Step up love story Vol.27 - Actualité manga
Step up love story Vol.27 - Manga

Step up love story Vol.27 : Critiques

Futari Echi

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 27 Juillet 2010

L'été arrive, et ses chaleurs caniculaires avec ! Ce qui provoque chez Yura une grande baisse de forme, n'ayant alors plus de forces pour satisfaire les désirs primaires de son mari... ce dernier va alors essayer de la remotiver avec des aphrodisiaques. Mais y a-t-il vraiment une recette miracle ? Et si, tout simplement, Makoto laissait un peu sa femme tranquille ?

Après tout, si Makoto cherchait uniquement à se satisfaire, il pourrait aller taper aux portes de son entourage féminin qui ne demande que ça ! A commencer par la toujours aussi insondable Mme Ichijo, avec qui la situation a déjà dérapé à plusieurs reprises... et qui dérapera encore ici ! Quand Makoto ne se retrouve pas bloqué dans l'ascenseur avec cette tentatrice, c'est sa femme elle-même qui va naïvement le pousser dans ses bras ! C'est ainsi que notre héros va se faire "malencontreusement" masturber par la jeune divorcée... Et avec tout ça, l'auteur veut nous faire croire à la solidité de son couple parfait, sans histoire adultérine ? Sans commentaires.

Dans le monde merveilleux de Step Up Love Story, le sexe prédomine tout, à tel point qu'il est sujet à des questions existentielles dans la vie des personnages. A commencer par le frère de Makoto qui vient pour une fois lui demander des conseils, sans aucunement éviter les détails les plus gras. De même, c'est carrément un trio de lycéennes qui vient demander à l'impromptu des renseignements sur la chose à ce docteur Love improvisé... et évidemment, on est pas épargné d'une partie à quatre fantasmé par le héros avec des mineures... Sans commentaires non plus.

La vulgarité est également atteinte dans les textes, avec un Makoto qui se lâche, à moins qu'il ne s'agisse la traductrice qui traite enfin la série comme un vrai porno ? "Ce soir, c'est moi qui vais te traire", "je sens son nectar couler à flot" ou encore "je vais te faire gouter à mon lait concentré" sont autant de moment lyriques et imagés qui viendront parsemer les dialogues, entre deux onomatopées grotesques. Car oui, Step Up est une vraie oeuvre poétique, osant la métaphore entre l'acte sexuel et un feu d'artifice. Seulement voilà, dans les faits, on est plus proche du pétard mouillé.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Tianjun
7 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs