The Top Secret Vol.11 - Actualité manga

The Top Secret Vol.11 : Critiques

Himitsu

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 25 Mars 2014

La neuvième section de médecine légale de la police scientifique a été la cible d’une effraction. Le niveau de sécurité numéro cinq a défailli, et le coupable est clairement identifiable sur les caméras de surveillance. Le gardien de sécurité a été attaqué sciemment par le responsable, Maki. Il avait pourtant accès à ce niveau de sécurité supérieur, et n’avait pas le moindre besoin d’utiliser de tels procédés. Personne ne comprend, et au laboratoire numéro 9, c’est la surprise et la détresse totale. L’ordre est cependant maintenu, pourtant les questions sont sur toutes les lèvres. Pourquoi Maki aurait-il fait cela ? Où est-il à présent ? A-t-il finalement perdu la tête lui aussi ? Autant d’interrogations qui vont nous suivre tout le tome. Cet opus est un tome d’action, où les héros ne vont pas avoir le droit au repos. Tout est intimement lié au meurtre de ce couple à Ebisu, mais surtout à un autre pays, à un message écrit dans une langue étrangère…

L’existence de Takizawa est enfin mise en exergue. Après des hésitations claires sur son implication, et sa part de responsabilité dans tout ce qui arrivait, au vu de la décontraction de Maki, on commençait à se poser des questions. Encore une fois, ce personnage aura réussi à nous séduire, à nous surprendre, à nous faire rêver sur des sujets pourtant macabres et bien souvent dangereux pour la santé mentale. Les secrets et non dits trouvent enfin leurs explications, les drames se soldent par d’autres drames. Aoki va courir après son supérieur pour comprendre, pour saisir le sens de cette vie si même Maki n’y est plus tout à fait en vie. Un tome bien trop fin, avant le dernier et ultime opus, qui nous fait voyager dans la folie humaine, les enjeux politiques liés à parfois un seul meurtre tout à fait anodin, et la présence d’esprit d’un homme très solitaire qui cherche perpétuellement à expier ses crimes.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
NiDNiM
17 20
Note de la rédaction