Usagi Yojimbo Vol.13 - Actualité manga
Usagi Yojimbo Vol.13 - Manga

Usagi Yojimbo Vol.13 : Critiques

Usagi Yojimbo

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 14 Septembre 2009

Après le fantastique volume 12 et l’épopée de l’épée Kusanagi, Stan Sakai fait repartir Usagi du temple de Sanshobo en y laissant Gennosuké convalescent. La première histoire s’ouvre sur les ablutions d’Usagi, une occasion encore de remarquer l’habileté de Stan à rendre son lapin très expressif. L’histoire en question est d’un grande simplicité et fait croisé le fils d’un compagnon d’armes d’Usagi décidé à obtenir une notoriété égale à celle de son père durant la bataille d’Adachigahara.
Les récits suivant ramènent Usagi dans le monde fantastique. Il apporte le repos de l’âme à un samouraï que sa femme devenue démon a assassiné.
Stan Sakai s’occupe également d’adapter à sa façon la légende de momotaro, l’enfant né d’une pêche géante.
L’histoire suivante est à plusieurs suites et occupent le reste de ce volume avec tout d’abord une enquête menée par l’inspecteur Ishida, un des personnages réguliers de la série. La courtisane trace les raisons réelles et les conséquences des crimes commis. Le destin de la lignée de lady marple se déterminant dans la toute dernière histoire du volume.
Les lecteurs de comics US pourront reconnaitre en page titre de la courtisane, les personnages de la série « akiko and the planet smoo ».
Un tome de transition, pourrait-on dire. Il serait plausible qu’après une saga aussi riche et complexe que celle du tome précédant, Stan Sakai se relâche un peu avec des histoires plus moyennes. En fait, il ne lui faut que la moitié de cet album et des histoires malgré tout d’un très bon niveau avant de se remettre à une intrigue bien emberlificotée avec la courtisane fidèle de lady Marple, les manigances de clans et le destin d’un enfant illégitime. Usagi s’efface un peu pour donner plus de force à d’autres personnages comme l’inspecteur Ishida (tellement bien réussi qu’il mériterait sa propre série). Encore un album admirablement planifié de la part de Stan Sakai.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
neun11septembre
18 20
Note de la rédaction