Malgré le fait assez décevant que l'on ait classé cette série manga à lire à partir de 15 ou 16 ans juste à cause de la nudité naturelle mais encore assez réservée des cinq jeunes serveuses bien mignonnes, je me suis dit qu'avec leur jeune patron Hayato qui succède à sa défunte grand-mère Kasukabe et celle-ci, la série pourrait un peu évoquer les cinq pensionnaires initiales et leur gérant poissard Keitarô et la grand-mère de celui-ci comme les personnages de Ken AKAMATSU de la série shônen manga "Love Hina", ne trouvez-vous pas ?
Ne trouvez-vous pas bien exagéré que, pour de simples nus même partiels (et encore, selon sa sensibilité, le mangaka ne trace ni les fentes ni les mamelons de ses personnages féminins), la série, aussi sympa soit-elle, soit classée pas avant 16 ans pour le lectorat ? Aussi bien pour sa verison francophone chez Pika que sa version originale ?...
Avec ces termes qui désignent des organes génitaux ou des pratiques sexuelles qui soient masqués par des symboles ou plus souvent par des bandes de censure à "BIIIP" dans les dialogues même s'ils ne sont pas si grossiers donc plutôt d'un langage courant, mais aussi avec ces corps nus, donc dans un état naturel tout simple, qui restent retouchés dans une stylisation du mangaka (retrait des fentes de l'entrejambe et de la courbe pubienne du bas-ventre des personnages féminins, voire aussi masquage de leurs mamelons avec ou sans vapeur) dans les scènes de toilette et de bain comme ailleurs ; Je trouve que, niveau pudicité du mangaka Kôji SEO, peut-être imposée par ses responsables éditoriaux et/ou selon sa propre sensibilité voire celle de ses assistants mangaka, qui serait tout aussi bien valable pour la version originale japonaise que pour la version francophone chez Pika ; et les adaptateurs traducteurs, et les réalisateurs bédéastes, et les responsables éditotiaux des diverses versions, que rien que ça leur suffise à indiquer "à partir de 16 ans" (même s'il y a aussi les extraits relatifs à la gestion de la petite entreprise du café, avec ce thème de la gestion d'entreprise avec communication et comptabilité qui est plutôt trop complexe à comprendre pour un lectorat adolescent avant 14 ou 16 ans ; en plus des extraits d'abus révoltants du vil M. FUWA et de ce trio de voyous tout auss harceleurs dont l'un serait son petit-fils), je trouve sérieusement qu'ils exagèrent ! C'est le seul gros point noir que je trouve dans la globalité de ce manga, qui m'est bien énervant par sa réccurrence voire son maintien en permanence.
Quoique... finalement, je devrais me dire que, si tel est le choix du mangaka SEO Kôji, cette répétition de floutage et de mots masqués par des cadres "BIIIP" pourrait aussi être considérée comme une interprétation plus libre du vocabulaire d'un.e lecteur.trice à l'autre, selon aussi la sensibilité personnelle et son interprétation...
Mais aussi, autrement, ne trouveriez-vous pas qu'Ami TSUGURA, la plus jeune des "Cinq Déesses" employées du Café Familia, aussi énergique donc bonne sportive qu'elle soit, en plus d'être tout aussi impulsive fonceuse et gaffeuse, effrontée voire simplette, à voir comme un écho féminin au jeune capitaine pirate aventurier Monkey D. Luffy, le protagoniste (au corps élastique doublé d'une force herculéenne) de la saga fleuve "One Piece" du mangaka Eiichirô ODA ?
De Majoren-san, le 19 Septembre 2023 à 13h36
Malgré le fait assez décevant que l'on ait classé cette série manga à lire à partir de 15 ou 16 ans juste à cause de la nudité naturelle mais encore assez réservée des cinq jeunes serveuses bien mignonnes, je me suis dit qu'avec leur jeune patron Hayato qui succède à sa défunte grand-mère Kasukabe et celle-ci, la série pourrait un peu évoquer les cinq pensionnaires initiales et leur gérant poissard Keitarô et la grand-mère de celui-ci comme les personnages de Ken AKAMATSU de la série shônen manga "Love Hina", ne trouvez-vous pas ?
De Majoren-san, le 14 Janvier 2024 à 17h34
Ne trouvez-vous pas bien exagéré que, pour de simples nus même partiels (et encore, selon sa sensibilité, le mangaka ne trace ni les fentes ni les mamelons de ses personnages féminins), la série, aussi sympa soit-elle, soit classée pas avant 16 ans pour le lectorat ? Aussi bien pour sa verison francophone chez Pika que sa version originale ?...
De Majoren-san, le 29 Août 2024 à 08h39
C'est vrai, quoi ! :
Avec ces termes qui désignent des organes génitaux ou des pratiques sexuelles qui soient masqués par des symboles ou plus souvent par des bandes de censure à "BIIIP" dans les dialogues même s'ils ne sont pas si grossiers donc plutôt d'un langage courant, mais aussi avec ces corps nus, donc dans un état naturel tout simple, qui restent retouchés dans une stylisation du mangaka (retrait des fentes de l'entrejambe et de la courbe pubienne du bas-ventre des personnages féminins, voire aussi masquage de leurs mamelons avec ou sans vapeur) dans les scènes de toilette et de bain comme ailleurs ;
Je trouve que, niveau pudicité du mangaka Kôji SEO, peut-être imposée par ses responsables éditoriaux et/ou selon sa propre sensibilité voire celle de ses assistants mangaka, qui serait tout aussi bien valable pour la version originale japonaise que pour la version francophone chez Pika ; et les adaptateurs traducteurs, et les réalisateurs bédéastes, et les responsables éditotiaux des diverses versions, que rien que ça leur suffise à indiquer "à partir de 16 ans" (même s'il y a aussi les extraits relatifs à la gestion de la petite entreprise du café, avec ce thème de la gestion d'entreprise avec communication et comptabilité qui est plutôt trop complexe à comprendre pour un lectorat adolescent avant 14 ou 16 ans ; en plus des extraits d'abus révoltants du vil M. FUWA et de ce trio de voyous tout auss harceleurs dont l'un serait son petit-fils), je trouve sérieusement qu'ils exagèrent !
C'est le seul gros point noir que je trouve dans la globalité de ce manga, qui m'est bien énervant par sa réccurrence voire son maintien en permanence.
De Majoren-san, le 29 Avril 2025 à 12h28
Quoique... finalement, je devrais me dire que, si tel est le choix du mangaka SEO Kôji, cette répétition de floutage et de mots masqués par des cadres "BIIIP" pourrait aussi être considérée comme une interprétation plus libre du vocabulaire d'un.e lecteur.trice à l'autre, selon aussi la sensibilité personnelle et son interprétation...
Mais aussi, autrement, ne trouveriez-vous pas qu'Ami TSUGURA, la plus jeune des "Cinq Déesses" employées du Café Familia, aussi énergique donc bonne sportive qu'elle soit, en plus d'être tout aussi impulsive fonceuse et gaffeuse, effrontée voire simplette, à voir comme un écho féminin au jeune capitaine pirate aventurier Monkey D. Luffy, le protagoniste (au corps élastique doublé d'une force herculéenne) de la saga fleuve "One Piece" du mangaka Eiichirô ODA ?
De hannahmt, le 20 Juillet 2023 à 11h02
Une belle surprise ce nouveau titre de Kouji Seo, toujours aussi prenant et les dessins sont magnifiques !