nous présenter une aventure spatiale épique avec un vil empire à défaire.
Queen Emeraldas ne propose pas autant de personnages, il n'y a en somme que 2 personnages principaux, et de nombreuses rencontres épisodiques, mais passe bien plus de temps à explorer le vaste univers sorti de l'imagination de l'auteur, et à explorer les thématiques qu'Albator ne faisait presque qu'effleurer.

D'autant plus que cette structure bien plus épisodique colle bien mieux avec le style de l'auteur, et nuisait presque à Albator (tout en étant une de ses plus grande qualité au niveau de sa non-fin) en ralentissant le rythme des volumes et en atténuant l'impact émotionnel de certains épisodes. Avec cette structure décousue et dénuée de grande histoire, le scénario étant en retrait, Queen Emeraldas garde non seulement un bon rythme tout au long du volume, mais en plus, grâce à de nombreuses pauses et respirations entre et au sein des chapitres, garde une même intensité tout au long du récit ! Sans oublier que cette structure permet à la série de se finir quand elle le souhaite sans frustrer le lecteur comme cela avait pu être le cas avec Albator. On ne fait que passer dans cette vaste histoire qu'est celle d'Emeraldas, et ainsi nous n'avons le droit ni à un début, ni à une fin, et cela importe peu en comparaison avec le voyage fabuleux en une telle compagnie que le titre nous offre.

Avec ma maigre expérience de l'auteur, je suis à chaque titre de plus en plus conquis par son style assez unique ! Et surtout, qui semble aller en s'améliorant ! Queen Emeraldas n'est pas aussi épique qu'Albator, mais elle est largement plus cohérente, bien mieux maitrisée et tout aussi, si ce n'est plus, intense émotionnellement !
On peut regretter éventuellement le manque de cohérence de l'univers, mais au final il ne viens qu'encore une fois renforcer le caractère mythologique de ces personnages !

Enfin ça ne dispense pas Kana d'une réimpression ou d'une réédition de l'anneau des Nibelungen !

toms33

De toms33 [1210 Pts], le 27 Février 2015 à 21h15

12/20

Après Albator, place à son alter ego féminin.

Avec toujours les mêmes déssins qui ont fais le charme d'Albator.

Mais coté histoire c'est pas top.

Et l'un des points forts qui as fais la force d'Albator, tous les personnages secondaire. Dans Emeraldas, ils sont peut nombreux et pas intéressant.

Puis la fin, non il y en a pas. Tous ce chemin pour rien et ces pas les épisodes spéciaux qui font relever l'histoire.

 

Vagabond

De Vagabond [266 Pts], le 07 Février 2015 à 07h27

18/20

 

Kana nous propose exactement le même format que pour l’intégrale d’Albator,  soit un bon gros pavé de près de 850 pages !

Et comme à l’accoutumée dans leur collection Sensei, Kana a très bien fait les choses : Une très intéressante préface, 6 illustrations couleurs (4 reprenant les jaquettes originales et 2 inédites), 4 histoires courtes de la femme pirate et une interview de Leiji Matsumoto en fin de volume.

En fait Kana nous propose ici sa version de l’intégrale en 2 tomes, parue au Japon en 2009 et totalement retravaillée pour l’occasion par Leiji Matsumoto himself ! En effet, certaines planches ayant été perdues, Matsumoto a dû travailler à partir de photocopies des magazines de prépublications de l’époque et redessiner une bonne partie des planches….

Passons au vif du sujet, le manga !

Ceux qui ont lu Galaxy Express 999 trouveront dans Queen Emeraldas comme un gout de déjà lu : Un orphelin avec un rêve à accomplir, aidé par une mystérieuse femme et vivant tout deux un tas d’aventures pour accomplir leurs rêves… Le pitch tient en une ligne^^

Mais bon, ceux qui connaissent un peu le Leijiverse*, savent qu’il ne faut pas s’attarder à ça^^ Car si Galaxy Express délivre un relatif message d’espoir et des valeurs humaines, Queen Emeraldas est plus sombre et mélancolique. Pour Emeraldas, les Hommes sont lâches, égoïstes, vils et voués à disparaîtreCar Emeraldas n’est ni Albator, ni Maetel, elle ne cherche pas à sauver l’humanité, elle parcourt l’univers pour elle, dans un but précis, point barre !

Ceux qui croisent sa route, la trahissent ou la déçoivent sont condamnés à mourir de sa main, voilà comment est la terrible femme pirate redoutée par tous ! Hiroshi Umino éveille son intérêt par sa volonté et sa détermination mais surtout parce qu’il refuse obstinément l’aide d’Emeraldas.

Le recueil est composé d’histoires en un chapitre relatant les nombreuses péripéties d’Emeraldas et d’Hiroshi, même si on croise au détour des pages quelques visages bien connus. Leiji Matsumoto aimant mélanger ses Univers, rien d’étonnant à cela…

Et on est ici dans du Matsumoto classique et donc comme pour Albator, pas de fin à proprement parler (même s'il y a écrit intégrale sur le tome^^) et ce malgré que le 4e tome soit sorti en 1978.

Quant au dessin, c'est du Matsumoto de la grande époque : double pages à foison, parchemins narratifs, vaisseaux improbables, cadrans en veux-tu, en voilà, bref, tout ce qu’on aime  :P

Comme je l’ai dit plus haut les différents Univers de Matsumoto étant liés, il faut piocher dans ses autres œuvres comme Galaxy Express 999 ou L’anneau des Nibelungen pour en apprendre un peu plus sur la suite des aventures de la sorcière de l’espace…

Passons aux histoires courtes de ce recueil : sur les quatre contenues dans ce recueil, deux n’avaient jamais été publiées en volumes reliés. Certaines sont antérieures à Queen Emeraldas, (les prototypes du personnage en quelque sorte) d’autres sont postérieures et se lisent comme telle.

Ce qui explique aussi la différence de ton entre elles. Ex : la 3e histoire racontant le face à face entre Emeraldas et Albator/Harlock à bord de Zeppelins a un ton humoristique totalement décalé avec le reste du recueil ^^

Néanmoins cette intégrale n’est pas dénué d’intérêt, en particulier pour les Leijiphiles* (comme moi) car on en apprend beaucoup sur la genèse d’Emeraldas, notamment comment et pourquoi une cicatrice lui traverse le visage.

Pour les autres, un chouette recueil qui se laisse lire avec beaucoup plaisir mais qui ne laissera sans doute pas un souvenir impérissable aux non-initiés/fans.

 

LcV

De LcV [838 Pts], le 29 Janvier 2015 à 12h03

15/20

Une très bonne série, bien rythmée malgré son age, avec une mise en page moderne pour l'époque.

Seul point noir : pas de fin digne de ce nom... Et ça gache un peu l'ensemble !

Si l'auteur nous intéresse au long de ces 800 et quelques pages, on en vient à se demander, une fois le volume refermé, ce à quoi on vient de perdre son temps...

Dommage, le voyage était si beau ! On aurait aimé en savoir plus sur les différents mystères mis en place...

Bref, un incontournable pour les fans de l'auteur, mais quand même un peu frustrant en définitive...

Quelqu'un sait si l'animé qui en est tiré a une vraie fin ?

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