Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 16 Décembre 2016
Rien ne va plus ! Suite à une nouvelle mission devant les amener en République de Nabamsa en Afrique, l'avion de Minamoto, Sakaki et Fujiko s'écrase, et voila les membres de B.A.B.E.L. séparés en pleine savane. Minamoto retrouve vite Sakaki, et la "survie" des deux hommes s'organise vite. Où est la directrice ? Hyôbu ou Black Phantom ont-ils quelque chose à voir dans tout ça ? Le règne animal imposant sa loi sur la savane laissera-t-il nos héros tranquilles ? Autant de questions qui animent les 4 premiers chapitres de ce tome, tandis que dans l'ombre se dresse également un homme se faisant appeler Leon et étant capable de transférer son esprit dans le corps d'un animal pour protéger les animaux face aux braconniers...
Le résultat de cette mission partie en vrille ? De l'humour, beaucoup d'humour ! Tout en proposant de l'action un brin dépaysante de par le lieu un peu plus exotique où se passent les choses, Takashi Shiina enchaine pendant environ 70 pages les gags, par exemple autour de la situation de Minamoto et Sasaki, de la façon dont tout ceci s'achève, ou du rôle qu'y tient "Leon".
Dans la suite du tome, c'est encore une nouvelle mission qui se profile : empêcher la prédiction au sujet d'un "pantin", l'ennemi semblant être un Esper de haut niveau. Pendant que Minamoto et les Children se rendent sur place, les choses bougent aussi du côté de Tim, de Barret et du groupe de Mio et Patty, qui vont se retrouver dans une situation délicate face à un redoutable adversaire... ou pas ?
Qu'on se le dise, dans cette partie aussi l'humour est très présent et exploite à merveille ses différentes figures. On pense bien sur, en premier lieu, aux habituelle taquineries des Children envers Minamoto, mais aussi au côté otaku qui revient au galop chez Tim et Barret, ou aux quelques clins d'oeil parsemant la lecture (à Détective Conan, par exemple). Le rôle de Kugutsu reste également intéressant, tout comme celui des ennemis anti Espers poussant les personnages de B.A.B.E.L. et de P.A.N.D.R.A. à devoir collaborer.
En somme, dans les deux principales parties de ce tome, action et humour font très bon ménage autour d'un rythme endiablé et d'une bonne utilisation des personnages. Mais il s'en dégage aussi de petites évolutions prometteuses pour la suite, à commencer bien sûr par la façon dont Minamoto considère ses protégées qu'il voit petit à petit devenir des femmes (avec ce que ça implique des réflexions taquines hilarantes de la part des autres personnages en tête desquels Kaoru, Aoi et Shiho), au point qu'il aimerait bien arrêter de vivre dans le même appartement qu'elles (mais évidemment, les 3 pestes ne l'entendent pas ainsi !). Les deux missions tendent également à confirmer un certain rapprochement entre B.A.B.E.L. et P.A.N.D.R.A., ce qui intrigue encore et toujours. Enfin, le mystère reste bien entretenu autour de la nature et de l'objectif de Feather, désormais prisonnière de B.A.B.E.L..
Le résultat de cette mission partie en vrille ? De l'humour, beaucoup d'humour ! Tout en proposant de l'action un brin dépaysante de par le lieu un peu plus exotique où se passent les choses, Takashi Shiina enchaine pendant environ 70 pages les gags, par exemple autour de la situation de Minamoto et Sasaki, de la façon dont tout ceci s'achève, ou du rôle qu'y tient "Leon".
Dans la suite du tome, c'est encore une nouvelle mission qui se profile : empêcher la prédiction au sujet d'un "pantin", l'ennemi semblant être un Esper de haut niveau. Pendant que Minamoto et les Children se rendent sur place, les choses bougent aussi du côté de Tim, de Barret et du groupe de Mio et Patty, qui vont se retrouver dans une situation délicate face à un redoutable adversaire... ou pas ?
Qu'on se le dise, dans cette partie aussi l'humour est très présent et exploite à merveille ses différentes figures. On pense bien sur, en premier lieu, aux habituelle taquineries des Children envers Minamoto, mais aussi au côté otaku qui revient au galop chez Tim et Barret, ou aux quelques clins d'oeil parsemant la lecture (à Détective Conan, par exemple). Le rôle de Kugutsu reste également intéressant, tout comme celui des ennemis anti Espers poussant les personnages de B.A.B.E.L. et de P.A.N.D.R.A. à devoir collaborer.
En somme, dans les deux principales parties de ce tome, action et humour font très bon ménage autour d'un rythme endiablé et d'une bonne utilisation des personnages. Mais il s'en dégage aussi de petites évolutions prometteuses pour la suite, à commencer bien sûr par la façon dont Minamoto considère ses protégées qu'il voit petit à petit devenir des femmes (avec ce que ça implique des réflexions taquines hilarantes de la part des autres personnages en tête desquels Kaoru, Aoi et Shiho), au point qu'il aimerait bien arrêter de vivre dans le même appartement qu'elles (mais évidemment, les 3 pestes ne l'entendent pas ainsi !). Les deux missions tendent également à confirmer un certain rapprochement entre B.A.B.E.L. et P.A.N.D.R.A., ce qui intrigue encore et toujours. Enfin, le mystère reste bien entretenu autour de la nature et de l'objectif de Feather, désormais prisonnière de B.A.B.E.L..
27/10/2023 