- Titre VO: ホークウッド
- Dessin : OHTSUKA Tommy
- Scénario : OHTSUKA Tommy
- Type: Seinen
- Genre: Historique , Drame
- Editeur JP: Media Factory
- Prépublication JP: Comic Flapper
- Prépublication JP 2: Comic Historia
- Date de 1er parution: 2010
Age conseillé
Prix public
¥
L’épopée d’un mercenaire de génie dans la fureur de la Guerre de Cent ans
Résumé:
XIVe siècle, royaume de France, province de Normandie.
La petite ville de Carentan est sous la menace de l’ennemi. Devant ses murs se presse l’armée régulière anglaise, lancée à la conquête de la France. À sa tête, le prince Édouard, fils légitime du roi d’Angleterre. Pour se sortir d’une situation a priori désespérée, les assiégés font appel à la «compagnie des corbeaux blancs» de John Hawkwood, un officier audacieux dont les stratégies outrepassent les règles de la chevalerie.
Le mercenaire de légende affronte le Prince Noir... quelle sera l’issue du combat ?
La petite ville de Carentan est sous la menace de l’ennemi. Devant ses murs se presse l’armée régulière anglaise, lancée à la conquête de la France. À sa tête, le prince Édouard, fils légitime du roi d’Angleterre. Pour se sortir d’une situation a priori désespérée, les assiégés font appel à la «compagnie des corbeaux blancs» de John Hawkwood, un officier audacieux dont les stratégies outrepassent les règles de la chevalerie.
Le mercenaire de légende affronte le Prince Noir... quelle sera l’issue du combat ?
Les points forts de la série:
Que vous soyez amateur de récits historiques ou d’aventures chevaleresques, Hawkwood a tous les ingrédients pour vous plaire !
L’auteur Tommy OHTSUKA s’est particulièrement bien documenté sur ce pan qui a forgé l’Histoire de France. Il met en scène de nombreux personnages historiques et les relations complexes qui les unissent. Vous découvrirez peut-être la place prépondérante jouée par les mercenaires dans le conflit franco-anglais, à une époque où l’argent était déjà le nerf de la guerre. Sir John Hawkwood (1320-1394) est considéré comme le premier mercenaire de l’ère moderne.
Et si certains passages vous font penser à Game of thrones, c’est tout à fait normal : George R.R. Martin s’est largement inspiré de la Guerre de Cent Ans pour écrire sa célèbre saga.
L’auteur Tommy OHTSUKA s’est particulièrement bien documenté sur ce pan qui a forgé l’Histoire de France. Il met en scène de nombreux personnages historiques et les relations complexes qui les unissent. Vous découvrirez peut-être la place prépondérante jouée par les mercenaires dans le conflit franco-anglais, à une époque où l’argent était déjà le nerf de la guerre. Sir John Hawkwood (1320-1394) est considéré comme le premier mercenaire de l’ère moderne.
Et si certains passages vous font penser à Game of thrones, c’est tout à fait normal : George R.R. Martin s’est largement inspiré de la Guerre de Cent Ans pour écrire sa célèbre saga.
Infos supplémentaires:
Sir John Hawkwood (1320-1394) est né en Angleterre, d’un père tanneur dans l’Essex. Probablement épris d’aventures, il quitte sa formation de tailleur et s’engage très jeune comme soldat dans l’armée anglaise. En tant qu’archer, il participe en 1342-1343 aux nombreuses batailles qui émailleront la guerre de Succession de Bretagne. Il met son épée au service du roi d’Angleterre Édouard III dès le début de la guerre de Cent Ans et aurait participé aux batailles de Crécy (1346) et de Poitiers (1356).
En 1360, la guerre de Cent Ans connaît une période d’accalmie. Hawkwood et ses troupes prennent la direction du sud de la France qu’ils ravagent allègrement, puis de l’Italie où le mercenaire servira différentes factions (Pise, Pérouse, l’armée papale...). Une fresque en son honneur est toujours visible dans la cathédrale Santa Maria del Fiore de Florence. Sa cruauté lors des campagnes italiennes a inspiré à ses contemporains l’adage « un Anglais italianisé est un diable incarné ».
En 1360, la guerre de Cent Ans connaît une période d’accalmie. Hawkwood et ses troupes prennent la direction du sud de la France qu’ils ravagent allègrement, puis de l’Italie où le mercenaire servira différentes factions (Pise, Pérouse, l’armée papale...). Une fresque en son honneur est toujours visible dans la cathédrale Santa Maria del Fiore de Florence. Sa cruauté lors des campagnes italiennes a inspiré à ses contemporains l’adage « un Anglais italianisé est un diable incarné ».