To Love Darkness Vol.7 - Actualité manga
To Love Darkness Vol.7 - Manga

To Love Darkness Vol.7 : Critiques

To love darkness

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 06 Septembre 2013

Débarquée sur Terre, Némésis a déclaré qu'au plus profond d'Ombre Dorée se cache sa Darkness, sa part d'ombre qui fait d'elle une arme et l'empêchera toujours d'être réellement humaine. Mikan, restée un peu sous le choc, se demande comment venir en aide à son amie, jusqu'au moment où elle tombe sur Mea alors qu'elle est en train de faire les courses pour le dîner. Une rencontre qui ne réjouit pas forcément Mikan, puisqu'lele ne sent aucun feeling avec Mea. Mais pourtant, cette dernière n'est autre que la petite soeur d'Ombre Dorée, et sa présence ne pourrait-elle pas alors aider Mikan à mieux comprendre Petite Ombre ? La petite soeur de Rito décidé alors d'inviter Mea à dîner, histoire d'essayer de se rapprocher un peu d'elle... Mais les choses dégénèrent vite, car Mea, décidée à apprendre à manier le couteau, se met à couper tout ce qui lui passe sous la main, et compris les vêtements...

Comment, en quelques pages, passer d'une histoire intéressant et qui promet de s'approfondir à un amas de fan-service facile. C'est un peu le leitmotiv de To Love Darkness, et les auteurs nous le prouvent à nouveau dès lors que Mea se met à déshabiller tout le monde, histoire de flatter l'oeil du lecteur. Il y a cependant autre chose à retenir de ce chapitre : une certaine part d'humanité chez Mea, qui découvre un peu pus certaines moeurs humaines, les apprécie, et se met à aimer prendre un repas chaleureux en compagnie d'amis. A l'image d'Ombre Dorée avant elle, Mea pourrait bien changer de plus en plus.

La suite du tome, par contre, remet l'histoire dans le placard pour offrir une déferlante de culottes et de nichons : Haruna qui se retrouve ivre à cause d'une boissons extraterrestre et qui se montre un peu trop entreprenante avec Rito, notre héros qui se retrouve transformé en rogneur et qui se retrouve dans toutes sortes de situations impossibles et très coquines, Kyôko qui investit le lycée Sainan pour en apprendre plus sur celui que Run aime, mais qui se retrouve elle aussi dans des postures très délicates... Pour offrir leur fan-service, basique mais toujours bien croqué par le trait charmant de Kentaro Yabuki, les auteurs enchaînent des situations qui sont déjà vues et revues et qui n'apportent pas grand chose, si ce n'est un très vague focus sur la polygamie dans l'espace (formidable), ainsi qu'une explication un peu plus poussée du personnage de Kyôko, jusque là très en retrait.

Si To Love Darkness enchaîne les hauts et les bas, ce tome-ci se situe dans la moyenne basse, à cause de son manque d'originalité dans les moteurs amenant le fan-service et de sa nouvelle mise au placars du fil rouge. reste encore et toujours le coup de crayon de Kentaro Yabuki, qui se fait un plaisir de mettre en valeur ses charmantes héroïnes.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
11 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs