Tsukimichi - Moonlit Fantasy Vol.3 - Manga

Tsukimichi - Moonlit Fantasy Vol.3 : Critiques

Tsuki ga Michibiku Isekai Dôchû

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 10 Mars 2025

Suite à la destruction de Zetsuya par les incorrigibles Tomoe et Mio, nos héros otn décidé d'accompagner les aventuriers survivants, dont les soeurs Toa et Rinon, jusqu'à Tsige, où Makoto compte bien accomplit quelques quêtes à la guilde des aventuriers pour s'enrichir puis s'inscrire à la guilde des marchands, puisqu'il aimerait surtout devenir commerçant. En parallèle, il lui faut aussi gérer l'expansion de la sous-dimension, veille au confort des différents peuples qui s'y sont installés, et penser à la rénovation de celle-ci.

Tels sont les deux axes principaux de ce troisième tome où, toutefois, les questions autour de la gestion de la sous-dimension sont traitées de façon un peu plus secondaire que l'autre axe, en permettant surtout à Makoto de voir ce que deviennent Ema et les différents peuples qui y vivent désormais, et de recevoir quelques cadeaux fort utiles.

Le plus gros du récit est donc à chercher du côté des avancées de notre héros auprès de la guilde des marchand et celle des aventuriers, et si le cas de la guilde des marchands est surtout traité sur le ton de l'humour via un examens d'admission qui a tout d'une formalité alors qu'il est censé poser problème, la quête de rang S choisie par le jeune garçon à la guilde des aventuriers va rapidement l'amener à croiser la route de celui qui l'a postée: Rembran, le directeur de la plus grande compagnie marchande de la ville, autour de qui vont vite se focaliser des enjeux de plus en plus intrigants. Car au-delà du but de cet homme pour sauver les siens, de sa place à Tsige et de la découverte de son passé fait de nombreux malheurs, tout porte à croire qu'il est au coeur d'une sorte de complot, et que notre héros s'y retrouvera rapidement mêlé...

Que dire d'autres ? Eh bien, que les personnages restent efficacement exploités, notamment au niveau des relations qui se construisent et de l'humour (via Mio notamment). Et que Kotora Kino, même s'il reste très bavard dans son adaptation au risque de parfois oublier de vraiment mettre en scène les choses, conserve une grand application dans son travail, où on sent qu'il a à coeur d'offrir un dessin riche et proche et de ne rien oublier de ce qui est important dans l'oeuvre de l'origine. En résulte une lecture qui confirme son capital-sympathie après trois tomes, en attendant le quatrième volume qui, au vu des enjeux installés ici, a normalement tout pour être encore plus prenant.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14.5 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs