Ragnorock Gai est un récit de SF qui sens bon les années 80. L'histoire sur ce guerrier d'élite ennemis des puissants est classique mais efficace grâce au train fin élégant et dynamique de Okazaki Tsuguo Un bon divertissement
Sympathique série de SF qui fleure bon les années 80 : les dessins, proches de ceux de Macross, sont précis et élégants, les rebondissements nombreux, le héros fort et honnête (malgré un sombre passé) fait face à son destin. Les couvertures sont superbes !
Après un début à la Hokuto no Ken (mais dans un univers à la Cobra, l'humour en moins), l'auteur met ensuite en place une histoire d'action pleine de luttes à mort pistolet laser au poing et de voyages spatiaux. Je suis moins friand de la tournure que prend la dernière partie de la série (à partir du tome 6), certes originale, qui se veut métaphysique mais qui est surtout un obscur mélange de mythologie nordique, de clichés préhistoriques et de discours nébuleux. On dirait du Jodorowsky soft ! Comme le dit la critique de MN, la fin est plutôt satisfaisante quoique très ouverte.
Au final, un honnête divertissement pour qui aime le style des années 80, plein d'action et qui se lit avec plaisir, même si la dernière partie est un peu déroutante !
16/12/1991 
De nolhane [7030 Pts], le 22 Juin 2024 à 21h26
Ragnorock Gai est un récit de SF qui sens bon les années 80. L'histoire sur ce guerrier d'élite ennemis des puissants est classique mais efficace grâce au train fin élégant et dynamique de Okazaki Tsuguo
Un bon divertissement
De bakagoku [4743 Pts], le 07 Février 2020 à 22h46
Sympathique série de SF qui fleure bon les années 80 : les dessins, proches de ceux de Macross, sont précis et élégants, les rebondissements nombreux, le héros fort et honnête (malgré un sombre passé) fait face à son destin. Les couvertures sont superbes !
Après un début à la Hokuto no Ken (mais dans un univers à la Cobra, l'humour en moins), l'auteur met ensuite en place une histoire d'action pleine de luttes à mort pistolet laser au poing et de voyages spatiaux. Je suis moins friand de la tournure que prend la dernière partie de la série (à partir du tome 6), certes originale, qui se veut métaphysique mais qui est surtout un obscur mélange de mythologie nordique, de clichés préhistoriques et de discours nébuleux. On dirait du Jodorowsky soft ! Comme le dit la critique de MN, la fin est plutôt satisfaisante quoique très ouverte.
Au final, un honnête divertissement pour qui aime le style des années 80, plein d'action et qui se lit avec plaisir, même si la dernière partie est un peu déroutante !