Séki, mon voisin de classe Vol.9 - Actualité manga
Séki, mon voisin de classe Vol.9 - Manga

Séki, mon voisin de classe Vol.9 : Critiques

Tonari no Seki-kun

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 01 Septembre 2017

Séki revient à nouveau rendre dingue Rumi Yokoi au fil de 13 nouveaux petits chapitres de 10 ou 20 pages, et une nouvelle fois le jeune garçon ne manque pas d'inventivité pour se distraire en cours, et pour distraire sa voisine de classe par la même occasion !


Au bout de 9 volumes, on aurait pu craindre que la série ne parvienne plus à se renouveler, or Takuma Morishige nous prouve le contraire en offrant des activités très variées. Entre autres, on appréciera de le voir étendre encore ses jeux à l'extérieur, à travers la fenêtre, alors qu'il est dans la salle de classe, ou de constater qu'il hésite de moins en moins à utiliser son voisin de devant Maeda... qui est, en de brefs instants, étonnamment réceptif aux jeux du dingue assis juste derrière lui. On observe toujours avec malice les nouvelles choses qu'il va trouver à faire, comme créer ses propres concepts de médailles olympiques, ou renouveler le jeu de la ficelle avec... du slime. Et les réactions de Rumi, elles aussi, s'avèrent toujours aussi variées d'un chapitre à l'autre, la miss étant autant capable de gronder Séki que de s'emballer totalement pour ses activités. Sur ce dernier point, mention spéciale au chapitre où la miss devient une groupie de l'adorable Jun, improvisée starlette de la chanson !


Dans le lot, un chapitre retient particulièrement notre attention. Faisant partie des deux seuls chapitres du tome atteignant les 20 pages, celui-ci a un double mérite : non seulement mettre un peu plus en avant Tomoka (l'une des amies de Rumi), mais aussi, et surtout permettre à notre héroïne, lors d'une virée en ville avec sa copine, de découvrir le travail de la mère de Séki... qui, niveau talent, n'a pas grand-chose à envier à son fils dans son domaine  culinaire ! Ce chapitre est un régal, car on adore observer les talents de la mère de Séki ainsi que sa timidité maladive, et qu'elle ne manque pas d'embarrasser et de toucher notre héroïne à la fois, en tentant de s'excuser de manière très originale pour tout ce que son fils peut lui faire subir encours.


Résultat : une lecture qui remplit très bien son rôle, une nouvelle fois. De par son format, Séki, mon voisin de classe est sûrement une oeuvre dont on profite mieux à petite dose, en piochant un chapitre par-ci par-là pour se détendre, et après déjà 120 chapitres on reste séduit par la faculté de l'auteur à apporter suffisamment de renouvellement.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction