Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 19 Juin 2014
Chronique 1 :
Les grandes révélations qui arrivent en début de tome, ainsi que celles du volume précédent changent de nombreuses choses pour Kibo ! Bien qu’il soit plus que jamais motivé pour affronter et vaincre son adversaire, le lien qui les unit désormais revêt une grande importance !
C’est donc en tant que membre d’une même famille que Kibo et Garcia font se faire face, deux cousins prêts à s’entretuer à cause des manigances du mouton noir de la famille ! Sous le regard de leurs pères respectifs, à la fois identiques et tellement différents, les deux adversaires ne reculent devant rien, chacun voulant à sa manière prouver à son père qu’il est le plus fort; un pour prouver qu’il est digne d’être l’héritier du Nadashinkage, l’autre pour être reconnu par son père qui ne l’a jamais considéré que comme un outil.
Avec cette histoire de filiation, de secret de famille que nous propose l’auteur, en plus de cet art martial ultime qui se transmet aux héritiers d’une même lignée, on se rapproche encore un peu plus de Ken, d’autant plus qu’en fin de tome, Kibo se souvient de l’un de ses anciens adversaires et se sert de ses techniques pour affronter son nouvel ennemi. On est en plein dans l’effet des « meilleurs ennemis »utilisé dans Ken !
Loin d’être du plagiat, Saruwatari réussit à s’approprier ses références, et nous propose un titre dont la force ne cesse de prendre de l’ampleur !
Chronique 2 :
Après les révélations époustouflantes du tome précédent, les choses sont désormais limpides pour Kiichi : il doit absolument remporter son combat pour sauver l'honneur de son père Seiko et du nadashingaké, qui ne doivent en aucun cas être salis par le "monstre d'entre les monstres", le terrifiant Kiryu, qui n'est autre que le frère de Seiko, l'oncle de Kiichi, mais aussi... le père de Garcia !
Une fois que l'on se remet de tous ces évènements, le duel que l'on attendait tous va rapidement commencer ! On comprend très rapidement l'importance que revêt cette finale juste en observant le lieu où elle se déroulera et l'entrée en scène des combattants. Ainsi, ces derniers vont se battre dans un magnifique Colisée, et si l'arrivée de Kiichi est sobre, celle de Garcia est à l'inverse impressionnante, puisque le militaire arrivera par les airs; dans un hélicoptère; et encadré par une escouade de soldats !
Et alors que le combat commence, on va vite deviner que nos deux duellistes ne feront pas qu'échanger des coups, chacun essayant d'imposer sa philosophie martiale à l'autre sous l’œil de son mentor : Kiryu pour Garcia, Seiko pour Kiichi. Symboliquement, le combat se joue donc sur deux niveaux, sur le ring bien-sûr, mais aussi dans les tribunes avec les deux frères jumeaux du nadashingaké, aux caractères opposés !
Bien évidemment, le combat en lui-même est passionnant, l'avantage allant sans cesse d'un adversaire à l'autre : alors que Kiichi est sur le point de réussir une clé, cette dernière échouera grâce au Bone control. Et alors que Garcia adoptera une posture de muay thai, il sera surpris par les techniques de Kiichi, directement inspirées par celles de Galaad, un précédent adversaire qui était un maître de la boxe thaïlandaise !
En définitive, ce combat remplit totalement ses promesses, alors qu'il n'en est qu'à ses débuts ! Espérons que la suite du duel de Kiichi et Garcia sera du même acabit !
Les grandes révélations qui arrivent en début de tome, ainsi que celles du volume précédent changent de nombreuses choses pour Kibo ! Bien qu’il soit plus que jamais motivé pour affronter et vaincre son adversaire, le lien qui les unit désormais revêt une grande importance !
C’est donc en tant que membre d’une même famille que Kibo et Garcia font se faire face, deux cousins prêts à s’entretuer à cause des manigances du mouton noir de la famille ! Sous le regard de leurs pères respectifs, à la fois identiques et tellement différents, les deux adversaires ne reculent devant rien, chacun voulant à sa manière prouver à son père qu’il est le plus fort; un pour prouver qu’il est digne d’être l’héritier du Nadashinkage, l’autre pour être reconnu par son père qui ne l’a jamais considéré que comme un outil.
Avec cette histoire de filiation, de secret de famille que nous propose l’auteur, en plus de cet art martial ultime qui se transmet aux héritiers d’une même lignée, on se rapproche encore un peu plus de Ken, d’autant plus qu’en fin de tome, Kibo se souvient de l’un de ses anciens adversaires et se sert de ses techniques pour affronter son nouvel ennemi. On est en plein dans l’effet des « meilleurs ennemis »utilisé dans Ken !
Loin d’être du plagiat, Saruwatari réussit à s’approprier ses références, et nous propose un titre dont la force ne cesse de prendre de l’ampleur !
Chronique 2 :
Après les révélations époustouflantes du tome précédent, les choses sont désormais limpides pour Kiichi : il doit absolument remporter son combat pour sauver l'honneur de son père Seiko et du nadashingaké, qui ne doivent en aucun cas être salis par le "monstre d'entre les monstres", le terrifiant Kiryu, qui n'est autre que le frère de Seiko, l'oncle de Kiichi, mais aussi... le père de Garcia !
Une fois que l'on se remet de tous ces évènements, le duel que l'on attendait tous va rapidement commencer ! On comprend très rapidement l'importance que revêt cette finale juste en observant le lieu où elle se déroulera et l'entrée en scène des combattants. Ainsi, ces derniers vont se battre dans un magnifique Colisée, et si l'arrivée de Kiichi est sobre, celle de Garcia est à l'inverse impressionnante, puisque le militaire arrivera par les airs; dans un hélicoptère; et encadré par une escouade de soldats !
Et alors que le combat commence, on va vite deviner que nos deux duellistes ne feront pas qu'échanger des coups, chacun essayant d'imposer sa philosophie martiale à l'autre sous l’œil de son mentor : Kiryu pour Garcia, Seiko pour Kiichi. Symboliquement, le combat se joue donc sur deux niveaux, sur le ring bien-sûr, mais aussi dans les tribunes avec les deux frères jumeaux du nadashingaké, aux caractères opposés !
Bien évidemment, le combat en lui-même est passionnant, l'avantage allant sans cesse d'un adversaire à l'autre : alors que Kiichi est sur le point de réussir une clé, cette dernière échouera grâce au Bone control. Et alors que Garcia adoptera une posture de muay thai, il sera surpris par les techniques de Kiichi, directement inspirées par celles de Galaad, un précédent adversaire qui était un maître de la boxe thaïlandaise !
En définitive, ce combat remplit totalement ses promesses, alors qu'il n'en est qu'à ses débuts ! Espérons que la suite du duel de Kiichi et Garcia sera du même acabit !
09/05/2007 