Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 01 Août 2017
Ban se retrouve confronté à deux des Ten Commandments ! Voilà une tâche qui s’avère délicate, même pour quelqu’un d’aussi immortel que lui. D’ailleurs, on voit mal comment il pourrait s’en sortir… si ce n’est avec l’aide inopinée de quelqu’un que l’on attendait plus !
Suite logique du précédent opus, ce 19ème volume de Seven Deadly Sins poursuit donc l’affrontement entre les protagonistes que nous avions laissé dans une situation qui semblait tourner à l’avantage du deadly sin. Evidemment, moult rebondissements sont encore à prévoir et ponctueront tout ce volume qui ne manquera dès lors ni de rythme, ni de surprises. En outre, on aura même droit à quelques nouvelles rencontres. Et pas des moindres… Quand il s’agit d’envoyer du lourd, le mangaka n’a pas son pareil pour répondre présent ! Voilà qui n’est pas pour nous déplaire, d’autant plus qu’encore une fois on constate que les choses avancent nettement. Le sort de plusieurs personnages semble être scellés, et l’on continue à être tenu en haleine par une intrigue qui ne manque décidément pas de piquant, preuve en est le final de ce tome.
Nakaba Suzuki réussit en tout cas à nous proposer un nouveau cocktail particulièrement équilibré de tout ce que l’on peut aimer dans la série. S’il pourrait sans doute se contenter de faire évoluer chaque personnage dans son coin de manière finalement assez banale, il choisit au contraire d’agrémenter tout ce qu’il propose de petites choses, qu’il s’agisse de personnages de moindre importance qui viennent s’intégrer à l’histoire ou d’imprévus en tout genre, afin d’apporter ce petit quelque chose supplémentaire qui fait souvent défaut, passé la quinzaine de volumes parus, aux séries du genre. Plus concrètement, il demeure un sentiment de fraicheur et d’inconnu qui font perdurer, et même augmenter, notre envie de connaitre le fin mot de l’histoire. Cela se traduit aussi aux travers de protagonistes que l’on aurait au départ pensé plus secondaires, à l’image de Jericho, et qui deviennent, au fil des volumes, pratiquement indispensables.
Deux choses sont plus certaines que jamais une fois les dernières pages de ce tome tournées. D’une, Nakaba Suzuki n’a aucune baisse de régime en vue. Que du contraire, même ! Et de deux, le bonhomme n’a pas fini de nous surprendre et ce, dans le bon sens du terme!
Suite logique du précédent opus, ce 19ème volume de Seven Deadly Sins poursuit donc l’affrontement entre les protagonistes que nous avions laissé dans une situation qui semblait tourner à l’avantage du deadly sin. Evidemment, moult rebondissements sont encore à prévoir et ponctueront tout ce volume qui ne manquera dès lors ni de rythme, ni de surprises. En outre, on aura même droit à quelques nouvelles rencontres. Et pas des moindres… Quand il s’agit d’envoyer du lourd, le mangaka n’a pas son pareil pour répondre présent ! Voilà qui n’est pas pour nous déplaire, d’autant plus qu’encore une fois on constate que les choses avancent nettement. Le sort de plusieurs personnages semble être scellés, et l’on continue à être tenu en haleine par une intrigue qui ne manque décidément pas de piquant, preuve en est le final de ce tome.
Nakaba Suzuki réussit en tout cas à nous proposer un nouveau cocktail particulièrement équilibré de tout ce que l’on peut aimer dans la série. S’il pourrait sans doute se contenter de faire évoluer chaque personnage dans son coin de manière finalement assez banale, il choisit au contraire d’agrémenter tout ce qu’il propose de petites choses, qu’il s’agisse de personnages de moindre importance qui viennent s’intégrer à l’histoire ou d’imprévus en tout genre, afin d’apporter ce petit quelque chose supplémentaire qui fait souvent défaut, passé la quinzaine de volumes parus, aux séries du genre. Plus concrètement, il demeure un sentiment de fraicheur et d’inconnu qui font perdurer, et même augmenter, notre envie de connaitre le fin mot de l’histoire. Cela se traduit aussi aux travers de protagonistes que l’on aurait au départ pensé plus secondaires, à l’image de Jericho, et qui deviennent, au fil des volumes, pratiquement indispensables.
Deux choses sont plus certaines que jamais une fois les dernières pages de ce tome tournées. D’une, Nakaba Suzuki n’a aucune baisse de régime en vue. Que du contraire, même ! Et de deux, le bonhomme n’a pas fini de nous surprendre et ce, dans le bon sens du terme!
03/02/2021 