Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 28 Janvier 2009
Nous retrouvons dans ce manga l'auteure du plaisant "Ulala ma colocataire", cette fois dans un univers un petit peu plus hentaï qu'ecchi, et ce non sans déplaire à certains...
Le protagoniste de cette histoire pour le genre masculin n'est autre que Michihisa, un garçon à lunettes dont le père, remarié à une très jolie belle mère nommée Mizuki, s'en est allé ( voyage ou autres, cette partie n'est pas abordée dans ce premier volume ) et celle ci doit gérer l'auberge familiale.
Michihisa va faire malencontreusement la rencontre de Shiori, jeune fille délurée appartenant à une bande de belles adolescentes profitant de leurs atouts physiques pour dépouiller les jeunes hommes, évidemment notre héros n'y échappera pas.
Une autre jeune fille venant de la même université que Michihisa apparaît également le jour où Mizuki va faire passer des entretiens d'embauche pour des serveuses dans le restaurant.
De fil en aiguille Michihisa et Shiori vont de lier - intimement - et des sentiments vont naître...
Cette histoire mêlant une relation incestueuse, est assez communément acceptée au Japon, mais reste un sujet très tabou en France, c'est dans cadre que ce manga sort un peu des sentiers battus non pas parce qu'il l'évoque, mais parce qu'il y a passage à l'acte, alors certes Michihisa qui va à l'université est majeur - du moins on le suppose - mais cela n'en reste pas moins dans le domaine du malsain... mais bon un manga ecchi/hentaï franchit certaines barrières assez facilement... celui ci aura au moins cette particularité ; en effet le scénario n'est pas très approfondi pour l'instant et les gags existants sont inégaux, certains étant plaisants, d'autres pas.
Le dessin de Kaoru Yunagi relève cependant la "barre" (...), les visages et les corps des jeunes filles sont dignes de certains U-Jin, des filles vraiment mignonnes sont présentes dans cette aventure, avec chacune des spécifiés différentes ce qui permet de les reconnaître - ce qui est rarement dans ce genre de style. Toutefois, les poitrines plus qu'opulentes ( au moins des bonnets G ! ) des actrices aux tétons de la taille de seins dits normaux et réactifs au moindre contact semblent dépasser l'entendement.
Surfant entre l'hentaï et l'ecchi, ce manga s'avère dispensable, mais reste un bon moment de lecture si vous avez le courage de l'acheter plus que de le feuilleter en rayon...