Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 04 Mars 2019
« Votre point de vue limité des possibilités du basket n’a pas de prise sur moi !! C’est parce que je ne suis qu’un débutant. »
Depuis que Sannô mène avec plus de 20 points d’avance, il est évident pour tous les spectateurs que l’issue du match est déjà jouée. Pourtant, il reste plus de dix minutes de jeu. Sakuragi ne capitule pas, il croit encore en leur victoire ! Afin d’infliger un électrochoc à tous ceux qui osent les ranger dès à présent au rang de perdants, il saute sur les tables en bordure de terrain et cri sa rage de vaincre. Il souhaite montrer à tous qu’il ne faut pas prendre l’équipe de Shôhoku à la légère et ainsi remotiver ses partenaires : « Après cette démonstration, on n’a plus d’autres choix que de gagner. »
Sakuragi espère que sa facilité à récupérer les rebonds l’aidera à marquer des paniers pour inverser enfin la tendance. Mais face à lui, il y a Masahiro Nobe. Un joueur qui a été sélectionné dans le 5 majeur en raison de ces grandes capacités à rattraper lui aussi ces fameux rebonds. De plus, ce dernier s’avère incroyablement doué pour faire écran et ne semble avoir aucun point faible qui permettrait à Sakuragi de l’évincer. Mais c’était sans compter sur l’instinct roublard du « génie » de Shôhoku. Prêt à tout pour s’emparer du ballon, Sakuragi tire sur le maillot de son rival l’empêchant ainsi de sauter. Grâce à cette sournoiserie, il réussit à marquer les deux premiers points de la seconde période. Le score est maintenant de 38 à 60. Plus que 22 points d’écart !
Les dessins de Takehiko Inoue sont toujours aussi réalistes et permettent aux lecteurs de suivre ce match mythique comme s’ils y étaient. Dans ce vingt-huitième volume, le mangaka s’est surpassé. Il nous offre de nombreuses illustrations en pleine page de toute beauté. Par exemple, suite à la page 51 où Sakuragi est sur le point de sauter sous le panier, la page 52 nous dévoile un magnifique gros plan de ses jambes en extension. Des traits fins et nerveux sur ses membres inférieurs donnent à merveille ce sentiment de mouvement. La pleine page qui suit nous montre le haut du corps du basketteur, sa main dans l’axe du ballon. Son regard des plus concentrés ne laisse aucun doute sur l’issue de l’action.
Sakuragi et Ryôta se démènent pour reprendre le dessus sur Sannô. Mitsui, quant à lui, est terrassé par la fatigue et Akagi est écrasé par la pression du titre national dont il a toujours rêvé. Comme il échoue sans cesse à surpasser Kawata, il perd de plus en plus ses moyens et rate un panier. Heureusement, ses coéquipiers et amis sont là pour le soutenir. Il réalise alors que ce n’est pas en battant Kawata qu’il va mener son équipe à la victoire, mais plutôt en mettant en valeur le talent de chacun de ses membres : « Kawata c’est Kawata. Moi c’est moi. Même s’il est meilleur que moi… Shôhoku ne perdra pas ! »
Depuis que Sannô mène avec plus de 20 points d’avance, il est évident pour tous les spectateurs que l’issue du match est déjà jouée. Pourtant, il reste plus de dix minutes de jeu. Sakuragi ne capitule pas, il croit encore en leur victoire ! Afin d’infliger un électrochoc à tous ceux qui osent les ranger dès à présent au rang de perdants, il saute sur les tables en bordure de terrain et cri sa rage de vaincre. Il souhaite montrer à tous qu’il ne faut pas prendre l’équipe de Shôhoku à la légère et ainsi remotiver ses partenaires : « Après cette démonstration, on n’a plus d’autres choix que de gagner. »
Sakuragi espère que sa facilité à récupérer les rebonds l’aidera à marquer des paniers pour inverser enfin la tendance. Mais face à lui, il y a Masahiro Nobe. Un joueur qui a été sélectionné dans le 5 majeur en raison de ces grandes capacités à rattraper lui aussi ces fameux rebonds. De plus, ce dernier s’avère incroyablement doué pour faire écran et ne semble avoir aucun point faible qui permettrait à Sakuragi de l’évincer. Mais c’était sans compter sur l’instinct roublard du « génie » de Shôhoku. Prêt à tout pour s’emparer du ballon, Sakuragi tire sur le maillot de son rival l’empêchant ainsi de sauter. Grâce à cette sournoiserie, il réussit à marquer les deux premiers points de la seconde période. Le score est maintenant de 38 à 60. Plus que 22 points d’écart !
Les dessins de Takehiko Inoue sont toujours aussi réalistes et permettent aux lecteurs de suivre ce match mythique comme s’ils y étaient. Dans ce vingt-huitième volume, le mangaka s’est surpassé. Il nous offre de nombreuses illustrations en pleine page de toute beauté. Par exemple, suite à la page 51 où Sakuragi est sur le point de sauter sous le panier, la page 52 nous dévoile un magnifique gros plan de ses jambes en extension. Des traits fins et nerveux sur ses membres inférieurs donnent à merveille ce sentiment de mouvement. La pleine page qui suit nous montre le haut du corps du basketteur, sa main dans l’axe du ballon. Son regard des plus concentrés ne laisse aucun doute sur l’issue de l’action.
Sakuragi et Ryôta se démènent pour reprendre le dessus sur Sannô. Mitsui, quant à lui, est terrassé par la fatigue et Akagi est écrasé par la pression du titre national dont il a toujours rêvé. Comme il échoue sans cesse à surpasser Kawata, il perd de plus en plus ses moyens et rate un panier. Heureusement, ses coéquipiers et amis sont là pour le soutenir. Il réalise alors que ce n’est pas en battant Kawata qu’il va mener son équipe à la victoire, mais plutôt en mettant en valeur le talent de chacun de ses membres : « Kawata c’est Kawata. Moi c’est moi. Même s’il est meilleur que moi… Shôhoku ne perdra pas ! »
Rukawa est quasi inexistant dans ce volume. L’action étant essentiellement concentrée sur les autres membres de son équipe. Takehiko Inoue lui réserve-t-il un rôle spécial dans le prochain tome ? Marquera-t-il les points qui manquent encore à Shôhoku pour accéder à la victoire ? Les dernières minutes de jeu augurent un combat acharné !
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